Soit dit en passant ... quelques données factuelles et historique sur l'histoire de l'autisme :Miss Tigry a écrit :plus aspie que moi c'est trèèèèèès difficile (je crois que je doublais au minimum le nombre de critères nécessaire à tous les tests)
En 1926, Grounia Soukhareva distingue la première ce qui serra nommé le syndrome d'asperger. Elle parle (en russe) des psychopathies schizoïdes dans l'enfance
En 1930, Mélanie Klein, parle de schizophrénie infantile.
Le syndrome d'Asperger en particulier et l'autisme en générale ont été défini a partir de la notion de schizophrénie comme un cas particulier a l'enfance, une chose non assimilable par ce que précoce.
Lauretta Bender, explique ce fait. (source Page 236 de Histoire de l'autisme : de l'enfant sauvage aux troubles envahissants du développement, par Jacques Hocmann, Paris, Odile Jacob, 2009 (ISBN 978-2-7381-2153-0) )
Tout ça pour dire plus asperger que asperger on sait ce que c'est, c'est schizophrène.
La survenue plus précoce crée une adaptation particulière que l'on nomme maintenant autisme.
Étendre les critères comme le visent certaines assos qui vendent littéralement des filières de diagnostique plus facile a obtenir (je ne site personne mais tout le monde devine) reviens a étendre les critères du syndrome d'asperger à la schizophrénie.
C'est assez courant depuis ces nouvelles visions des choses de repousser la salle schizophrénie pour se blottir dans le sacro-saint syndrome d'asperger.
D'ailleurs ce que j’écris vas sûrement être pris pour une insulte preuve qu'une échelle subjective du mieux pousse ce phénomène.
C'est dangereux pour les personne concerné, car les prises en charges sont distinctes, et dangereux pour la notion d'autisme qui existe pour des raisons très claires, qu'on ferrait bien d'aller rechercher dans les références des années 1920-1930 au lieu d'essayer de les noyers par ce que le trouble "asperger" est plus seyant que le trouble "schizophrène".