Autisme et souffrance ?

Je suis autiste ou Asperger, j'aimerais partager mon expérience. Je ne suis ni autiste ni Asperger, mais j'aimerais comprendre comment ils fonctionnent en le leur demandant.
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isra
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par isra »

Gianna a écrit : mardi 17 septembre 2019 à 17:44
isra a écrit : mardi 17 septembre 2019 à 17:12 Mais ce n’était pas ma question, je ne comprends toujours pas pourquoi le fait que des personnes en couple et ne souffrant pas de solitude au sein d’un groupe te décontenance... :innocent:
Ce n'est pas ce que j'ai dit, etc

Effectivement il y a eu un bug sur ce point. Lorsque tu m’as répondu la première fois que tu faisais allusion à l’autre forme de solitude, j’ai compris que tu faisais référence à celle de groupe alors que tu parlais de la solitude-isolement.

Ce n’est pas que te faisais dire ce que tu n’avais pas écris, je reformulais ce que j’en avais compris. Maintenant je commence à pouvoir démêler le malentendu, excuses-moi pour les tensions qui ont suivi.

C’est sûr que je n’ai pas apprécié ton commentaire sur les personnes qui ont un conjoint et des enfants mais je cherchais à comprendre ce que cela voulait dire avant de me permettre un avis et comme je n’ai rien compris et bien je ne pouvais pas en avoir.

Après éclaircissements, je peux te dire que je n’ai pas apprécié que tu pointes les personnes qui ont un conjoint et des enfants, vu que l’objet qui te déconcertais était plutôt d’évoquer le sentiment de solitude alors que l’on ne vit pas en situation de solitude-isolement, comme je l’ai exprimé dans la discussion.

D’autre-part la question initiale du fil ne concernait pas explicitement la forme de solitude-isolement je trouve plutôt clair que c’est le sentiment d’isolement qui est en question. Du coup j’ai trouvé ce commentaire discriminant, il aurait mieux valu exprimer que n’apprécies pas qu’une personne évoque le sentiment de solitude alors qu’elle ne se trouve pas en situation de solitude effective...

Aussi, lorsque ensuite tu exprimes que tu réagissais surtout suite à l’intervention d’Autiste ou surdoué, je pense que ça aurait été plus net de l’expliciter au départ plutôt que d’évoquer des personnes en situation de couple.
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George
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par George »

Je souffre énormément d'abord je suis en attente de diag au cra, je souffre de ne pas arriver à me faire comprendre par mes parents, je souffre du décalage oui , car les activités pour enfants pour un dessins animée mettons...Et bien il y a toujours un age butoir et ça me fou en l"air direct, je ne souffre pas de solitude au contraire je suis quelqu'un qui va facilement vers les autres lorsque je ne suis pas angoisser pour aller faire un compliment au conducteur d'une belle voiture ça ne me gêne aucunement, ce qui me gêne par contre c'est l'attitude que va prendre la personne en face de moi si vous aimez mieux car je vais me mettre à analysé son comportement malgres moi enfin vous voyez ce que j'essaie de vous faire comprendre ?
Je ne me sens pas clair avec ce que j’écris pour faire plus simple. Je pense et agis avec le coeur et les émotions donc elles oscillent, forcément, j'ai envie d’écrire, mais c'est juste affreux et ça c'est intolérable pour moi lorsque l'on se met à me parler "gâteux" toi vouloir ça , voyez ? Bon c'est rare parce que généralement, et je répète, si je n'ai pas un soupçon d'angoisse tout va bien autrement je me mets a bafouiller et je présente mes excuses voir je m'arrête de parler pris et envahi par l'angoisse +++++ qui m'habite et ça c'est super pénible voir affreux.
Me détendre, moi ? Dé ..quoi ? Sans blaguer un bain hier à procurer chez moi une angoisse telle que j'ai du lutter pour sortir du bain car mes extrémités commencer a devenir cotonneuse ou bien même sensation de fourmillement puis, je suis sorti du bain, j'avais la respiration maxi forte et hyperventilation puis, je n'ai pas compris ce que mon corps réclamé, je suis donc descendu prudemment dans la cuisine et ai pris le premier aliment qui me venait sous les yeux , des biscottes puis de la confiture de rhubarbe ça ne passé toujours pas donc crise d'hypo mise de coté ... je ne pouvais plus répondre au téléphone je trembler et je me suis mis dans le jardin allongé à poil sur le canapé du jardin et ai fini par m'endormir j'avais des maux de tète de ouf j'ai senti la sensation bandeau serrer derrière les oreilles puis sensation de maux de tete bandeau serrer comme lorsque l'on met ces lunettes remonter sur le haut du crane. Non, j'ai vraiment eu très peur.
Alors attaque de panique ou crise d’épilepsie parce que ma langue se tourner comme j aime le faire consciemment et que ma main gauche s'est mise a ce crisper je peux vous dire que ça fait tout drôle j'ai eu vraiment peur.
Je souffre aussi de ne pas connaitre mes limites.
Je souffre aussi de ne pas reussir a me poser sur quelque chose qui m'interesse je butine meme pas j'archive direct pensant trouver un moment mais non, jamais, un article en appel un autre bref.
Je souffre de m'etre fait avoir dans une relation amoureuse ou la fille pensait a mon argent plus qu'a moi. Moi qui l'ai traiter comme une princesse. Merde alors ! ...C'est simple je ne veux plus de nana pour l'instant j'en ai les petoches. Je ne suis pas facile a vivre je le conçoi pas trop de bruit pas trop de lumiere pas trop de ceci cela mais avec une manipulatrice narcissique elle a eu le dernier mot si je puis dire et c'etait fais un petit pecule avant de me dire by by donc oui mon coeur me fait défaut et mon sens de la generosité quand j'aime la personnes fait que si je tombe sur une personne qui ai malveillante en deux temps trois mouvement on me plume c'est clair et net .
Oui , je souffre :oops:
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par Ellendë »

Line1990 a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 19:00 J'aurais aimé savoir si les autistes souffrent de se sentir en décalage avec les autres.
Si vous souffrez de vous sentir seul même au milieu des autres puisque vous ne pensez pas pareil.
Souffrez vous de décalage et de solitude et de manque d'interactions avec autrui ?

Coucou Line,

Pour ma part, ma réponse est un grand "oui" et ce depuis l'enfance ou je commenças déjà à me questionner sur le sens de la vie. Que je me sentais "plus mature dans la façon de penser" que les autres.
Pour ce qui est de la solitude, tout à fait, je ne le vis pas très bien... Et bien que je sois en couple avec un enfant, je ressens toujours cette solitude et je m'en veux même de ressentir cela par moment vis à vis de mon conjoint...C'est difficile à expliquer, c'est ce sentiment de décalage avec le reste de la société qui m'amène surement à ce sentiment :(
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par Ellendë »

Ellendë a écrit : lundi 23 septembre 2019 à 3:24
Line1990 a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 19:00 J'aurais aimé savoir si les autistes souffrent de se sentir en décalage avec les autres.
Si vous souffrez de vous sentir seul même au milieu des autres puisque vous ne pensez pas pareil.
Souffrez vous de décalage et de solitude et de manque d'interactions avec autrui ?

Coucou Line,

Pour ma part, ma réponse est un grand "oui" et ce depuis l'enfance ou je commenças déjà à me questionner sur le sens de la vie. Que je me sentais "plus mature dans la façon de penser" que les autres.
Pour ce qui est de la solitude, tout à fait, je ne le vis pas très bien... Et bien que je sois en couple avec un enfant, je ressens toujours cette solitude et je m'en veux même de ressentir cela par moment vis à vis de mon conjoint...C'est difficile à expliquer, c'est ce sentiment de décalage avec le reste de la société qui m'amène surement à ce sentiment :(
EDIT DU MESSAGE

Je me permets de revenir sur mon message parce que ces derniers jours j'ai bien ressenti ce décalage vis à vis de mon entourage... J'ai pu avoir quelques discussions qui tournaient notamment autour de la prise du téléphone. On essayait de m'expliquer que ce n'est pas dur de téléphoner :crazy: et que oui certains n'aiment pas le faire non plus mais le font quand même parce qu'ils n'ont pas le choix. On m'a dit que je ne faisais pas beaucoup d'efforts à ce niveau là alors qu'à chaque fois que je me retrouve confrontée à cette peur irraisonnée ( :innocent: ) ben je l'affronte bien tant que mal et je me félicite intérieurement en espérant qu'un jour je n'aurais plus peur… Mais d'apparence, pour les autres, prendre le téléphone semble "normal" et ils ne se rendent pas compte du "combat intérieur" que c'est.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par Oris »

Space a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 20:23 Par exemple j’ai besoin de ma solitude pour me ressourcer mais j’ai également besoin d’interactions sociales qui doivent néanmoins être brèves.
Je suis exactement comme ça. Je l'ai compris assez récemment. Si j'abuse de la solitude je deviens déprimé, et si je je reste trop longtemps en situation d'interaction sociale j'en sors épuisé. L'équilibre est difficile à trouver mais je progresse. Et l'avantage de cette situation c'est qu'elle m'oblige à sociabiliser, et que tout doucement j'améliore mes compétences à le faire, même si ça se fait au prix de beaucoup d'inconfort.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

Space a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 20:23
Par exemple j’ai besoin de ma solitude pour me ressourcer mais j’ai également besoin d’interactions sociales qui doivent néanmoins être brèves. J’en ai plusieurs des « entres deux » comme cela.

Les seules personnes qui me font sentir réellement moins seule sont les quelques HQI-Asperger avec qui j’ai pu échanger...
Mon fils est comme ça, et il a la chance, ado de presque 13 ans, d'avoir des amis qui le comprennent et l'acceptent, du coup, lorsqu'ils sont à la maison, ça ne pose pas de soucis.

Avez-vous toujours ressenti cela ou bien est ce que ça devient plus important en prenant de l'âge ?
Modifié en dernier par tintaglia227 le jeudi 24 octobre 2019 à 14:11, modifié 1 fois.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

Oris a écrit : lundi 21 octobre 2019 à 22:08
Space a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 20:23 Par exemple j’ai besoin de ma solitude pour me ressourcer mais j’ai également besoin d’interactions sociales qui doivent néanmoins être brèves.
Je suis exactement comme ça. Je l'ai compris assez récemment. Si j'abuse de la solitude je deviens déprimé, et si je je reste trop longtemps en situation d'interaction sociale j'en sors épuisé. L'équilibre est difficile à trouver mais je progresse. Et l'avantage de cette situation c'est qu'elle m'oblige à sociabiliser, et que tout doucement j'améliore mes compétences à le faire, même si ça se fait au prix de beaucoup d'inconfort.
Bonjour Oris, je profite de votre présence pour vous poser la même question qu'à Space : mon fils de presque 13 ans est comme ça, et j'aimerai savoir si cela est plus important à l'âge adulte qu'adolescent.
Modifié en dernier par tintaglia227 le jeudi 24 octobre 2019 à 14:10, modifié 1 fois.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par Oris »

Bonjour, pour moi ça a toujours été comme ça, depuis la petite enfance. J'ai 32 ans actuellement, et pas d'aggravation ressentie à l'âge adulte. De l'extérieur je peux peut-être paraitre plus solitaire qu'avant car je me connais mieux, donc dans une certaine mesure je respecte mes limites. Mais mon vécu personnel c'est que les choses s'arrangent plutôt avec l'âge. Non pas que le trouble s'améliore spontanément, mais je "compense" mieux. J'ai beaucoup appris, par les livres et la mise en situation, sur les relations sociales, ce qui me permet de me sentir un peu moins à l'ouest quand j'échange avec les gens. Je n'essaie plus absolument de ressembler et d'agir comme tout le monde, mais je travaille quand même à améliorer mes compétences relationnelles dans la mesure du possible. Donc les interactions sont plus agréable. Je ne saurais pas dire si je suis moins fatigable, je ne crois pas, mais comme je me connais mieux, j'adapte mieux mon mode de vie.
C'est super que dans les nouvelles générations les diagnostics soient posés plus tôt, c'est tellement d'années de gagnées. Être accompagné dès l'adolescence comme votre fils, ça va probablement lui permettre de comprendre son fonctionnement beaucoup plus tôt, travailler sur ce qui peut être amélioré avec l'aide de personnes qualifiées, etc...
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par 2N3055 »

Pas d'aggravation non plus chez moi avec l'âge
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

Oris a écrit : mercredi 23 octobre 2019 à 17:31 Bonjour, pour moi ça a toujours été comme ça, depuis la petite enfance. J'ai 32 ans actuellement, et pas d'aggravation ressentie à l'âge adulte. De l'extérieur je peux peut-être paraitre plus solitaire qu'avant car je me connais mieux, donc dans une certaine mesure je respecte mes limites. Mais mon vécu personnel c'est que les choses s'arrangent plutôt avec l'âge. Non pas que le trouble s'améliore spontanément, mais je "compense" mieux. J'ai beaucoup appris, par les livres et la mise en situation, sur les relations sociales, ce qui me permet de me sentir un peu moins à l'ouest quand j'échange avec les gens. Je n'essaie plus absolument de ressembler et d'agir comme tout le monde, mais je travaille quand même à améliorer mes compétences relationnelles dans la mesure du possible. Donc les interactions sont plus agréable. Je ne saurais pas dire si je suis moins fatigable, je ne crois pas, mais comme je me connais mieux, j'adapte mieux mon mode de vie.
C'est super que dans les nouvelles générations les diagnostics soient posés plus tôt, c'est tellement d'années de gagnées. Être accompagné dès l'adolescence comme votre fils, ça va probablement lui permettre de comprendre son fonctionnement beaucoup plus tôt, travailler sur ce qui peut être amélioré avec l'aide de personnes qualifiées, etc...
Bonjour, et merci pour cette réponse qui est plutôt rassurante. le fait est que mon fils est accompagné depuis tout petit (2 ans et demi) et que ça doit faire une énorme différence.
je n'avais pas pensé au fait que l'on compense mieux en prenant de l'expérience, que l'on adapte mieux son existence à sa fatigabilité.
Encore merci.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

2N3055 a écrit : mercredi 23 octobre 2019 à 18:36 Pas d'aggravation non plus chez moi avec l'âge
Merci beaucoup pour cette réponse, c'est vraiment encourageant.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par Ellendë »

tintaglia227 a écrit : mercredi 23 octobre 2019 à 14:06
Oris a écrit : lundi 21 octobre 2019 à 22:08
Space a écrit : lundi 16 septembre 2019 à 20:23 Par exemple j’ai besoin de ma solitude pour me ressourcer mais j’ai également besoin d’interactions sociales qui doivent néanmoins être brèves.
Je suis exactement comme ça. Je l'ai compris assez récemment. Si j'abuse de la solitude je deviens déprimé, et si je je reste trop longtemps en situation d'interaction sociale j'en sors épuisé. L'équilibre est difficile à trouver mais je progresse. Et l'avantage de cette situation c'est qu'elle m'oblige à sociabiliser, et que tout doucement j'améliore mes compétences à le faire, même si ça se fait au prix de beaucoup d'inconfort.
Bonjour Oris, je profite de votre présence pour vous poser la même question qu'à Space : mon fils de presque 14 ans est comme ça, et j'aimerai savoir si cela est plus important à l'âge adulte qu'adolescent.
Je plussoie ce qu’ Oris a dit, je suis également comme ça . En revanche, d’après les dires de mon conjoint et mon vécu personnel ça s’empire avec les années... c’est pour cela que j’entreprends des démarches diagnostic.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

Ellendë a écrit : jeudi 24 octobre 2019 à 9:13
Je plussoie ce qu’ Oris a dit, je suis également comme ça . En revanche, d’après les dires de mon conjoint et mon vécu personnel ça s’empire avec les années... c’est pour cela que j’entreprends des démarches diagnostic.
Merci pour cette réponse.
On pourrait presque en conclure que sans prise en charge, sans aide extérieure, ça risque "d'empirer".
J'espère que vous arriverez à un diagnostic et à améliorer votre situation.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par 2N3055 »

Oui, je pense que le diagnostic permettra de mieux se connaître
et donc de mieux pouvoir gérer son capital énergie en fonction de son profil.

Il y a tout un tas de détails concernant mon profil dont il m'était impossible de prendre conscience.

C'est grâce au travail qui a été fait par la psychologue comportementaliste
que j'ai découvert ces "détails" dans son compte rendu de pré-diagnostic.
Et certains de ces détails sont très très importants.
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Re: Autisme et souffrance ?

Message par tintaglia227 »

2N3055 a écrit : jeudi 24 octobre 2019 à 10:02 Oui, je pense que le diagnostic permettra de mieux se connaître
et donc de mieux pouvoir gérer son capital énergie en fonction de son profil.

Il y a tout un tas de détails concernant mon profil dont il m'était impossible de prendre conscience.

C'est grâce au travail qui a été fait par la psychologue comportementaliste
que j'ai découvert ces "détails" dans son compte rendu de pré-diagnostic.
Et certains de ces détails sont très très importants.
Merci pour cet échange. Je dois dire qeu certaines choses, comme celle que j'ai mis en gras, que j'ai du mal à concevoir (sans du tout mettre en doute ce que vous dites tous et toutes), et cela va m'aider à mieux comprendre mon loulou.
Encore merci.
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