[Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

[Lilette]

J'ai vu "les vacances de Mr Hulot" l'autre soir, c'était bien sympa

[Alone3545]

J'irai bien voir se film sur l'autisme avec l'actrice qui jouit dans 20 ans d'écart. Cette fois-ci ça ne serait pas la femme bloquée. Seul cela m'ennuie un peu. Est ce que cela le fit d'aller voir un film seul, que vont penser les autres en me voyant seul (le personnel et le publique?

[Tugdual]

Ah, Tati !



Je crois que j'ai tous ses films ...

Une émission sur Jacques Tati, diffusée par Arte [...]

Il faut absolument que je la télécharge !

[Loup]

Il y a quelques interviews à dénicher sur youtube et cie.
Il a une superbe capacité d'imitation, et un grand sens de l'observation, il capte tellement bien les mimiques, les tics... Et les bandes sonores sont assez magnifiques.

J'aime beaucoup Mon Oncle(la maison!), Playtime et Trafic.

[Lilas]

J'irai bien voir se film sur l'autisme avec l'actrice qui jouit dans 20 ans d'écart. Cette fois-ci ça ne serait pas la femme bloquée. Seul cela m'ennuie un peu. Est ce que cela le fit d'aller voir un film seul, que vont penser les autres en me voyant seul (le personnel et le publique?

Bien sûr, beaucoup de gens vont seuls au cinéma.
Ne t'en prive pas pour ça, fonce !

[Loup]

Paul à Québec, 2015



En 1999, Paul et sa conjointe Julie vivent de beaux moments avec leur jeune fille. Ils se cherchent une maison à Montréal et voient fréquemment leur famille, notamment les parents de Julie qui habitent St-Nicolas, en banlieue de Québec. Mais la maladie a frappé durement Roland, le fier et généreux patriarche de la famille, qui tente tant bien que mal de cacher l'ultimatum qu'il subit à ses enfants. Mais la vie étant ce quelle est, Roland devra être admis dans un centre de soins palliatifs alors que ses proches, dont Paul, devront apprivoiser l'idée de sa mort. Dans le processus, Paul se mettra au dessin.

Adapté de la bande dessinée de Michel Rabagliati du même nom (qui fait partie d'une série que je conseille).

[Loup]

Un documentaire sur Walt Disney (l'homme) en 2 parties sur Arte (113 et 111 mn respectivement):

http://www.arte.tv/guide/fr/057380-001/walt-disney-1-2
http://www.arte.tv/guide/fr/057380-002/ ... autoplay=1

Au début des années 1920, le jeune dessinateur publicitaire Walter Elias Disney est animé par deux ambitions : devenir l'exact opposé de son père, qui a collectionné les échecs professionnels, et pouvoir mieux faire que tout ce qu'il voit sur les écrans en matière de cinéma d'animation, alors émergent. À 20 ans, il fonde sa première société de production, et après quelques fortunes diverses, son équipe et lui décrochent la timbale en 1928 avec Steamboat Willie, marquant la naissance officielle de Mickey Mouse. Le personnage de cette souris futée et batailleuse, en qui beaucoup voient l'alter ego de Disney, rencontre un immense succès auprès de la jeunesse et génère de lucratifs produits dérivés. La fortune des studios est assurée mais leur patron, obsessionnel et aventureux, voit déjà plus grand avec, pour la première fois sur les écrans, un long métrage d'animation, Blanche-Neige et les sept nains.

Société idéale

Mort en décembre 1966 d'un cancer, le grand fumeur Walt Disney n'aura pas eu le temps de faire aboutir Epcot, son projet de cité idéale située en Floride. Une société planifiée selon ses propres valeurs – à la fois conservatrices (la famille avant tout) et tournées vers le futur – qui devait constituer le point d'orgue de l'irrésistible expansion de son empire. À travers de multiples archives et entretiens de ses proches, ce film foisonnant détaille brillamment les étapes essentielles du parcours de Disney. Il brosse le portrait définitif de celui qui fut l'un des premiers à mesurer le pouvoir des images (cinéma, publicité, télévision) et à penser une société des loisirs. À la fois génie créatif et visionnaire, et figure autoritaire, Walt Disney aura marqué l'imaginaire occidental comme nul autre, au prix de quelques arrangements avec la réalité de l'Amérique (dont la ségrégation raciale).

Très intéressant et instructif.

[Loup]

Je ne sais pas si vous en avez entendu parler, mais moi, il me fait bien envie!

Zootopia, sortie le 17 Février 2016



Zootopia est une ville qui ne ressemble à aucune autre : seuls les animaux l’y habitent ! On y trouve des quartiers résidentiels élégants comme le très chic Sahara Square, et d’autres moins hospitaliers comme le glacial Tundratown. Dans cette incroyable métropole, chaque espèce animale cohabite avec les autres. Qu’on soit un immense éléphant ou une minuscule souris, tout le monde à sa place à Zootopia !
Lorsque Judy Hopps fait son entrée dans la police, elle découvre qu’il est bien difficile de s’imposer chez les gros durs en uniforme, surtout quand on est une adorable lapine. Bien décidée à faire ses preuves, Judy s’attaque à une épineuse affaire, même si cela l’oblige à faire équipe avec Nick Wilde, un renard à la langue bien pendue et véritable virtuose de l’arnaque …

[misty]

2 coups de coeur récents:

Pour les amis des chiens, mais pour les autres aussi...

Juste excellent... Physique quantique (oui c'est alambiqué...), Jared Leto, super BO (Bach et Fauré notamment ): tout pour plaire!

[Lilas]

J'ai été un peu déçue par White god (je n'ai pas vraiment compris ce que le film voulait dire, on manque d'explication pour comprendre comment et pourquoi ils en sont arrivés là).

Pour moi THE film avec des chiens, qui m'a profondément marquée, c'est Antartica (le film japonais original, pas celui de Walt Disney).

Sinon, j'ai vu un documentaire très intéressant il y a quelques jours : Pauline s'arrache.

[misty]

(je n'ai pas vraiment compris ce que le film voulait dire, on manque d'explication pour comprendre comment et pourquoi ils en sont arrivés là).

Ah oui? C'est étrange... pour moi le thème est très très clair: la révolte.

De plus, la dimension politique me semble assez visible aussi (mise à l'écart des "non-pure race" notamment...).
Après, ce film m'a vraiment fascinée mais j'aurais du mal à l'expliquer à quelqu'un: des idées me viennent (pouvoir de la musique, importance de la liberté, perte d'innocence...) mais autant c'est clair dans ma tête, autant le retranscrire clairement m'est impossible.
Savoir "comment et pourquoi ils en sont arrivés là" ne me semble pas indispensable, même s'il y a des indices qui font peur dans la société actuelle (et il ne faut pas oublier que le réalisateur est hongrois, c'est un peu compliqué là bas avec les extrémismes)...

Mon copain m'a tout de suite dit qu'il voyait ça comme une relecture moderne, assez énervée et un peu barrée du "joueur de flûte de Hamelin". Je n'y avais pas songé mais effectivement, ça me semble cohérent comme vision.

[misty]

Enfin vu! Génial!

D'après vous, le tigre: il était dans la barque avec lui, ou pas?

Un autre "film familial" que j'adore et qu'on regarde souvent:

[Daredevil]

Fascinant mais pas un film familiale
un film sur les voyages dans le temps "très tordu", de la science-fiction pour se faire des nœuds au cerveau



---
21eme minute fait à l'occasion de la sortie de star wars
http://la21e.20minutes.fr/star-wars/

[Rudy]

J'adore le cinéma! Je ne compte plus le nombre de films que j'ai vu (ni les re-visionnage ).

Mr. Nobody était un régal pour moi aussi (j'ai dû le regarder plusieurs fois...). White Dog est dans ma liste des films à regarder.
Merci pour Prédestination, je ne connaissais pas ! Ça a l'air intéressant.

Sinon, des plus récents, j'ai particulièrement apprécié:

Le Ruban Blanc de Michael Haneke.

Et j'ai découvert il y a quelques mois le réalisateur Xavier Dolan (Mommy) dont je suis tombée amoureuse, et dont j'ai prévu de regarder toute la filmographie (j'ai déjà bien commencé!). Tout comme Nicolas Winding Refn (Drive) rien que pour les jeux de lumières . J'aime bien le cinéma expérimental un peu "à côté de la plaque" mais hyper sensoriel, comme "Under the skin" et "Enter The Void"!

Et sinon, je bataille pour trouver le dernier film controversé "LOVE" de Gaspar Noé (Enter The Void), mais, pas moyen...

Sinon, le film qui m'aura marqué à jamais comme étant LA découverte de ce qu'est le cinéma, c'est "Psychose" de Hitchcock, quand j'avais 14 ans.

[Jean]

Dans le Dolan, c'est comme dans le cochon : tout est bon !