Ah oui effectivement j'avais mal lu ! Il ne crois même pas en l'existence du covid19, là effectivement il est indéfendable

Ah oui effectivement j'avais mal lu ! Il ne crois même pas en l'existence du covid19, là effectivement il est indéfendable
On ne le dira sans doute jamais assez, mais les vaccins à ARN messager sont particulièrement efficaces contre les formes graves de la Covid-19, offrant une protection de l’ordre de 90 % avec des risques quasiment inexistants. Comme de nombreuses études statistiques ont pu le démontrer, les sujets non vaccinés sont ainsi surreprésentés parmi les personnes hospitalisées ou décédées à la suite d’une Covid-19. Mais 90 % n’est pas 100 % et il existe donc des individus qui passent entre les mailles du filet et qui développent des formes graves de la Covid-19 malgré un schéma vaccinal complet.
Le groupe d’intérêt scientifique Epi-Phare, qui réunit l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) et la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), a donc tenté d’identifier quels étaient les caractéristiques associées à ce risque résiduel de 10 % de forme grave de la Covid-19 chez les vaccinés.
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Sans grande surprise, l’étude d’Epi-Phare constate que les caractéristiques liées au risque résiduel de forme sévère de la Covid-19 chez les personnes vaccinées sont l’âge, les comorbidités et le fait d’être immunodéprimé, soit les mêmes facteurs de risque de forme grave de la Covid-19 qu’en population générale.
Ainsi, les vaccinés âgés de 85 à 89 ans ont 4 fois plus de risque d’être hospitalisés et 38 fois plus de risque de décéder en cas de contamination par la Covid-19 que ceux âgés de 45 à 54 ans. L’âge moyen des vaccinés en général est ainsi de 57 ans, tandis que celui des vaccinés décédés est de 84 ans.
Parmi les 47 comorbidités étudiées par Epi-Phare, celles qui sont le plus associées à un surrisque de décès ou d’hospitalisation (pour les vaccinés) sont la trisomie 21 (45 fois plus de risque de décéder), la transplantation rénale (34 fois plus de risque de mourir) et la transplantation du poumon (risque 11 fois plus élevé). Les sujets vaccinés et traités par immunodépresseurs ou par corticoïdes oraux voient également leur risque d’être hospitalisés ou de décéder en cas de contamination fortement augmenter.
Moi bizarrement je préfère être masqué quand je dois communiquer avec des gens, je suis plus à l'aise socialement comme çaLeanox a écrit : ↑mercredi 16 février 2022 à 11:27 Ce matin,pour Marianne Olivier Véran suggérait que mi-mars le port du masque en intérieur (sauf écoles et qq autres lieux) pourrait ne plus être obligatoire à la mi-mars (et le tout conditionné notamment à comment les hôpitaux tourneront alors).Assurément je serais contente de revoir des visages plutôt que des masques, c'est le seul point positif que je me risque à mentionner et pour éviter de développer du négatif dans un contexte qui le fait déjà internationalement.
Intéressant, j'avoue que les regards me stressent davantage que les visages et que le masque me gêne dans mon quotidien (respiration pas top notamment si anxieuse et que je dois faire quelques inspirations, aussi je dois pousser la voix dans mon métier de prof et ça m'auto casse les oreillesregrepsa a écrit : ↑mercredi 16 février 2022 à 12:33Moi bizarrement je préfère être masqué quand je dois communiquer avec des gens, je suis plus à l'aise socialement comme çaLeanox a écrit : ↑mercredi 16 février 2022 à 11:27 Ce matin,pour Marianne Olivier Véran suggérait que mi-mars le port du masque en intérieur (sauf écoles et qq autres lieux) pourrait ne plus être obligatoire à la mi-mars (et le tout conditionné notamment à comment les hôpitaux tourneront alors).Assurément je serais contente de revoir des visages plutôt que des masques, c'est le seul point positif que je me risque à mentionner et pour éviter de développer du négatif dans un contexte qui le fait déjà internationalement.
Jolie métaphore
Sur les 2 semaines observées, la circulation virale détectée a significativement reculé, tout en restant à un niveau très élevé.
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Pour la première fois depuis 16 semaines, les hospitalisations globales ont régressé en semaine 06, tandis que la même semaine, les soins critiques ont connu un recul plus significatif que les semaines précédentes.
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4 242 nouveaux décès ont été enregistrés durant les 2 semaines, soit une hausse de +16,7%. Les décès en EHPAD ont fortement augmenté sur la période, avec 417 cas (+118,3%), tandis que les décès à l’hôpital sont en recul en semaine 06 (-3,1%).
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Depuis le début de la vaccination, 80,7% de la population ont reçu au moins une dose et 79,0% ont été complètement vaccinés. Au 13/02, 94,9% des 70 ans et plus ont reçu au moins une dose, et 93,7% sont complètement vaccinés. 83% avaient effectué une dose de rappel. Moins de 3% des 5-9 ans et moins de 9% des 10-11 ans étaient primo-vaccinés.
Au 13/02, la suspicion de variant Omicron représentait 100% des tests positifs criblés. La part du variant Delta est donc descendue à 0%. Le taux de tests criblés n’était que de 20% au 13/02 en semaine glissante.