Evolutions de la classification - DSM V
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
merci! bon bah voilà, j'ai remonté le topic! Y a déjà des bons arguments dedans!
"L'autisme n'est pas contagieux et je trouve que c'est bien dommage d'ailleurs!" J. Schovanec
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
je rappelle que si c'est une maladie, pourquoi personne ne cherche un vaccin ou remède? réponse : car ce n'est pas une maladie
Đī@gnőstįqué TSA
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
et j'ajouterais: quelle maladie se soigne ou se traite par l'apprentissage? Autant que je sache, les méthodes qui fonctionnent pour aider les autistes et recommandés par la HAS, ce sont des méthodes d'apprentissage!
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Un document que je trouve intéressant :
L’impact de la nouvelle définition des Troubles du Spectre de l’autisme du DSM-5
Il s'agit d'une "Présentation offerte aux membres du Réseau National TED",
qui fut donnée à Montréal (je crois) et datée du lundi 30 septembre 2013.
L’impact de la nouvelle définition des Troubles du Spectre de l’autisme du DSM-5
Il s'agit d'une "Présentation offerte aux membres du Réseau National TED",
qui fut donnée à Montréal (je crois) et datée du lundi 30 septembre 2013.
Liens intéressants :La nouvelle classification implique que les enfants présentant
des TSA montrent des faiblesses en matière de « communication
sociale et d’interaction sociale » (c.-à d. un groupe), qui sont
accompagnées par des comportements, intérêts ou activités
« restreints ou répétitifs » présentant trois niveaux de sévérité.
Ils requièrent en effet :
- soit un soutien;
- soit un soutien important;
- soit un soutien très important.
Spoiler : Trouble du Spectre Autistique :Spoiler : Trouble de la communication sociale :
- discussion "Pas/peu de symptômes visibles durant l'enfance?" ;
- Ajout de liens.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
L'entretien que l'on a eu cette semaine a été rapide à la fin sur la pose de diagnostique. En me repassant ce qui a été dit, le problème de communication sociale de notre fils est inhérent au TDAH. Donc je pense que l'on ne rentre pas à proprement parler dans le TCS stricto sensu qui est indépendant de tout autre trouble neurologique ou psychologique selon le document que tu cites Tugdual.
Merci pour cette info.
Après, je pense que le médecin n'a pas non plus voulu nous noyer de terme technique, d'autant qu'il nous encourage à aller à la consultation prévue en hôpital, ce qui nous permettra d'affiner.
De toute façon, plus que les termes du diagnostique, ce qui compte pour nous, c'est de trouver les aménagements, les comportements et accompagnement nécessaire à l'épanouissement de notre loulou.
Je comprends cependant que des parents soient désemparés par rapport aux démarches, mais je ne pense pas que le terme lui même joue, mais c'est bien l'ensemble du dossier qui compte pour la MDPH.
Merci pour cette info.
Après, je pense que le médecin n'a pas non plus voulu nous noyer de terme technique, d'autant qu'il nous encourage à aller à la consultation prévue en hôpital, ce qui nous permettra d'affiner.
De toute façon, plus que les termes du diagnostique, ce qui compte pour nous, c'est de trouver les aménagements, les comportements et accompagnement nécessaire à l'épanouissement de notre loulou.
Je comprends cependant que des parents soient désemparés par rapport aux démarches, mais je ne pense pas que le terme lui même joue, mais c'est bien l'ensemble du dossier qui compte pour la MDPH.
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Maladies mentales : la classification DSM-5 en VF
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 06.07.2015 à 17h13 • Mis à jour le 06.07.2015 à 18h47 | Par Sandrine Cabut
Les anti-DSM auraient-ils rendu les armes ? Au printemps 2013, au moment de la publication de la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), édité par l’Association américaine de psychiatrie, le monde de la psy était en effervescence. Nombre de voix discordantes s’étaient élevées – sous forme de pétitions, appels au boycott, livres grand public… – pour dénoncer un ouvrage « dangereux », qui fabrique des maladies mentales et incite à consommer des médicaments. En France, le combat était porté en particulier par Stop DSM, un collectif de professionnels proches du milieu psychanalytique s’insurgeant contre la « pensée unique » du manuel.
Le DSM-5, traduit en français en juin 2015.
Disponible depuis le 17 juin, la traduction française (un pavé de 1 176 pages, vendu 139 euros par Elsevier-Masson) n’a pas fait de vagues. Les jeunes psychiatres ont « adopté » cette nouvelle classification, selon Le Quotidien du médecin. Dans un communiqué, Stop DSM a réaffirmé son « opposition radicale aux fondements et à l’utilisation de ce manuel », appelant à préférer les classifications françaises. Le message a été peu diffusé, mais le psychiatre et psychanalyste Patrick Landman, fondateur de ce mouvement, se dit toujours mobilisé. « Nous allons organiser des débats publics, et bientôt publier un livre critique avec Allen Frances [médecin américain coordonnateur du DSM-IV et opposant au DSM-5] », promet-il.
Mais qu’est-ce au juste que ce manuel, et quelles sont les particularités de cette nouvelle édition, la cinquième depuis 1952 ?
Aide à la conceptualisation
« Ce n’est pas une bible, mais une aide à la conceptualisation, qui permet aux professionnels de tous les pays de parler un langage commun, estime Marc-Antoine Crocq, psychiatre à l’hôpital de Rouffach (Haut-Rhin) et l’un des directeurs de l’équipe de traduction du DSM-5. C’est le meilleur outil de réflexion clinique que l’on ait. Des centaines d’experts y ont contribué, s’appuyant sur une revue exhaustive de la littérature. »
Cette classification est utilisée principalement par les professionnels des maladies mentales dans la pratique quotidienne, l’enseignement et la recherche clinique.
Parmi les nouveautés de ce DSM (paru près de vingt ans après le précédent, édité en 1994 et révisé en 2000), un chapitre consacré aux troubles neurodéveloppementaux – auxquels appartiennent par exemple les troubles du spectre autistique. « Le jeu pathologique fait partie des nouveaux diagnostics du DSM-5, c’est l’une des rares addictions sans substance, note le docteur Crocq. En revanche, l’usage pathologique des jeux sur Internet a été retenu pour des études supplémentaires, mais pas pour la classification. »
Le psychiatre souligne aussi l’apparition d’échelles dimensionnelles prenant en compte la sévérité des troubles, dans la schizophrénie par exemple. « Depuis le DSM-III (1980), un effort constant est fait pour déterminer des seuils de significativité, et éviter ainsi des diagnostics excessifs. En effet, beaucoup de symptômes, comme l’anxiété, des déficits de l’attention, peuvent ne pas être pathologiques », précise-t-il.
Plus modeste que prévu
Les marqueurs génétiques et biologiques et l’imagerie médicale, qui prennent une place croissante dans la recherche sur les maladies neuropsychiatriques, ont en revanche une place encore limitée dans le nouveau manuel, beaucoup plus modeste que prévu. « Le DSM-5 reste une classification essentiellement clinique, car les causes ultimes des maladies mentales sont encore mal connues. Il est trop tôt pour faire entrer des critères biologiques à l’échelle de l’individu », dit Marc-Antoine Crocq.
De leur côté, les Instituts nationaux de la santé (NIH) américains, qui se sont désolidarisés du DSM-5 en 2013, le jugeant faible sur le plan scientifique, financent une autre classification. Destiné surtout aux chercheurs, ce projet, appelé Research Domain Criteria (RDoC), intégrera largement les données des neurosciences.
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 06.07.2015 à 17h13 • Mis à jour le 06.07.2015 à 18h47 | Par Sandrine Cabut
Les anti-DSM auraient-ils rendu les armes ? Au printemps 2013, au moment de la publication de la cinquième édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), édité par l’Association américaine de psychiatrie, le monde de la psy était en effervescence. Nombre de voix discordantes s’étaient élevées – sous forme de pétitions, appels au boycott, livres grand public… – pour dénoncer un ouvrage « dangereux », qui fabrique des maladies mentales et incite à consommer des médicaments. En France, le combat était porté en particulier par Stop DSM, un collectif de professionnels proches du milieu psychanalytique s’insurgeant contre la « pensée unique » du manuel.
Le DSM-5, traduit en français en juin 2015.
Disponible depuis le 17 juin, la traduction française (un pavé de 1 176 pages, vendu 139 euros par Elsevier-Masson) n’a pas fait de vagues. Les jeunes psychiatres ont « adopté » cette nouvelle classification, selon Le Quotidien du médecin. Dans un communiqué, Stop DSM a réaffirmé son « opposition radicale aux fondements et à l’utilisation de ce manuel », appelant à préférer les classifications françaises. Le message a été peu diffusé, mais le psychiatre et psychanalyste Patrick Landman, fondateur de ce mouvement, se dit toujours mobilisé. « Nous allons organiser des débats publics, et bientôt publier un livre critique avec Allen Frances [médecin américain coordonnateur du DSM-IV et opposant au DSM-5] », promet-il.
Mais qu’est-ce au juste que ce manuel, et quelles sont les particularités de cette nouvelle édition, la cinquième depuis 1952 ?
Aide à la conceptualisation
« Ce n’est pas une bible, mais une aide à la conceptualisation, qui permet aux professionnels de tous les pays de parler un langage commun, estime Marc-Antoine Crocq, psychiatre à l’hôpital de Rouffach (Haut-Rhin) et l’un des directeurs de l’équipe de traduction du DSM-5. C’est le meilleur outil de réflexion clinique que l’on ait. Des centaines d’experts y ont contribué, s’appuyant sur une revue exhaustive de la littérature. »
Cette classification est utilisée principalement par les professionnels des maladies mentales dans la pratique quotidienne, l’enseignement et la recherche clinique.
Parmi les nouveautés de ce DSM (paru près de vingt ans après le précédent, édité en 1994 et révisé en 2000), un chapitre consacré aux troubles neurodéveloppementaux – auxquels appartiennent par exemple les troubles du spectre autistique. « Le jeu pathologique fait partie des nouveaux diagnostics du DSM-5, c’est l’une des rares addictions sans substance, note le docteur Crocq. En revanche, l’usage pathologique des jeux sur Internet a été retenu pour des études supplémentaires, mais pas pour la classification. »
Le psychiatre souligne aussi l’apparition d’échelles dimensionnelles prenant en compte la sévérité des troubles, dans la schizophrénie par exemple. « Depuis le DSM-III (1980), un effort constant est fait pour déterminer des seuils de significativité, et éviter ainsi des diagnostics excessifs. En effet, beaucoup de symptômes, comme l’anxiété, des déficits de l’attention, peuvent ne pas être pathologiques », précise-t-il.
Plus modeste que prévu
Les marqueurs génétiques et biologiques et l’imagerie médicale, qui prennent une place croissante dans la recherche sur les maladies neuropsychiatriques, ont en revanche une place encore limitée dans le nouveau manuel, beaucoup plus modeste que prévu. « Le DSM-5 reste une classification essentiellement clinique, car les causes ultimes des maladies mentales sont encore mal connues. Il est trop tôt pour faire entrer des critères biologiques à l’échelle de l’individu », dit Marc-Antoine Crocq.
De leur côté, les Instituts nationaux de la santé (NIH) américains, qui se sont désolidarisés du DSM-5 en 2013, le jugeant faible sur le plan scientifique, financent une autre classification. Destiné surtout aux chercheurs, ce projet, appelé Research Domain Criteria (RDoC), intégrera largement les données des neurosciences.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Le DSM-5
• Intègre des aspects dimensionnels dans un système catégoriel (catégories
spécifiques :
• Niveaux de sévérité à l’intérieur de toute catégorie diagnostique spécifique
(fréquence, nature, durée et intensité des symptômes)
• Multiplicité des symptômes (toutes informations recherchées, recueillies,
observées) hors et intracatégorie
• Favorise l’attention des cliniciens à l’égard de symptômes problématiques:
• Propres au diagnostic primaire (principal)
• Propres à de fréquentes problématiques secondaires (“comordité”:
symptômes au-delà des critères diagnostiques d’un trouble formel)
• Qui doivent être recherchées et documentées
• Représente mieux les réalités cliniques des patients :
• Vise à identifier l’ensemble des symptômes significatifs
• À préciser leur sévérité (pertinence pour le prognostic, la planification des
traitements, le suivi de l’évolution du patient
• Sur la base du jugement clinique des cliniciens
• Intègre des aspects dimensionnels dans un système catégoriel (catégories
spécifiques :
• Niveaux de sévérité à l’intérieur de toute catégorie diagnostique spécifique
(fréquence, nature, durée et intensité des symptômes)
• Multiplicité des symptômes (toutes informations recherchées, recueillies,
observées) hors et intracatégorie
• Favorise l’attention des cliniciens à l’égard de symptômes problématiques:
• Propres au diagnostic primaire (principal)
• Propres à de fréquentes problématiques secondaires (“comordité”:
symptômes au-delà des critères diagnostiques d’un trouble formel)
• Qui doivent être recherchées et documentées
• Représente mieux les réalités cliniques des patients :
• Vise à identifier l’ensemble des symptômes significatifs
• À préciser leur sévérité (pertinence pour le prognostic, la planification des
traitements, le suivi de l’évolution du patient
• Sur la base du jugement clinique des cliniciens
Parent d'un garçon de 21 ans, diagnostiqué autiste à 3 ans, diagnostiqué SA à 13 ans
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Antérieurement
Vision exclusive des
diagnostics
DSM-5
Vision d’ensemble des symptômes
et manifestations
L’orientation « recherche » (en lien avec les
besoins des chercheurs) des DSM antérieurs
(dont le DSM-IV) visait à préciser les
catégories diagnostiques favorisant la précision
de sujets homogènes. D’où des diagnostics
mutuellement exclusifs et une vision étroite des
catégories diagnostiques.
Cette approche ne correspondait pas à la
réalité clinique, d’où l’important changement
(approche dimensionnelle) du DSM-5.
Or la réalité clinique est autre: les
manifestations sont variées à l’intérieur d’une
même catégorie diagnostique; es symptômes
sont partagées entre différents troubles.
Cette réalité a amené une approche
dimensionnelle qui englobe ces différentes
manifestations à l’intérieur du diagnostic d’une
personne, plutôt que de les exclure mutuellement. La
réalité clinique est englobée dans un diagnostic avec
systématiquement une composante dimensionnelle,
correspondant à une vision élargie des troubles.
D’où une précision diagnostique qui permet
maintenant la reconnaissance de troubles
distincts associés (comorbidités), ainsi que la
précision de la variété des manifestations et du
degré des atteintes de chacun.
En comparaison avec l’approche antérieure (DSM
précédents), cette approche est franchement orientée
vers la réalité clinique, soit la précision des
difficultés et des besoins du sujet atteint.
Parent d'un garçon de 21 ans, diagnostiqué autiste à 3 ans, diagnostiqué SA à 13 ans
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
A partir de la page 47 si vous avez la flemme de tout lire
C'est vraiment intéressant et je pense que ça vaut la peine de s'y attarder. Notamment pour les critères de diag.
http://www.autisme.qc.ca/assets/files/0 ... NDSM-5.pdf
C'est vraiment intéressant et je pense que ça vaut la peine de s'y attarder. Notamment pour les critères de diag.
http://www.autisme.qc.ca/assets/files/0 ... NDSM-5.pdf
Les symptômes doivent être présents depuis la petite enfance mais il est
possible qu’ils se manifestent pleinement seulement au moment où les
demandes sociales dépassent les capacités individuelles.
▶ Écart entre les capacités et les exigences de l’environnement
▶ Reconnaissance que les manifestations peuvent être masquées par les
interventions, la compensation individuelle et le support offert à la personne
TSA.
D
DEPUIS LE DSM-IV
• Apport des neurosciences et des études génétiques:
› 37 à 90%; fratrie estimée à 10-15% chez les dizygotes et 60-90% chez
les monozygotes.
• Ratio de 4 garçons pour une fille (4:1):
› Filles dans les études sont souvent rapportées comme étant plus
« sévères » et avec une DI.
▶ Plus subtiles et sous diagnostiquées?
Parent d'un garçon de 21 ans, diagnostiqué autiste à 3 ans, diagnostiqué SA à 13 ans
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Bah, ça fait un moment que j'ai le pdf en anglais.
139 euros pour 1176 pages, c'est correct. [Même si 120 euros m'aurait paru plus abordable. ]
139 euros pour 1176 pages, c'est correct. [Même si 120 euros m'aurait paru plus abordable. ]
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
ce n'est pas le DSM5 ci dessus, FHfreeshost a écrit :Bah, ça fait un moment que j'ai le pdf en anglais.
139 euros pour 1176 pages, c'est correct. [Même si 120 euros m'aurait paru plus abordable. ]
c'est un outil francophone pour faire la transition entre le DSM IV et le DSM5,
il est vraiment interessant
TSA
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Ah ! ci-dessus, oui, ce document, je sais que ce n'est pas le DSM. Je l'ai téléchargé depuis un moment déjà.
Non, je parlais du DSM-V en anglais, j'ai trouvé le pdf (970 pages) dans un torrent.
Non, je parlais du DSM-V en anglais, j'ai trouvé le pdf (970 pages) dans un torrent.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
ah ok, tu parlais du post encore plus haut ^^ hihifreeshost a écrit :Ah ! ci-dessus, oui, ce document, je sais que ce n'est pas le DSM. Je l'ai téléchargé depuis un moment déjà.
Non, je parlais du DSM-V en anglais, j'ai trouvé le pdf (970 pages) dans un torrent.
TSA
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Ouais, celui de Jean avec l'image de la couverture.
Bon, je pourrais éventuellement acheter la version française sur papier :
- pour la partager aux personnes moins à l'aise avec la lecture en anglais,
- pour éventuellement la numériser à ma sauce.
Bon, je pourrais éventuellement acheter la version française sur papier :
- pour la partager aux personnes moins à l'aise avec la lecture en anglais,
- pour éventuellement la numériser à ma sauce.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Evolutions de la classification - DSM V
Heu ... et ils en font quoi des autistes avec retard de langage ???Exclusion du retard de langage des critères du TSA.
Moi pas comprendre là ...
Édit: DX = diagnostic ?
- 05/09/2014: demande de diag au Centre Expert Albert Chenevier.
- 20/11/2014: rendez-vous préliminaire avec le Dr L.
- 27-28/05/2015: journées d'examens
- 10/07/2015: TSA, TAG, phobie sociale
http://whatamadgirl.over-blog.com/
- 20/11/2014: rendez-vous préliminaire avec le Dr L.
- 27-28/05/2015: journées d'examens
- 10/07/2015: TSA, TAG, phobie sociale
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