Ah oui mais c'est le "en dehors des interactions imposées" qui fait s'effondrer le chiffre à un niveau proche du néant.

Ah oui mais c'est le "en dehors des interactions imposées" qui fait s'effondrer le chiffre à un niveau proche du néant.
Je ne peux répondre que si tu remplaces "semaine" par "an"...
Je vais à des rencontres entre personnes TSA. C'est une interaction choisie. Parfois en groupe en plus ! Bon, je n'y vais pas tous les mois...
Je ne sais pas, moi je soupire souvent, un soupir assez profond. Il arrive qu'on interprète ça comme un manque d'enthousiasme ou d'intérêt, mais ce n'est pas forcément le cas. Je souffle pour décompresser de l'angoisse qui s'accumule.Clovis a écrit : ↑mardi 5 mars 2019 à 17:10 J'ai remarqué récemment (à l'échelle de ma vie, pas dans le sens d'il y a quelques jours ou semaines !) que j'avais tendance à émettre parfois, avec ma gorge, bouche fermée, une sorte de gémissement aigu.
Ça m'arrive particulièrement le soir, avant de m'endormir, mais également en journée, lorsque je pense à des choses désagréables, essentiellement en fait des situations sociales proches ou même parfois très lointaines, situations désagréables parce que j'ai l'impression ou la certitude d'avoir mal agi ou réagi. Comme si ma honte persistante s'extériorisait par le biais de cet espèce de gémissement ou râle.
Ça arrive à d'autres ?
Pourquoi cette question? D'où te vient ce type d'interrogations, ce besoin de te situer? De toi ou d'une personne proche?pimpoline a écrit :J'aurais peut-être dû faire un sondage (?): je me demandais combien de personnes vous voyez par semaine en dehors des interactions imposées (travail, famille)?
Pour autant qu'on se comprenne, je peux dire que je fais la même chose. Du coup ça risque d'être mal interprété (par exemple lorsque je le fais quand ma femme est en train de me parler, elle le prend pour elle... Ce qui n'est pas forcément une erreur d'ailleurs puisque son flot de paroles peut facilement m'achever lorsqu'on se retrouve après une longue journée...).lulamae a écrit : ↑mardi 5 mars 2019 à 17:59Je ne sais pas, moi je soupire souvent, un soupir assez profond. Il arrive qu'on interprète ça comme un manque d'enthousiasme ou d'intérêt, mais ce n'est pas forcément le cas. Je souffle pour décompresser de l'angoisse qui s'accumule.Clovis a écrit : ↑mardi 5 mars 2019 à 17:10 J'ai remarqué récemment (à l'échelle de ma vie, pas dans le sens d'il y a quelques jours ou semaines !) que j'avais tendance à émettre parfois, avec ma gorge, bouche fermée, une sorte de gémissement aigu.
Ça m'arrive particulièrement le soir, avant de m'endormir, mais également en journée, lorsque je pense à des choses désagréables, essentiellement en fait des situations sociales proches ou même parfois très lointaines, situations désagréables parce que j'ai l'impression ou la certitude d'avoir mal agi ou réagi. Comme si ma honte persistante s'extériorisait par le biais de cet espèce de gémissement ou râle.
Ça arrive à d'autres ?
moi aussi.
Je ne te réponds pas en tant qu'autiste, mais en tant que personne concernée par ta question.
Cette question vient de moi uniquement. Je m'en fiche un peu de combien de personnes les autres voient en réalité, juste ici je me disais que je trouverais peut-être des personnes vraiment solitaires, ce qui me ferait me sentir moins seule - le comble de l'absurdité.misty a écrit : ↑mercredi 6 mars 2019 à 11:27Pourquoi cette question? D'où te vient ce type d'interrogations, ce besoin de te situer? De toi ou d'une personne proche?pimpoline a écrit :J'aurais peut-être dû faire un sondage (?): je me demandais combien de personnes vous voyez par semaine en dehors des interactions imposées (travail, famille)?
Rien à voir mais tu continues la tribal fusion?