N'oublions pas non plus les cycles de variations de température
que la structure doit absorber sans broncher : on décolle à 20°C
(parfois plus ou moins) et quelques minutes plus tard il fait -50°C ...
N'oublions pas non plus les cycles de variations de température
En aéronautique on utilise pas de l’aluminium pur mais des alliages plus résistant que l'alu pur. ^^
En effet ce genre d'avion n'est pas du tout conçus pour des voyages transocéanique, c'est comme tu dit pour la steppe, les lac, aussi les fleuves, et les mers autours des ports...Fift a écrit : ↑samedi 22 septembre 2018 à 17:54 Pour un avion à effet de sol, une transatlantique serait peu envisageable en raison de la hauteur des vagues qui "casserait" l'effet de sol. Leur seule utilisation reste sur des lacs étendus (mais pas trop) et de la steppe. Mais n'est-ce pas dans ce type d'avion qu'on trouve les plus gros ?
Moi ça m'intéresse , quelles sont les propriété particulières des structures en nid d'abeille ?Fift a écrit : ↑dimanche 23 septembre 2018 à 1:25 (...)
Et on n'oublie pas les séries 5000 (5056 essentiellement), nuance qui a des propriétés mécaniques très moyennes mais qui est utilisé massivement … comme nid d'abeille dans les structures sandwichs (ça, je peux vous en parler longuement des nids d'abeille, pour ceux que ça intéresse).
(...)
Ce que tu décrit s'appel le deep stall un effet du décrochage typique des avion à empennage en T.lepton a écrit : ↑samedi 23 juin 2018 à 18:56 En parlant de décrochage...
Les avions à empennage en T (MD-80, Embraer 145,...) sont difficiles à récupérer en cas de décrochage. Quand l'avion est cabré, les stabilisateurs horizontaux de retrouvent dans l'alignement des ailes. Les ailes perturbent le flux d'air sur les stabilisateurs, qui deviennent inutilisables.
Résultat, en cas de gros décrochage, même si le pilote pousse sur le manche, il ne se passera pas grand chose. Il ne réussira pas à piquer du nez pour reprendre de la vitesse. Et l'avion tombera, cabré.
C'est pour cela que sur les avions avec un empennage en T, en plus du vibreur de manche, il y a un pousseur de manche. Il met automatiquement l'avion en piqué sans attendre que les pilotes réfléchissent à ce qu'ils doivent faire, avant qu'il soit trop tard.
Donc si l'A330 du vol Rio-Paris avait été équipé d'un pousseur de manche, l'accident ne se serait probablement pas produit.
En même temps, s'ils avaient communiqué un peu au lieu de piloter chacun dans leur coin, il n'y aurait pas eu d'accident non plus...
Par contre au contraire avec les empennage en T il est plus simple de sortir d'une vrille. Sur un empennage classique cruciforme lors d'une vrille la dérive créer des zones d'air mort au dessus de l'empennage horizontal, ce qui rend le rattrapage plus difficile, mais plus simple sur un T-tail du fait que la gouverne de profondeur n'est pas gêné par la dérive.Spoiler :
======================================Spoiler :
Petite anecdote: le J58 à son maximum consomme 500litres à la minute... Moi qui trouve que ma voiture consomme...Spoiler :