Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Daniel Balavoine - Sauver l'amour (Avril 1986)
Partir, effacée sur le Gange, la douleur
Pour parler à un ange en douceur
Puis montrer la blessure étrange, la douleur
D'un homme qui voudrait trouver en douceur
Au fond de lui un reste de lueur
L'espoir de voir enfin un jour un monde meilleur
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Et comment retrouver le goût de la vie ?
Qui pourra remplacer le besoin par l'envie ?
Oh oh, où est le sauveur ? Han Han
Et chaque nuit le peuple danse en douceur
Croit qu'il peut exorciser la douleur
Puis lentement quitte les trances en douceur
Alors revient dans sa conscience la douleur
Au fond de lui sans cette peur immense
De voir mourir ce sentiment, l'amour intense.
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Et comment retrouver le goût de la vie ?
Qui pourra remplacer le besoin par l'envie ?
Oh oh, où est le sauveur ? Ah Han Ah Han
Oh Oh O Oh Oh Oh O Oh Oh Oh (X4)
Partir, effacée sur le Gange, la douleur
Pour parler à un ange en douceur
Puis montrer la blessure étrange, la douleur
D'un homme qui voudrait trouver en douceur
Au fond de lui un reste de lueur
L'espoir de voir enfin un jour un monde meilleur
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Et comment retrouver le goût de la vie ?
Qui pourra remplacer le besoin par l'envie ?
Oh oh, où est le sauveur ? Han Han
Et chaque nuit le peuple danse en douceur
Croit qu'il peut exorciser la douleur
Puis lentement quitte les trances en douceur
Alors revient dans sa conscience la douleur
Au fond de lui sans cette peur immense
De voir mourir ce sentiment, l'amour intense.
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Qu'est-ce-qui pourrait sauver l'amour ?
Et comment retrouver le goût de la vie ?
Qui pourra remplacer le besoin par l'envie ?
Oh oh, où est le sauveur ? Ah Han Ah Han
Oh Oh O Oh Oh Oh O Oh Oh Oh (X4)
Parce que la différence doit être une force et non une peur
MAXXIMUM, La nouvelle musique à son MAXXIMUM (23/10/1989->05/01/1992)
Diagnostiqué autiste Asperger
Toutes mes compositions musicales sur Soundcloud
Retrouvez-moi sur Club 80
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Allez hop je contribue !
L'horloge tourne (Michael Miro - 2009)
Un SMS vient d’arriver, j’ai 18 ans,
Envolée ma virginité, j'suis plus un enfant.
L’horloge tourne, les minutes sont torrides
Et moi je rêve d’accélérer le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 20 ans,
On l’a fait sans se protéger mais j'veux pas d’un enfant,
L’horloge tourne, les minutes infanticides
Et moi je rêve de remonter le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 21 ans,
9 mois se sont écoulés et toujours pas d’enfants. Ouh...
L’horloge tourne, les minutes se dérident
Et moi je rêve, tranquille je prends mon temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 25 ans,
Un tsunami a tout emporté, même les jeux d’enfants,
L’horloge tourne, les minutes sont acides
Et moi je rêve que passe le mauvais temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 28 ans,
Mamie est bien fatiguée mais j’suis plus un enfant,
L’horloge tourne mais son coeur se suicide
Et moi je rêve, je rêve du bon vieux temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS va arriver, j’aurai 30 ans,
30 ans de liberté et soudain le bilan,
L’horloge tourne, les minutes sont des rides
Et moi je rêve, je rêve d’arrêter le temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
L'horloge tourne (Michael Miro - 2009)
Un SMS vient d’arriver, j’ai 18 ans,
Envolée ma virginité, j'suis plus un enfant.
L’horloge tourne, les minutes sont torrides
Et moi je rêve d’accélérer le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 20 ans,
On l’a fait sans se protéger mais j'veux pas d’un enfant,
L’horloge tourne, les minutes infanticides
Et moi je rêve de remonter le temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 21 ans,
9 mois se sont écoulés et toujours pas d’enfants. Ouh...
L’horloge tourne, les minutes se dérident
Et moi je rêve, tranquille je prends mon temps.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 25 ans,
Un tsunami a tout emporté, même les jeux d’enfants,
L’horloge tourne, les minutes sont acides
Et moi je rêve que passe le mauvais temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS vient d’arriver, j’ai 28 ans,
Mamie est bien fatiguée mais j’suis plus un enfant,
L’horloge tourne mais son coeur se suicide
Et moi je rêve, je rêve du bon vieux temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Un SMS va arriver, j’aurai 30 ans,
30 ans de liberté et soudain le bilan,
L’horloge tourne, les minutes sont des rides
Et moi je rêve, je rêve d’arrêter le temps
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Dam dam déo oh oh oh, dam dam déo oh oh oh oh.
Aspi.
Je pars d'ici
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Tonton d'America (Tiken Jah Fakoly)
Tonton d'America,
Tonton d'America,
[...]
Tonton d'America,
Il est arrivé, Oncle Ben's, avec un drapeau,
"voici du riz, il ne colle jamais."
Il ne nous restait plus que la peau sur les os,
alors distribution de Dakar à Lomé.
C'était du riz long grain Américain,
des sacs partout, mais pas un seul bouquin.
Les hommes ont dit :
"puisque c'est dans les colis qu'on trouve à mange,
nous on reste au lit."
Il nous a donné la recette du bonheur,
il nous a même donné l'heure,
Tonton d'America.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
[...]
Il est arrivé habillé comme un cow boy,
il était beau comme un paquet de clopes,
avec dans sa hotte la dernière game-boy
et des jouets de toutes sortes.
Des jouets qui valaient une fortune,
et une fusée pour aller sur la lune.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
Tonton d'America.
On a joué,
quand les piles se sont usées,
le cowboy a repris sa gameboy.
Il a dit aux moutons "fini de danser,
c'est moi le sherif, vous serez les bad boys".
On a beau dire, mais quand on est nu,
même au diable on souhaite la bienvenue.
Il a fait tous les endroits habités,
et c'est depuis qu'aux quatre coins de la planète
on est tous assis à faire la même dictée,
tous à manger la même bouillie dans l'assiette.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
Tonton d'America.
Il a pris tout le zinc pour en faire le métro,
il a pris nos cheveux pour se faire la coupe afro,
il a pris tout le café, il a pris tout le cuivre,
il est parti sans nous laisser la marche à suivre.
Aïe aïe.
Tonton d'América,
Tonton d'America,
Tonton d'America.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
[...]
Tonton d'America,
Il est arrivé, Oncle Ben's, avec un drapeau,
"voici du riz, il ne colle jamais."
Il ne nous restait plus que la peau sur les os,
alors distribution de Dakar à Lomé.
C'était du riz long grain Américain,
des sacs partout, mais pas un seul bouquin.
Les hommes ont dit :
"puisque c'est dans les colis qu'on trouve à mange,
nous on reste au lit."
Il nous a donné la recette du bonheur,
il nous a même donné l'heure,
Tonton d'America.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
[...]
Il est arrivé habillé comme un cow boy,
il était beau comme un paquet de clopes,
avec dans sa hotte la dernière game-boy
et des jouets de toutes sortes.
Des jouets qui valaient une fortune,
et une fusée pour aller sur la lune.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
Tonton d'America.
On a joué,
quand les piles se sont usées,
le cowboy a repris sa gameboy.
Il a dit aux moutons "fini de danser,
c'est moi le sherif, vous serez les bad boys".
On a beau dire, mais quand on est nu,
même au diable on souhaite la bienvenue.
Il a fait tous les endroits habités,
et c'est depuis qu'aux quatre coins de la planète
on est tous assis à faire la même dictée,
tous à manger la même bouillie dans l'assiette.
Tonton d'America,
Tonton d'America,
Tonton d'America.
Il a pris tout le zinc pour en faire le métro,
il a pris nos cheveux pour se faire la coupe afro,
il a pris tout le café, il a pris tout le cuivre,
il est parti sans nous laisser la marche à suivre.
Aïe aïe.
Tonton d'América,
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Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Secret d'Africains - Magic Systeem
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Faut pas dire à quelqu'un,
Ca c'est secret d'Africains.
Freddy devait voyager
Il appelle son ami Zouzoi:
"Zouzoi demain je m'en vais en France,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Zouzoi arrive a la maison,
Il apelle sa femme :
"Chérie coco, donne-moi ton oreille ;
Demain Freddy s'en va en France ,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
[...]
La femme de Zouzoi alla au marché,
Sur la route elle voit sa camarade.
"As-tu appris la nouvelle ?
Je ne t'ai pas dit quelque chose :
Demain Freddy s'en va en France,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
La camarade de la femme de Zouzoi,
Elle à son tour arrive à la maison.
Elle habite dans une cour commune.
Elle réunit toute la foule :
"Je vous ai pas dit quelque chose :
Demain Freddy s'en va en France
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire à quelqu'un."
Zouzoua lengué
[...]
Au fur et à mesure
La nouvelle poursivit son chermin.
Le jour du voyage,
Chez Freddy, c'est Zouzoi qui allait l'attendre.
Il arrive a l'aéroport,
A sa grande surprise, tout le quartier est présent.
Car il devait à des gens,
Il voulait se cacher pour fuir.
Et puis, comme ça, Zouzoi l'a vendu.
Voila Freddy est dans des problèmes.
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Parmi ses créanciers
Y'avait le marabout du quartier,
Alhadji Toutouya.
Il dit a Freddy :
"Petit c'est moi qu'tu veux tromper ?
Même si tu vois tout le quartier,
Les moutons se promènent ensemble
Mais ils n'ont pas les même prix.
C'est moi Alhadji Toutouya
Aujourd'hui pour moi va sortir
Sinon c'est pas en France tu vas partir
C'est France qui va venir te trouver".
Freddy se retourne vers Zouzoi :
"C'est la maman d'antillais tu as trompée
C'est ton papa chauve que tu as trompé."
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Faut pas dire à quelqu'un,
Ca c'est secret d'Africains.
Freddy devait voyager
Il appelle son ami Zouzoi:
"Zouzoi demain je m'en vais en France,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Zouzoi arrive a la maison,
Il apelle sa femme :
"Chérie coco, donne-moi ton oreille ;
Demain Freddy s'en va en France ,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
[...]
La femme de Zouzoi alla au marché,
Sur la route elle voit sa camarade.
"As-tu appris la nouvelle ?
Je ne t'ai pas dit quelque chose :
Demain Freddy s'en va en France,
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire a quelqu'un."
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
La camarade de la femme de Zouzoi,
Elle à son tour arrive à la maison.
Elle habite dans une cour commune.
Elle réunit toute la foule :
"Je vous ai pas dit quelque chose :
Demain Freddy s'en va en France
Ca n'a qu'à rester entre nous
Pardon faut pas dire à quelqu'un."
Zouzoua lengué
[...]
Au fur et à mesure
La nouvelle poursivit son chermin.
Le jour du voyage,
Chez Freddy, c'est Zouzoi qui allait l'attendre.
Il arrive a l'aéroport,
A sa grande surprise, tout le quartier est présent.
Car il devait à des gens,
Il voulait se cacher pour fuir.
Et puis, comme ça, Zouzoi l'a vendu.
Voila Freddy est dans des problèmes.
Zouzoi lengué,
Zouzoi lengué..
Parmi ses créanciers
Y'avait le marabout du quartier,
Alhadji Toutouya.
Il dit a Freddy :
"Petit c'est moi qu'tu veux tromper ?
Même si tu vois tout le quartier,
Les moutons se promènent ensemble
Mais ils n'ont pas les même prix.
C'est moi Alhadji Toutouya
Aujourd'hui pour moi va sortir
Sinon c'est pas en France tu vas partir
C'est France qui va venir te trouver".
Freddy se retourne vers Zouzoi :
"C'est la maman d'antillais tu as trompée
C'est ton papa chauve que tu as trompé."
Zouzoi lengué,
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Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Un Gaou à Paris - Magic System.
Mon rêve c'était d'aller à Paris,
je savais pas ce qui m'attendait.
Un Gaou à Paris, ça faisait pitié.
J'ai quitté Abidjan à 40 degrés,
arrivé à Paris, 2, degré...
Tellement le froid m'a limé, j'ai oublié Abidjan.
Alala, allez oh, allez oh.
Tu fumes pas, fumée sort de ta bouche,
la souffrance ne fait que commencer ohoh.
A paris tout le monde s'appelle [?]
tout le monde porte des gants.
Alala allez oh, allez oh.
C'est quel pays où y a pas bonjour ?
tout le monde est pressé,
chacun dans son chagrin.
A Paris y a pas "mon frère donne moi crédit",
on n'a qu'à se débrouiller,
on est venu en détail.
Alala, allez oh, allez oh.
Pour avoir la pâté on souffre,
arrivé là bas on souffre,
souffrances en souffrances.
On quitte chez nous avec beaucoup d'argent,
arrivé là bas ça devient petit,
je le vois.
Alala allez oh, allez oh.
Là bas tout est machine,
même pour payer manger tu parles avec machine.
Là bas il pleut lumière.
Allez lé allez oh, allez allez.
Petit Gaou à Paris
est tombé sur escalier roulant,
il demande qui l'a poussé.
Il a confondu huile avec shampoing,
il a fait omelette moussooooo (:D).
J'étais pas le seul Gaou,
on était beaucoup.
Alala allez, allez oh, allez ohoh.
Pour avoir papiers à Paris,
je dis c'est dur,
c'est compliqué.
Ivoirien devient Malien(oo)
Ganaen Guinéen
Togolais...
Alala allez oh, allez oh.
Mon rêve c'était d'aller à Paris,
je savais pas ce qui m'attendait.
Un Gaou à Paris, ça faisait pitié.
J'ai quitté Abidjan à 40 degrés,
arrivé à Paris, 2, degré...
Tellement le froid m'a limé, j'ai oublié Abidjan.
Alala, allez oh, allez oh.
Tu fumes pas, fumée sort de ta bouche,
la souffrance ne fait que commencer ohoh.
A paris tout le monde s'appelle [?]
tout le monde porte des gants.
Alala allez oh, allez oh.
C'est quel pays où y a pas bonjour ?
tout le monde est pressé,
chacun dans son chagrin.
A Paris y a pas "mon frère donne moi crédit",
on n'a qu'à se débrouiller,
on est venu en détail.
Alala, allez oh, allez oh.
Pour avoir la pâté on souffre,
arrivé là bas on souffre,
souffrances en souffrances.
On quitte chez nous avec beaucoup d'argent,
arrivé là bas ça devient petit,
je le vois.
Alala allez oh, allez oh.
Là bas tout est machine,
même pour payer manger tu parles avec machine.
Là bas il pleut lumière.
Allez lé allez oh, allez allez.
Petit Gaou à Paris
est tombé sur escalier roulant,
il demande qui l'a poussé.
Il a confondu huile avec shampoing,
il a fait omelette moussooooo (:D).
J'étais pas le seul Gaou,
on était beaucoup.
Alala allez, allez oh, allez ohoh.
Pour avoir papiers à Paris,
je dis c'est dur,
c'est compliqué.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Magic System !! J'adore ce style de musique qui rebooste !! ^^
Je me rapelle du tout premier titre : Premier gaou. Mon adolescence ! ^^
Je me rapelle du tout premier titre : Premier gaou. Mon adolescence ! ^^
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
On dit premier gaou n'est pas gaou oh, ah, nanguélawa,
c'est deuxième gaou qui est niata oh.
lalala
c'est deuxième gaou qui est niata oh.
lalala
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Car nous sommes le monde (Keny Arkana).
J'me sens impuissante, petite goutte dans l'océan,
si vaste est l'espace qu'on s'est comme perdus dans ses méandres.
Aspirés par le néant on a vu le poison se répandre,
on l'a vu quand on était môme chez l'autre,
l'incarne-t-on maintenant qu'on est grand ?
Mélancolie des temps modernes, y a que des noeuds dans nos racines,
un pic, un vide éternel qui se donne raison à chaque fois que l'on vacille.
Ils sont morts nos modèles, qui croire ? depuis qu'on est petit on nous bassine
assis ainsi sous le bûcher de nos rêves, balafrés car nos larmes sont de l'acide.
Ne pleure pas le passé, l'éphémère est un film,
s'accrocher à ce qui a été et à ce qui nous a rendu infirmes.
Ils disent voir clair, mais l'avenir s'amincit,
y a plus de retour en arrière, le château de sable ne tient qu'à un fil.
Ils disent que la vie est une barrière,
même lorsque l'on insiste,
ils disent que je sacrifie ma carrière, moi je dis que je préserve mes principes.
Ils diront que l'oiseau n'a pas d'ailes,
aveugles jusqu'à être racistes,
clamant Dieu, incarnant son blasphème,
te répliquant que le monde est ainsi.
Alors partout ça s'indigne, eh, rebellion,
comme un rayon de soleil qui nous crie qu'on est en vie et qu'on est des millions.
L'esprit libre a surgit de la file pour sortir du silence,
muni du noble courage de celui qui n'a plus rien à perdre
en criant "délivrance !".
Petite Terre, ou petite France,
tu es si belle quand tu défends la liberté des plus faibles
contre la violence des plus grands.
Les plus grands veulent te convaincre mais ils t'écrasent lorsque tu trembles,
le soleil brille pour tous, que les rois de ce monde en prennent l'exemple.
La douleur nous éventre, si on ne transmute rien,
le coeur devient puissant seulement s'il est relié au creux d'une main.
Le vieux monde est parti en cendre, parti Râ, je l'ai vu de loin,
on enlèvera nos pierres de leurs édifices et les pavés du chemin.
La vie, un mouvement éternel, l'inertie c est la mort,
je vis chaque journée comme la dernière car chaque jour elle se rapproche.
Enfants de la terre [...] oui on vaincra le sale sort,
en face de leur mensonge de pierre, de leur violence, faudra que l'on soit forts.
J'me sens impuissante, petite goutte dans l'océan,
si vaste est l'espace qu'on s'est comme perdus dans ses méandres.
Aspirés par le néant on a vu le poison se répandre,
on l'a vu quand on était môme chez l'autre,
l'incarne-t-on maintenant qu'on est grand ?
Mélancolie des temps modernes, y a que des noeuds dans nos racines,
un pic, un vide éternel qui se donne raison à chaque fois que l'on vacille.
Ils sont morts nos modèles, qui croire ? depuis qu'on est petit on nous bassine
assis ainsi sous le bûcher de nos rêves, balafrés car nos larmes sont de l'acide.
Ne pleure pas le passé, l'éphémère est un film,
s'accrocher à ce qui a été et à ce qui nous a rendu infirmes.
Ils disent voir clair, mais l'avenir s'amincit,
y a plus de retour en arrière, le château de sable ne tient qu'à un fil.
Ils disent que la vie est une barrière,
même lorsque l'on insiste,
ils disent que je sacrifie ma carrière, moi je dis que je préserve mes principes.
Ils diront que l'oiseau n'a pas d'ailes,
aveugles jusqu'à être racistes,
clamant Dieu, incarnant son blasphème,
te répliquant que le monde est ainsi.
Alors partout ça s'indigne, eh, rebellion,
comme un rayon de soleil qui nous crie qu'on est en vie et qu'on est des millions.
L'esprit libre a surgit de la file pour sortir du silence,
muni du noble courage de celui qui n'a plus rien à perdre
en criant "délivrance !".
Petite Terre, ou petite France,
tu es si belle quand tu défends la liberté des plus faibles
contre la violence des plus grands.
Les plus grands veulent te convaincre mais ils t'écrasent lorsque tu trembles,
le soleil brille pour tous, que les rois de ce monde en prennent l'exemple.
La douleur nous éventre, si on ne transmute rien,
le coeur devient puissant seulement s'il est relié au creux d'une main.
Le vieux monde est parti en cendre, parti Râ, je l'ai vu de loin,
on enlèvera nos pierres de leurs édifices et les pavés du chemin.
La vie, un mouvement éternel, l'inertie c est la mort,
je vis chaque journée comme la dernière car chaque jour elle se rapproche.
Enfants de la terre [...] oui on vaincra le sale sort,
en face de leur mensonge de pierre, de leur violence, faudra que l'on soit forts.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Entre les lignes #2 (Keny Arkana)
Oui j'ai juré de rester la même,
mais qui suis je ?
les hauts, les bas, montagnes russes affectives,
tensions internes mais je dois guérir,
sans ça, vouée à périr avant la fin du périple.
Dans ma dérive j'ai touché l'infinité,
je suis morte en silence et ai lutté dans la dignité.
J'ai fait des choses par conscience,
j'ai fait des choses par amour, ce qui en découle ne m'appartient pas.
Compte seulement l'instant présent, c est ce que la vie m'a enseigné,
oui demain c est comme un autre monde, rien n'est plus sûr,
le poids du monde sur les épaules, une époque qui veut éradiquer l'futur ;
l'humanité du dernier round eue à l'usure,
alors c est ça que sont devenus les descendants des sages ?
Aveuglés par ce qui brille on ne peut voir les présages,
peu importe quo'n me comprenne ou pas, je fais passer l'message,
le passé n'est plus, tout devient chimère,
à la mémoire d'hier, de tout ceux qui nous quitterent.
J'ai dégringolé le ravin un soir d'hiver,
depuis le sang n'libère que le parfum de mes prières,
j'ai noirci des pages de griefs et de larmes et de rage
à l'armée, société, ou armée de lâches.
Incarnée j'ai voulu toucher les étoiles
j'étais pas prête et j'crois que jme suis plus que brûlé les doigts,
alors je suis partie affronter mes peurs,
à la belle étoile, la nature m'a guérie parce que j'suis restée pieuse,
seule avec moi même à regarder la danse des constellations,
à méditer pour apaiser ma peine, parce que société perverse t'écrasera si tu te perds,
te regardera de haut du haut de sa base de merde.
Mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent,
se détestent, se jugent, et se vendraient contre un peu d'espèce ?
Je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat,
éclair de conscience ? Non, je n'paie pas un état,
à l'heure où tout s'accélère, les sortilèges de crs qui fracasseraient même un cortège de veuves et d'orphelins,
j'suis née dans ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres
parce que je chante son effondrement, un peu seule contre tous.
J'suis née dans ce monde de béton, dans ce mitard, née comme toi sous les néons glauques d'une salle d'hopital.
Bienvenu ici bas, asile grandeur nature,
communication hertzienne, pour s'faire entendre faut brûler des voitures,
alors j'écris entre les lignes et les ratures, entre la lumière et la brume,
entre le soleil et la lune,
car j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte
et comme j'ai vu à qui profite la merde, j'ai poussé à la lutte.
Toi qui est parti chercher tes rêves je te salue,
éternel éphémère, ce qui était ne sera plus.
Sors de ta rue et vois le monde qui t'a vu naitre,
ta force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine,
préserve ton esprit, les médias c est l'arme du règne,
ceux qui accusent l'incendie sont souvent ceux qui l'allumèrent.
Enfant de la lumière, sors de la cage intimes,
aucune cause n'est perdue, aucune prière n'est indigne.
Dans nos têtes le monde s'imbibe et s'imbrique,
ça voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime,
ici tout a un prix, même ce qu'on n'achète pas,
frangin y a pas que les stars [...] on est esclave.
La terre est grande, pourtant on n'a pas assez d'place,
monde bestial, alors on se noie en regardant l'espace,
carpe diem, au jour le jour on ne sait pas
de quoi est fait demain, souvent les chemins se séparent.
Héritiers du venin, mais on ne suit pas le cristal.
Héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral
malgré les interférences de l'époque
on n'a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure
mais on s'efforce de penser sage même dans l'amertume.
Grandissant loin de la verdure mais connecté à la Terre,
on a redécouvert ce qu'on pensait avoir perdu.
Héritiers d'une lignée, rappelle toi,
Babylone a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi.
Tant de mal a été fait, peut on soigner les plaies en les niant ?
La guérison vient du pardon, oui c est vrai,
mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits ;
ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
s'acharne sur le peu qui reste debout.
Interminable serait la liste, mais comprends le vrai problème,
guéris toi d'abord, car le monde est d'abord en nous même.
C'est ce que la vie m'a enseigné dans mon calvaire,
planète bleue, arrivée un 20/12, oui j'ai pleuré la terre
dans des révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés,
mais qui part en quête finira par trouver.
Partout les mêmes masques sur les coeurs,
c'est parce que ça aime trop sa coquille que ça refuse d'éclore ;
éclore c'est douloureux, mais l'ange m'a dit c est pas trop tard,
dis leur que petite graine deviendra baobab.
Oui j'ai juré de rester la même,
mais qui suis je ?
les hauts, les bas, montagnes russes affectives,
tensions internes mais je dois guérir,
sans ça, vouée à périr avant la fin du périple.
Dans ma dérive j'ai touché l'infinité,
je suis morte en silence et ai lutté dans la dignité.
J'ai fait des choses par conscience,
j'ai fait des choses par amour, ce qui en découle ne m'appartient pas.
Compte seulement l'instant présent, c est ce que la vie m'a enseigné,
oui demain c est comme un autre monde, rien n'est plus sûr,
le poids du monde sur les épaules, une époque qui veut éradiquer l'futur ;
l'humanité du dernier round eue à l'usure,
alors c est ça que sont devenus les descendants des sages ?
Aveuglés par ce qui brille on ne peut voir les présages,
peu importe quo'n me comprenne ou pas, je fais passer l'message,
le passé n'est plus, tout devient chimère,
à la mémoire d'hier, de tout ceux qui nous quitterent.
J'ai dégringolé le ravin un soir d'hiver,
depuis le sang n'libère que le parfum de mes prières,
j'ai noirci des pages de griefs et de larmes et de rage
à l'armée, société, ou armée de lâches.
Incarnée j'ai voulu toucher les étoiles
j'étais pas prête et j'crois que jme suis plus que brûlé les doigts,
alors je suis partie affronter mes peurs,
à la belle étoile, la nature m'a guérie parce que j'suis restée pieuse,
seule avec moi même à regarder la danse des constellations,
à méditer pour apaiser ma peine, parce que société perverse t'écrasera si tu te perds,
te regardera de haut du haut de sa base de merde.
Mais où on va si même les gens qui s'aiment se taisent,
se détestent, se jugent, et se vendraient contre un peu d'espèce ?
Je désespère pas, je sais que tout part d'un éclat,
éclair de conscience ? Non, je n'paie pas un état,
à l'heure où tout s'accélère, les sortilèges de crs qui fracasseraient même un cortège de veuves et d'orphelins,
j'suis née dans ce monde, en le dénonçant je m'attire les foudres
parce que je chante son effondrement, un peu seule contre tous.
J'suis née dans ce monde de béton, dans ce mitard, née comme toi sous les néons glauques d'une salle d'hopital.
Bienvenu ici bas, asile grandeur nature,
communication hertzienne, pour s'faire entendre faut brûler des voitures,
alors j'écris entre les lignes et les ratures, entre la lumière et la brume,
entre le soleil et la lune,
car j'ai grandi trop vite, je rejette la vie d'adulte
et comme j'ai vu à qui profite la merde, j'ai poussé à la lutte.
Toi qui est parti chercher tes rêves je te salue,
éternel éphémère, ce qui était ne sera plus.
Sors de ta rue et vois le monde qui t'a vu naitre,
ta force est infinie comme l'univers ou l'âme humaine,
préserve ton esprit, les médias c est l'arme du règne,
ceux qui accusent l'incendie sont souvent ceux qui l'allumèrent.
Enfant de la lumière, sors de la cage intimes,
aucune cause n'est perdue, aucune prière n'est indigne.
Dans nos têtes le monde s'imbibe et s'imbrique,
ça voyage en un clic, Babylone n'est qu'un crime,
ici tout a un prix, même ce qu'on n'achète pas,
frangin y a pas que les stars [...] on est esclave.
La terre est grande, pourtant on n'a pas assez d'place,
monde bestial, alors on se noie en regardant l'espace,
carpe diem, au jour le jour on ne sait pas
de quoi est fait demain, souvent les chemins se séparent.
Héritiers du venin, mais on ne suit pas le cristal.
Héritiers d'une parole, d'un esprit ancestral
malgré les interférences de l'époque
on n'a pas toujours l'étoffe du message ni l'envergure
mais on s'efforce de penser sage même dans l'amertume.
Grandissant loin de la verdure mais connecté à la Terre,
on a redécouvert ce qu'on pensait avoir perdu.
Héritiers d'une lignée, rappelle toi,
Babylone a plié nos ancêtres pour s'autoproclamer roi.
Tant de mal a été fait, peut on soigner les plaies en les niant ?
La guérison vient du pardon, oui c est vrai,
mais pour pardonner faut aussi que chacun reconnaisse ses méfaits ;
ici le tortionnaire te parle de haut, te traite de fou, insulte tes rêves et tes racines,
s'acharne sur le peu qui reste debout.
Interminable serait la liste, mais comprends le vrai problème,
guéris toi d'abord, car le monde est d'abord en nous même.
C'est ce que la vie m'a enseigné dans mon calvaire,
planète bleue, arrivée un 20/12, oui j'ai pleuré la terre
dans des révélations, pourtant tous embrouillés, embourbés,
mais qui part en quête finira par trouver.
Partout les mêmes masques sur les coeurs,
c'est parce que ça aime trop sa coquille que ça refuse d'éclore ;
éclore c'est douloureux, mais l'ange m'a dit c est pas trop tard,
dis leur que petite graine deviendra baobab.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Une décennie d'un siècle (Keny Arkana)
Où sont passés nos sourires ? Et ceux de ceux qu'on a vu grandir ?
Le temps est si vite passé, que dire, tout va de pire en pire,
mélancolie d'époque révolue, des tripes qui te rattrapent,
c'est véridique, quelque chose a disparu,
subtile, la peine palpable dans la rue.
Partout la même haine, la même peur, la même peine,
ça fait presque dix piges le World trade center,
la même division depuis, oui le climat a changé,
comme si une guerre avait été déclarée à toute l'humanité.
Ca fait 10 piges que tout se désagrège,
comme si la répression avait la grâce d'apaiser l'malaise,
ça fait 10 piges que l'euro nous nique,
que les portables nous parasitent,
les ondes nous grillent le cerveau bien plus qu'une tonne de cannabis.
Ca fait 10 piges, le fichage, la surveillance, les lois antiterroristes
qui permettent d'enfermer n'importe qui et tout le monde,
ça fait 10 piges que ça crache sur les muslims,
mais si tu critiques le nazissme israëlien on te traitera d'antisémite.
10 piges tout s'accélère,
10 piges qu'les murs se referment,
10 piges que l'inquisiteur est revenu à visage découvert,
10 piges [...]
Une décennie moderne d'un siècle, des croisades à internet.
Où sont passé tous nos rêves ?
Ceux pour lesquels on se battait,
cette puissance éternelle que le temps a fini par racler.
Les temps ont changé, aujourd'hui règne l'égoisme,
la jeunesse rêve d'opulence quitte à trahir son ...
Nostalgique de l'époque FF,
quand y avait pas toutes ces caméras de surveillance ni tous ces fourgons de crs,
à l'époque le rap parlait, représentait les gens d'en bas,
c'était du Fuck Jazy en boucle, comme dirait Laura.
Ca fait 10 piges que le rap nous parle que de son nombril,
chante les louanges de l'ennemi en glorifiant son vice,
ça fait 10 piges que la politique est un spectacle du Sénat,
la présidence ? Ils se prennent tous pour des vedettes de cinéma.
Ca fait 10 piges que l'inquisiteur au moyen orient envahit,
des intentions les plus hardcores aux armes de pointes les plus sadiques.
Moderne conquistador dans un spectacle médiatique,
manipulé par leur mentor où tous font mine de compatir.
Où est passée la solidarité, l'entraide dans nos quartiers ?
Où est passée la tolérance depuis que le zéro est pointé ?
Où est passée la vibe d'avant qui régnait dans nos ruelles,
centre ville, marseille, colonisée par euromed.
En 10 piges le monde s'est radicalisé,
fascisme est remonté en fleche, chaque pays s'est dictaturalisé,
les frontières sont fermées ; sud ne peut plus monter au nord,
mais nord continue à briser son frère sud, lassé de compter ses morts.
Fascisme en télé, c est même lui qui a la parole,
générateur de bas instinct même si tu tournes la parabole,
vague d'islamophobie, chacun son autarcie,
2010 et même les enfants virent au communautarisme.
En 10 piges c est un siècle qui est passé sur la planète,
le virtuel, les gens s'connaissent que d'internet,
les liens de perdent comme le naturel et la simplicité,
même la zone a changé, de plus en plus divisée,
on s'est fait avoir,
on est tombé dans le panneau,
quand la peur parle le peuple acquiesce,
10 ans de menaces terroristes montées de toute pièce,
ça s'appelle l'art de manigancer des drames
pour orienter l'opinion, l'ordre mondial a fait du chemin en 10 ans.
Dans nos têtes, dans la rue, en politique, en finance et caetera,
ça se répercute dans les relations entre les gens, entre les cultures, entre les religions
les riches spéculent, toutes les villes ont été rachetées, privatisées,
monopoly géant
tandis que les pauvres s'appauvrissent,
de plus en plus de gens font les poubelles.
Business, expulsion, charter, frondex, tout ça en 10 ans,
des portables à internet, en passant par l'euro,
on s'est fait niquer.
Où sont passés nos sourires ? Et ceux de ceux qu'on a vu grandir ?
Le temps est si vite passé, que dire, tout va de pire en pire,
mélancolie d'époque révolue, des tripes qui te rattrapent,
c'est véridique, quelque chose a disparu,
subtile, la peine palpable dans la rue.
Partout la même haine, la même peur, la même peine,
ça fait presque dix piges le World trade center,
la même division depuis, oui le climat a changé,
comme si une guerre avait été déclarée à toute l'humanité.
Ca fait 10 piges que tout se désagrège,
comme si la répression avait la grâce d'apaiser l'malaise,
ça fait 10 piges que l'euro nous nique,
que les portables nous parasitent,
les ondes nous grillent le cerveau bien plus qu'une tonne de cannabis.
Ca fait 10 piges, le fichage, la surveillance, les lois antiterroristes
qui permettent d'enfermer n'importe qui et tout le monde,
ça fait 10 piges que ça crache sur les muslims,
mais si tu critiques le nazissme israëlien on te traitera d'antisémite.
10 piges tout s'accélère,
10 piges qu'les murs se referment,
10 piges que l'inquisiteur est revenu à visage découvert,
10 piges [...]
Une décennie moderne d'un siècle, des croisades à internet.
Où sont passé tous nos rêves ?
Ceux pour lesquels on se battait,
cette puissance éternelle que le temps a fini par racler.
Les temps ont changé, aujourd'hui règne l'égoisme,
la jeunesse rêve d'opulence quitte à trahir son ...
Nostalgique de l'époque FF,
quand y avait pas toutes ces caméras de surveillance ni tous ces fourgons de crs,
à l'époque le rap parlait, représentait les gens d'en bas,
c'était du Fuck Jazy en boucle, comme dirait Laura.
Ca fait 10 piges que le rap nous parle que de son nombril,
chante les louanges de l'ennemi en glorifiant son vice,
ça fait 10 piges que la politique est un spectacle du Sénat,
la présidence ? Ils se prennent tous pour des vedettes de cinéma.
Ca fait 10 piges que l'inquisiteur au moyen orient envahit,
des intentions les plus hardcores aux armes de pointes les plus sadiques.
Moderne conquistador dans un spectacle médiatique,
manipulé par leur mentor où tous font mine de compatir.
Où est passée la solidarité, l'entraide dans nos quartiers ?
Où est passée la tolérance depuis que le zéro est pointé ?
Où est passée la vibe d'avant qui régnait dans nos ruelles,
centre ville, marseille, colonisée par euromed.
En 10 piges le monde s'est radicalisé,
fascisme est remonté en fleche, chaque pays s'est dictaturalisé,
les frontières sont fermées ; sud ne peut plus monter au nord,
mais nord continue à briser son frère sud, lassé de compter ses morts.
Fascisme en télé, c est même lui qui a la parole,
générateur de bas instinct même si tu tournes la parabole,
vague d'islamophobie, chacun son autarcie,
2010 et même les enfants virent au communautarisme.
En 10 piges c est un siècle qui est passé sur la planète,
le virtuel, les gens s'connaissent que d'internet,
les liens de perdent comme le naturel et la simplicité,
même la zone a changé, de plus en plus divisée,
on s'est fait avoir,
on est tombé dans le panneau,
quand la peur parle le peuple acquiesce,
10 ans de menaces terroristes montées de toute pièce,
ça s'appelle l'art de manigancer des drames
pour orienter l'opinion, l'ordre mondial a fait du chemin en 10 ans.
Dans nos têtes, dans la rue, en politique, en finance et caetera,
ça se répercute dans les relations entre les gens, entre les cultures, entre les religions
les riches spéculent, toutes les villes ont été rachetées, privatisées,
monopoly géant
tandis que les pauvres s'appauvrissent,
de plus en plus de gens font les poubelles.
Business, expulsion, charter, frondex, tout ça en 10 ans,
des portables à internet, en passant par l'euro,
on s'est fait niquer.
Non-diag.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Le syndrome de l'exclu (Keny Arkana)
J'ai le syndrome de l'exclu,
l'impression de pas être à ma place,
mal jugée, mal vue depuis l'époque d'aller en classe.
Dégaine de délinquante, je pue la zone à 3 bornes,
ils nous prennent pour des primates, ça me met sur les nerfs,
j'ai pas les mots, je m'exprime, mais quand j'en ai plus je m'énerve.
Ouais je sais, c est nul, ça m'a causé des torts
mais j'ai pas la patience de ceux qui sont restés à l'école.
L'impression de déranger par ma simple présence,
quand jsuis loin du quartier, de mes gens,
je destabilise, attise la vigilance à faire flipper les mamies,
et faire stresser les vigiles.
Je ressens la méfiance de l'autre comme un coup bas,
je paranoie, et de cette parano je me sens coupable.
Depuis que je suis môme j'en ai ras le bol,
je m'auto-exclue car de l'exclu j'ai le syndrome.
J'ai le syndrome de l'exclu, jcache mes blessures,
catégorie d'être dure, et en manque d'air pur.
J'ai le syndrome de l'exclu, putain je gère plus
dans ce système de leche cul qui assassine les vertus.
Douleur infantile, sentiment d'exclusion
alors je foutais le bordel quand j'étais petite, aucun respect pour la complaisance,
ni d'celle des petits, ni d'celle des grands, à force d'être vu comme le vilain petit canard ça fait pousser les dents.
Sentir la crainte c est blessant, et petite ça m'a blessé
alors tu deviens ce qu'ils dessinent dans leur cliché :
une marginale qu'en a plus rien à carrer,
une sauvage au royaume d'une peur trop civilisée,
tu sais le syndrome est profond quand tu rentres pas dans leur format
et que l'injustice est comme normal.
Faut oser sinon tu es mort, que chacun de nous porte l'âme de qui il est, la vérité qu'on proclame,
prison de stéréotypes, jsuis coupable avec ma tête de craps,
allez vous en avant que j'pète un câble.
Y a que des figures hypocrites dans vos symboles,
laissez moi dans mon mon monde car de l'exclu j'ai le syndrome.
[...]
Pourquoi j'me sens coupable s'il y a un vol dans l'assemblée ? c est le syndrome de l'exclu.
Pourquoi la vendeuse me regarde et les vigiles commencent à trembler ? C'est le syndrome de l'exclu.
Pourquoi ceux qui me regardent de haut ne me regardent pas dans les yeux,
pourquoi les flics me tutoient, pourquoi les bourges sont mal à l'aise,
pourquoi jme sens jugée si je bouge de ma zone ?
Victime de leur cliché dont les médias raffolent.
C'est le syndrome de l'exclu qui m'a poussé à me battre, à être qui je suis,
loin de leur critère à deux balles,
à m'en sortir par moi même, à fuir de l'abattoir,
exclue de leur monde j'accomplis ce qu'ils ne veulent pas croire.
J'ai le syndrome de l'exclu,
l'impression de pas être à ma place,
mal jugée, mal vue depuis l'époque d'aller en classe.
Dégaine de délinquante, je pue la zone à 3 bornes,
ils nous prennent pour des primates, ça me met sur les nerfs,
j'ai pas les mots, je m'exprime, mais quand j'en ai plus je m'énerve.
Ouais je sais, c est nul, ça m'a causé des torts
mais j'ai pas la patience de ceux qui sont restés à l'école.
L'impression de déranger par ma simple présence,
quand jsuis loin du quartier, de mes gens,
je destabilise, attise la vigilance à faire flipper les mamies,
et faire stresser les vigiles.
Je ressens la méfiance de l'autre comme un coup bas,
je paranoie, et de cette parano je me sens coupable.
Depuis que je suis môme j'en ai ras le bol,
je m'auto-exclue car de l'exclu j'ai le syndrome.
J'ai le syndrome de l'exclu, jcache mes blessures,
catégorie d'être dure, et en manque d'air pur.
J'ai le syndrome de l'exclu, putain je gère plus
dans ce système de leche cul qui assassine les vertus.
Douleur infantile, sentiment d'exclusion
alors je foutais le bordel quand j'étais petite, aucun respect pour la complaisance,
ni d'celle des petits, ni d'celle des grands, à force d'être vu comme le vilain petit canard ça fait pousser les dents.
Sentir la crainte c est blessant, et petite ça m'a blessé
alors tu deviens ce qu'ils dessinent dans leur cliché :
une marginale qu'en a plus rien à carrer,
une sauvage au royaume d'une peur trop civilisée,
tu sais le syndrome est profond quand tu rentres pas dans leur format
et que l'injustice est comme normal.
Faut oser sinon tu es mort, que chacun de nous porte l'âme de qui il est, la vérité qu'on proclame,
prison de stéréotypes, jsuis coupable avec ma tête de craps,
allez vous en avant que j'pète un câble.
Y a que des figures hypocrites dans vos symboles,
laissez moi dans mon mon monde car de l'exclu j'ai le syndrome.
[...]
Pourquoi j'me sens coupable s'il y a un vol dans l'assemblée ? c est le syndrome de l'exclu.
Pourquoi la vendeuse me regarde et les vigiles commencent à trembler ? C'est le syndrome de l'exclu.
Pourquoi ceux qui me regardent de haut ne me regardent pas dans les yeux,
pourquoi les flics me tutoient, pourquoi les bourges sont mal à l'aise,
pourquoi jme sens jugée si je bouge de ma zone ?
Victime de leur cliché dont les médias raffolent.
C'est le syndrome de l'exclu qui m'a poussé à me battre, à être qui je suis,
loin de leur critère à deux balles,
à m'en sortir par moi même, à fuir de l'abattoir,
exclue de leur monde j'accomplis ce qu'ils ne veulent pas croire.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Cynisme vous a tué ? (Keny Arkana)
L'ombre demeure dans les coeurs qui rient de la misère d'autrui,
se mentir est dans les moeurs d'un monde prétentieux qu'a tout fait pour nous détruire.
Cynisme a contaminé les coeurs, il est le poison de l'homme,
il a rendu insensible, à se moquer du malheur de l'autre,
distorsion intérieure, c'est ses émotions qui se tordent,
comment peut on rire de l'enfant qui meurt de l'autre côté du globe ?
Mêlée à son égoisme, intelligencia qui te snobe
pour mieux s'acheter une bonne conscience prend la posture des philosophes.
Messieurs, vos théories sont glauques,
penser n'est pas une fin mais un outil, tout comme l'argent,
savez vous qu'est ce que tendre une main ?
Vous, connaissez vous l'humain, vous ?
Sa force, sa lumière, savez vous que malheur de l'un deviendra le malheur de tous ?
Deviendra le malheur des votres, de ceux qui se voilent la face
car se démontera votre monde de glace et vos démons tenaces.
Deviendra libre celui qui surmontera ses propres ombres
pendant que d'autres font trembler ce monde.
Sachez qu'on a le nombre, sachez que la force est en nous,
messieurs ne connaissent que le mental, mais sans le coeur
il est voué a rien comme votre monde lamentable.
Cynisme a engourdi les coeurs, chassé la compassion,
rendu égoiste, voici l'homme et son poison.
Il a profané la terre créant la misère du monde
en laissant les plus faibles par terre, cynisme a l'odeur d'une tombe.
Alors éloigne toi de lui, ne le nourris pas en toi,
il est l'antithèse de la vie, chasse la lumière qu'on a en soi.
[...]
Cynisme a envahi les foules, mêmes chez les fils des plus modestes,
l'innocence fait bien rire, la culpabilité de l'homme moderne.
Penser aux (?) c'est plus facile d'ironiser vos guerres
que d'assumer les drames et les supplices sortis tout droit de vos têtes.
Le ptit écran et ses images,
ça parait loin même pas réel, même pas choqué,
habitué aux explosions hollywoodiennes.
Humanité six pieds sous terre, porte vos tyrans dans son coeur,
occident arrête de penser si ça ne te rend pas meilleure.
Arrêtez de nourrir la terreur, partout ça meurt d'ennui,
celui qui voit le diable partout porte certainement le diable en lui.
L'humanité meurtrie, messieurs, et vos penseurs ne l'ont pas dit ?
Du haut de votre condescendance vous êtes devenus notre maladie.
Cynisme a envahi la terre, s'est refermé comme une volière,
elle crève a grand feu pendant que vous n'avez que la bourse à vos lèvres.
Détonnez des tonnes de colère, partout on la parle couramment,
on sait, mais qui sème la tempête récoltera l'ouragan.
Et vous, messieurs, vos coeurs battent ils encore ?
Connaissez vous la force de vie qui se cache dans l'homme ?
On vous doit notre monde froid, cynique et glauque,
les illimités nous humilient quand on rêve un peu trop fort.
Ehoh.
Savez vous que l'on voit ce que l'on croit, non pas l'inverse,
que chaque réalité a d'abord commencé par un rêve.
Préviens les tiens, cynisme est poison de l'âme,
l'ennemi de la sagesse, il a déshumanisé l'homme.
Cynisme a trompé l'oeil en trompant le coeur de nos pères et de nos fils,
a ensorcelé la bêtise et la haine,
ils s'applaudissent ;
l'humanité ne cesse de regresser, on le ressent dans nos vices,
quel bel exemple, vous qui traitez compassion de sottise.
Vous préférez rapport de force en vous cachant derrière la police,
et police a bon dos vu que vous y êtes avec votre air poli.
Avec vos billets, vos hobbys malsains et vos combines,
paternalisme à force d'être petits, ça donne le monde d'aujourd'hui,
ça donne des hommes plein de lâcheté,
des gosses qui crèvent aux yeux du monde là où tout le vivant peut s'acheter,
ça donne se droit à l'oppresseur d'opprimer librement,
vos livres mentent, ne chantent que la victoire des vainqueurs de ce monde,
oui messieurs, c'est doucement qu'on s'est éteint à votre pensée,
et comme d'hab, vous remettre en cause nous qualifiera d'outranciers.
Mais nous ne sommes pas des machines, l'amour de vivre nous rend vivants,
on n'achète pas les bonheur, et vos dollars ne pourront jamais stopper le temps.
Tic tac, tic tac, tic tac,
Messieurs vous n'êtes qu'une bande d'ingrats, tellement hais parmi les notres,
la terre donne à ses enfants jusqu'à ce que la terre se révolte,
votre mental vous a coupé du coeur, vous n'êtes plus des hommes,
car la force de l'homme vient de l'intérieur et de l'amour qu'il porte.
L'ombre demeure dans les coeurs qui rient de la misère d'autrui,
se mentir est dans les moeurs d'un monde prétentieux qu'a tout fait pour nous détruire.
Cynisme a contaminé les coeurs, il est le poison de l'homme,
il a rendu insensible, à se moquer du malheur de l'autre,
distorsion intérieure, c'est ses émotions qui se tordent,
comment peut on rire de l'enfant qui meurt de l'autre côté du globe ?
Mêlée à son égoisme, intelligencia qui te snobe
pour mieux s'acheter une bonne conscience prend la posture des philosophes.
Messieurs, vos théories sont glauques,
penser n'est pas une fin mais un outil, tout comme l'argent,
savez vous qu'est ce que tendre une main ?
Vous, connaissez vous l'humain, vous ?
Sa force, sa lumière, savez vous que malheur de l'un deviendra le malheur de tous ?
Deviendra le malheur des votres, de ceux qui se voilent la face
car se démontera votre monde de glace et vos démons tenaces.
Deviendra libre celui qui surmontera ses propres ombres
pendant que d'autres font trembler ce monde.
Sachez qu'on a le nombre, sachez que la force est en nous,
messieurs ne connaissent que le mental, mais sans le coeur
il est voué a rien comme votre monde lamentable.
Cynisme a engourdi les coeurs, chassé la compassion,
rendu égoiste, voici l'homme et son poison.
Il a profané la terre créant la misère du monde
en laissant les plus faibles par terre, cynisme a l'odeur d'une tombe.
Alors éloigne toi de lui, ne le nourris pas en toi,
il est l'antithèse de la vie, chasse la lumière qu'on a en soi.
[...]
Cynisme a envahi les foules, mêmes chez les fils des plus modestes,
l'innocence fait bien rire, la culpabilité de l'homme moderne.
Penser aux (?) c'est plus facile d'ironiser vos guerres
que d'assumer les drames et les supplices sortis tout droit de vos têtes.
Le ptit écran et ses images,
ça parait loin même pas réel, même pas choqué,
habitué aux explosions hollywoodiennes.
Humanité six pieds sous terre, porte vos tyrans dans son coeur,
occident arrête de penser si ça ne te rend pas meilleure.
Arrêtez de nourrir la terreur, partout ça meurt d'ennui,
celui qui voit le diable partout porte certainement le diable en lui.
L'humanité meurtrie, messieurs, et vos penseurs ne l'ont pas dit ?
Du haut de votre condescendance vous êtes devenus notre maladie.
Cynisme a envahi la terre, s'est refermé comme une volière,
elle crève a grand feu pendant que vous n'avez que la bourse à vos lèvres.
Détonnez des tonnes de colère, partout on la parle couramment,
on sait, mais qui sème la tempête récoltera l'ouragan.
Et vous, messieurs, vos coeurs battent ils encore ?
Connaissez vous la force de vie qui se cache dans l'homme ?
On vous doit notre monde froid, cynique et glauque,
les illimités nous humilient quand on rêve un peu trop fort.
Ehoh.
Savez vous que l'on voit ce que l'on croit, non pas l'inverse,
que chaque réalité a d'abord commencé par un rêve.
Préviens les tiens, cynisme est poison de l'âme,
l'ennemi de la sagesse, il a déshumanisé l'homme.
Cynisme a trompé l'oeil en trompant le coeur de nos pères et de nos fils,
a ensorcelé la bêtise et la haine,
ils s'applaudissent ;
l'humanité ne cesse de regresser, on le ressent dans nos vices,
quel bel exemple, vous qui traitez compassion de sottise.
Vous préférez rapport de force en vous cachant derrière la police,
et police a bon dos vu que vous y êtes avec votre air poli.
Avec vos billets, vos hobbys malsains et vos combines,
paternalisme à force d'être petits, ça donne le monde d'aujourd'hui,
ça donne des hommes plein de lâcheté,
des gosses qui crèvent aux yeux du monde là où tout le vivant peut s'acheter,
ça donne se droit à l'oppresseur d'opprimer librement,
vos livres mentent, ne chantent que la victoire des vainqueurs de ce monde,
oui messieurs, c'est doucement qu'on s'est éteint à votre pensée,
et comme d'hab, vous remettre en cause nous qualifiera d'outranciers.
Mais nous ne sommes pas des machines, l'amour de vivre nous rend vivants,
on n'achète pas les bonheur, et vos dollars ne pourront jamais stopper le temps.
Tic tac, tic tac, tic tac,
Messieurs vous n'êtes qu'une bande d'ingrats, tellement hais parmi les notres,
la terre donne à ses enfants jusqu'à ce que la terre se révolte,
votre mental vous a coupé du coeur, vous n'êtes plus des hommes,
car la force de l'homme vient de l'intérieur et de l'amour qu'il porte.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
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- Prolifique
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Jour de paix (113)
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
une trêve, une pause, pour que l'on sache après qu'on on court.
Sait-on encore c'que signifie l'amour ? j'ai bien peur que non,
Dieu nous le montre tours les jours.
La planète tourne à l'envers, ça me fait peur,
voyez vous les flammes de l'enfer, frères et soeurs ?
Ne lui vendez pas vos âmes.
J'aimerais dire que les clefs du bonheur ne se trouvent pas dans les billets de banques,
voir tous ces gens libérés de la peur qui les hante.
Qui aiment la vie, mais celle ci leur a fait un baiser mortel,
quelques rimes que tu peux comparer aux larmes du soleill ;
un jour de paix
tant qu'il y aura des hommes et des femmes qui s'aiment,
ton coeur c est pas une télécommande,
même dans la tourmente chacun rejoint son domicile comme des tranchées,
ta couleur de peau peut faire de toi un étranger, tu trouves ça normal ?
moi j'me sens chez moi n'importe où,
citoyen du monde avec peu de moyen, mais libre au moins.
Au fond de moi j'ai du mal à comprendre,
quand je vois ces mômes mal vêtus, mal nourris, victimes de maltraitance ;
vitry mon cadre de vie, rongé par le trafic, de l'amour au compte goutte,
comme les aides humanitaires pour l'afrique.
Au coeur de l'incendie, il suffit pas de se lever du bon pied,
traverse les flammes courageux et digne comme un pompier.
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour
[...]
Comment rester insensible ? la violence déborde,
changer l'attitude de l' être humain, est ce possible ?
Comment rester insensible ? une vie minable,
dans un quartier minable,
mais pour la paix tant que c est possible.
En tant que rastaman, je mène mon combat,
j'veux la paix, l'amour, mais pour le tchad j'ai des coup d'ton-bâ,
jlâcherai pas l'affaire, non, je ne baisserai pas les bras,
j'y croirai dur comme fer même quand mon coeur s'arrêtera.
Un jour de paix pour nos fils,
un jour de paix pour nos filles,
un jour sans que tout parte en vrille.
Un jour sans pleurs, sans haine, sans peur, sans peine,
un jour où tombe Babylone system.
J'suis un être humain comme tout l'monde, je m'arrête aux choses sensibles,
tu sais qu'avec le temps les plus rebelles s'assagissent.
jveux voir de la joie au lieu de la haine dans les yeux des gens,
j'ai de la peine quand jregarde les infos et vois ce qui se passe sur d'autres continents.
Je vis là où les jours se confondent avec la nuit,
là où aussi on laisse peu de chance aux plus démunis.
Aux orphelins qui retrouvent l'amour dans un foyer secondaire,
dès leur enfance, bercés par la colère d'un père.
Rêve d'une terre sans discrimination, sans conflit,
tendre la main à ceux dans la solitude
comme ce petit paralysé sur un lit qui convoite le bonheur, ce second souffle,
il y a des gens qui souffrent et qui font pas semblant.
Pour tous les pays en guerre j'agite le drapeau blanc,
baissez les armes, séchez vos larmes,
pour un jour de paix, c'est maintenant.
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
une trêve, une pause, pour que l'on sache après quoi on court.
[...]
Comment rester insensible ?
Une vie minable, dans un quartier minable,
mais pour la paix tant que c'est possible.
Comment veux tu que la terre tourne à l'endroit si nos cerveaux marchent à l'envers man ?
Reaction. Reaction.
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
une trêve, une pause, pour que l'on sache après qu'on on court.
Sait-on encore c'que signifie l'amour ? j'ai bien peur que non,
Dieu nous le montre tours les jours.
La planète tourne à l'envers, ça me fait peur,
voyez vous les flammes de l'enfer, frères et soeurs ?
Ne lui vendez pas vos âmes.
J'aimerais dire que les clefs du bonheur ne se trouvent pas dans les billets de banques,
voir tous ces gens libérés de la peur qui les hante.
Qui aiment la vie, mais celle ci leur a fait un baiser mortel,
quelques rimes que tu peux comparer aux larmes du soleill ;
un jour de paix
tant qu'il y aura des hommes et des femmes qui s'aiment,
ton coeur c est pas une télécommande,
même dans la tourmente chacun rejoint son domicile comme des tranchées,
ta couleur de peau peut faire de toi un étranger, tu trouves ça normal ?
moi j'me sens chez moi n'importe où,
citoyen du monde avec peu de moyen, mais libre au moins.
Au fond de moi j'ai du mal à comprendre,
quand je vois ces mômes mal vêtus, mal nourris, victimes de maltraitance ;
vitry mon cadre de vie, rongé par le trafic, de l'amour au compte goutte,
comme les aides humanitaires pour l'afrique.
Au coeur de l'incendie, il suffit pas de se lever du bon pied,
traverse les flammes courageux et digne comme un pompier.
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour
[...]
Comment rester insensible ? la violence déborde,
changer l'attitude de l' être humain, est ce possible ?
Comment rester insensible ? une vie minable,
dans un quartier minable,
mais pour la paix tant que c est possible.
En tant que rastaman, je mène mon combat,
j'veux la paix, l'amour, mais pour le tchad j'ai des coup d'ton-bâ,
jlâcherai pas l'affaire, non, je ne baisserai pas les bras,
j'y croirai dur comme fer même quand mon coeur s'arrêtera.
Un jour de paix pour nos fils,
un jour de paix pour nos filles,
un jour sans que tout parte en vrille.
Un jour sans pleurs, sans haine, sans peur, sans peine,
un jour où tombe Babylone system.
J'suis un être humain comme tout l'monde, je m'arrête aux choses sensibles,
tu sais qu'avec le temps les plus rebelles s'assagissent.
jveux voir de la joie au lieu de la haine dans les yeux des gens,
j'ai de la peine quand jregarde les infos et vois ce qui se passe sur d'autres continents.
Je vis là où les jours se confondent avec la nuit,
là où aussi on laisse peu de chance aux plus démunis.
Aux orphelins qui retrouvent l'amour dans un foyer secondaire,
dès leur enfance, bercés par la colère d'un père.
Rêve d'une terre sans discrimination, sans conflit,
tendre la main à ceux dans la solitude
comme ce petit paralysé sur un lit qui convoite le bonheur, ce second souffle,
il y a des gens qui souffrent et qui font pas semblant.
Pour tous les pays en guerre j'agite le drapeau blanc,
baissez les armes, séchez vos larmes,
pour un jour de paix, c'est maintenant.
Si la paix pouvait embrasser ce monde juste un jour,
une trêve, une pause, pour que l'on sache après quoi on court.
[...]
Comment rester insensible ?
Une vie minable, dans un quartier minable,
mais pour la paix tant que c'est possible.
Comment veux tu que la terre tourne à l'endroit si nos cerveaux marchent à l'envers man ?
Reaction. Reaction.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
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- Prolifique
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- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Partout où j'irai (Nuttea)
Je partirai au lever du jour, plus rien ne me retient ici,
ils ont tué le peu d'amour qu'il restait dans cette chienne de vie,
la misère qui ronge nos fauxbourgs ne fait qu'endurcir mon esprit ;
j'irai chercher ailleurs un peu d'espoir,
qui sait si la roue tourne demain me sourira.
Je sais que partout où j'irai faudra payer le prix,
ici ou ailleurs tout ce que je sais c est qu'on est en droit de choisir,
je pars et dieu seul c'est où je vais : sûrement loin d'ici.
Je sais ce que j'y trouverai : le meilleur comme le pire.
Je ne crois pas à la Terre promise, je ne vois pas l'horizon,
même si la tyrannie s'éternise je garderai toutes mes illusions.
C'est tout un symbole qu'on brise pour s'affranchir de l'oppression,
quoiqu'il arrive je n'ai plus rien à perdre,
c'est à la force des mains que je me construirai un avenir.
Je sais que partout où j'irai faudra payer le prix
[...]
Comment vivre jour après jour si on t'enseigne l'ignorance,
qu'il n'y a que les fusils en recours face à la trop grande arrogance
des pays servant de beaux discours pour larguer leurs bombes à outrance ?
Je prie le ciel pour que vive l'espoir
de voir mon peuple se lever pour le droit de vivre libre.
Je partirai au lever du jour, plus rien ne me retient ici,
ils ont tué le peu d'amour qu'il restait dans cette chienne de vie,
la misère qui ronge nos fauxbourgs ne fait qu'endurcir mon esprit ;
j'irai chercher ailleurs un peu d'espoir,
qui sait si la roue tourne demain me sourira.
Je sais que partout où j'irai faudra payer le prix,
ici ou ailleurs tout ce que je sais c est qu'on est en droit de choisir,
je pars et dieu seul c'est où je vais : sûrement loin d'ici.
Je sais ce que j'y trouverai : le meilleur comme le pire.
Je ne crois pas à la Terre promise, je ne vois pas l'horizon,
même si la tyrannie s'éternise je garderai toutes mes illusions.
C'est tout un symbole qu'on brise pour s'affranchir de l'oppression,
quoiqu'il arrive je n'ai plus rien à perdre,
c'est à la force des mains que je me construirai un avenir.
Je sais que partout où j'irai faudra payer le prix
[...]
Comment vivre jour après jour si on t'enseigne l'ignorance,
qu'il n'y a que les fusils en recours face à la trop grande arrogance
des pays servant de beaux discours pour larguer leurs bombes à outrance ?
Je prie le ciel pour que vive l'espoir
de voir mon peuple se lever pour le droit de vivre libre.
Non-diag.
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Re: Paroles de chansons, dialogues de films, autre...
Corneille (seul au monde).
D'où je viens ? très loin.
Où je vais ? personne le sait.
En attendant, je vous dis où j'en suis :
On dit souvent que j'ai l'air d'avoir tout pour moi, mais c est sans savoir
les fantômes qui me hantent et les requiems que je me chante.
Je joue au dur chaque jour qui passe mais les pierres de chaque mur un jour se cassent.
J'suis peut être la roche qu'on croit, mais je suis plus fragile que j'veux qu'on voit.
Maman m'a dit avant de partir "montre jamais tes faiblesses, et dans le pire,
reste fort, ravale tes larmes, car ta fierté restera ta plus belle arme."
Donc je sais rire quand il le faut, mais faut pas croire, je craque dès qu'on tourne le dos.
Je marche droit pour ne pas plier,
d'ailleurs je chante souvent pour ne pas crier.
Quand je pense à ma vie, je fais face à mes nuits,
chaque jour qui se lève me dit que je suis seul au monde,
y a rien à faire j'suis seul au monde,
jpeux plus le taire, je suis seul au monde,
je me sens seul au monde.
J'hais Noël et toutes ces bêtes fêtes de famille et tout ce qui me rappelle ma plus belle vie,
j'suis jaloux de vous les chanceux qui prenez votre chair et votre sang pour acquis,
j'ai horreur de votre pitié,
je prends très mal votre générosité,
ça fait déjà un bout que je m'suffit,
c est pas vrai mais pour être fort c est ça qu'je me dis.
Quoiqu'il arrive faut qu'je reste dans mon rôle,
quoiqu'il arrive faut qu'je garde le contrôle,
je pense à moi avant le reste du monde car avec les années je me suis rendu compte
que si c est pas moi, ça sera personne. Pas lui, pas toi ni personne.
Ici bas c est chacun pour soi pour les pauvres et fiers solitaires comme moi.
Quand je pense à ma vie seul face à mes nuits,
chaque jour qui se lève me dit que je suis seul au monde,
y a rien à faire j'suis seul au monde,
[...]
Des fois je trouve l'amour dans les yeux de l'une,
des fois je trouve le jour dans les bras de l'autre,
et à toutes celles qui m'aiment encore, qui m'aiment à tort, qui m'aiment trop fort,
je vous dois ma survie, merci encore.
Cela n'empêche que je suis seul au monde.
D'où je viens ? très loin.
Où je vais ? personne le sait.
En attendant, je vous dis où j'en suis :
On dit souvent que j'ai l'air d'avoir tout pour moi, mais c est sans savoir
les fantômes qui me hantent et les requiems que je me chante.
Je joue au dur chaque jour qui passe mais les pierres de chaque mur un jour se cassent.
J'suis peut être la roche qu'on croit, mais je suis plus fragile que j'veux qu'on voit.
Maman m'a dit avant de partir "montre jamais tes faiblesses, et dans le pire,
reste fort, ravale tes larmes, car ta fierté restera ta plus belle arme."
Donc je sais rire quand il le faut, mais faut pas croire, je craque dès qu'on tourne le dos.
Je marche droit pour ne pas plier,
d'ailleurs je chante souvent pour ne pas crier.
Quand je pense à ma vie, je fais face à mes nuits,
chaque jour qui se lève me dit que je suis seul au monde,
y a rien à faire j'suis seul au monde,
jpeux plus le taire, je suis seul au monde,
je me sens seul au monde.
J'hais Noël et toutes ces bêtes fêtes de famille et tout ce qui me rappelle ma plus belle vie,
j'suis jaloux de vous les chanceux qui prenez votre chair et votre sang pour acquis,
j'ai horreur de votre pitié,
je prends très mal votre générosité,
ça fait déjà un bout que je m'suffit,
c est pas vrai mais pour être fort c est ça qu'je me dis.
Quoiqu'il arrive faut qu'je reste dans mon rôle,
quoiqu'il arrive faut qu'je garde le contrôle,
je pense à moi avant le reste du monde car avec les années je me suis rendu compte
que si c est pas moi, ça sera personne. Pas lui, pas toi ni personne.
Ici bas c est chacun pour soi pour les pauvres et fiers solitaires comme moi.
Quand je pense à ma vie seul face à mes nuits,
chaque jour qui se lève me dit que je suis seul au monde,
y a rien à faire j'suis seul au monde,
[...]
Des fois je trouve l'amour dans les yeux de l'une,
des fois je trouve le jour dans les bras de l'autre,
et à toutes celles qui m'aiment encore, qui m'aiment à tort, qui m'aiment trop fort,
je vous dois ma survie, merci encore.
Cela n'empêche que je suis seul au monde.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."