[Livre] L'autiste, son double et ses objets (Jean-Claude Maleval)
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Un article qui contient les éléments qui permettent d ' " assommer " aussi bien Elisabeth Roudinesco que ce professeur de psychologie de Rennes2 :
http://edph.univ-paris1.fr/phs2/demazeux.pdf
Je préviens tout de suite , ça paraîtra indigeste ( vraiment ) à toutes les personnes qui n ' ont pas l ' habitude des écrits traitant d ' épistémologie . J ' en suis désolé . Mais il est important de souligner que des réflexions TRES POUSSEES ( autrement plus poussées et pointues que celles des psyk qui ne donnent , elles , que l ' illusion de la profondeur ) sont menées parmi les tenants de la psychiatrie " moderne " ou actuelle .
Pour ceux que ça intéresse donc ....Sinon , je reviendrai comme prévu sur le passage que j ' ai encadré ...je montrerai aussi , pour en revenir à elle , en quoi Elisabeth Roudinesco non seulement est limitée sur le plan de la maîtrise conceptuelle ( faire le lien avec l ' article indiqué ) , MAIS ENCORE PLUS GRAVE , se livre une fois de plus à une entreprise de désinformation en usant de mensonges particulièrement grossiers !! :evil:Pour illustrer cela , le recours à des arguements , des exemples très simples suffiront !
Je devrais revenir vers 21h30 ...
http://edph.univ-paris1.fr/phs2/demazeux.pdf
Je préviens tout de suite , ça paraîtra indigeste ( vraiment ) à toutes les personnes qui n ' ont pas l ' habitude des écrits traitant d ' épistémologie . J ' en suis désolé . Mais il est important de souligner que des réflexions TRES POUSSEES ( autrement plus poussées et pointues que celles des psyk qui ne donnent , elles , que l ' illusion de la profondeur ) sont menées parmi les tenants de la psychiatrie " moderne " ou actuelle .
Pour ceux que ça intéresse donc ....Sinon , je reviendrai comme prévu sur le passage que j ' ai encadré ...je montrerai aussi , pour en revenir à elle , en quoi Elisabeth Roudinesco non seulement est limitée sur le plan de la maîtrise conceptuelle ( faire le lien avec l ' article indiqué ) , MAIS ENCORE PLUS GRAVE , se livre une fois de plus à une entreprise de désinformation en usant de mensonges particulièrement grossiers !! :evil:Pour illustrer cela , le recours à des arguements , des exemples très simples suffiront !
Je devrais revenir vers 21h30 ...
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Pour les auteurs de ce bouquin, l'autisme ne peut être d'origine génétique. D'ailleurs, le gène n'a pas encore été trouvé. C'est une illusion de le chercher ... car cela empêche de voir la psychose, la mère etc ... etc...
Un danger menace : c'est la tendance au compromis avec les microbiologistes, les cognitivistes, les comportementalistes des "meilleurs spécialistes de l'autisme" (entre guillemets dans le texte) que seraient les Prs Delion et Golse.
Pourquoi cèdent-ils du terrain, alors que la piste génétique est si peu fondée ?
Remarque : On ne peut pas dire que les auteurs vont chercher bien loin leurs connaissances sur le sujet, se limitant dans leur argumentaire au "plan autisme 2008-2010" et aux recommandations de la Haute autorité de santé.
Seule concession à ces documents : des recommandations qui "vont de soi", comme le diagnostic précoce [çà va de soi, mais cela était refusé jusqu'à présent].
Par contre, la demande "socle de connaissances" est décriée, au motif qu'elle ne peut se baser sur les aspects biologiques... D'ailleurs, il suffit de voir comment aux USA les partisans de la cause génétique s'écharpent avec les "environnementaux".
Les psychanalystes voudraient bien parler de "subjectivité" avec les membres des associations de parents. Mais ils ne rencontreront aucune écoute, mais seulement "la haine". Il faut qu'ils en prennent leur parti [je ne sais pas si çà veut dire seulement d'éviter de parler aux associations].
En tout cas, du fait de ces associations ("très présentes dans la région de Bordeaux"), le marché s'assèche pour les psy : les parents se détournent d'eux pour aller vers des pratiques cognitivistes.
Il faut donc que les psys se contentent des parents qui arrivent chez eux parce qu'ils ne sont pas pris en charge ailleurs : 2 cas cités. Le premier serait celui d'un petit enfant, pour lequel il n'y a pas eu de prise en charge proposée, mais seulement des IRM. Les parents en ont eu assez. Et ils sont arrivés pour leur plus grand bien à l'hôpital de jour.
Une grave question se pose d'ailleurs : ne faudrait-il pas organiser ces parents pour contrer la guerre menée par les associations existantes contre les psys ?
Autre danger : les centres de ressources autisme départementaux. Le territoire serait ainsi quadrillé par des centres experts, avec des spécialistes qui assureraient diagnostic et prescription.
De ce point de vue, les institutions psy de la région Bretagne (en majorité) bataillent depuis 10 ans contre l'existence d'un CRA. Elles ne veulent pas de "centre expert" et elles font tout pour en détourner les parents. Et saboter les moyens du CRA ... par vraiment tous les moyens.
Un danger menace : c'est la tendance au compromis avec les microbiologistes, les cognitivistes, les comportementalistes des "meilleurs spécialistes de l'autisme" (entre guillemets dans le texte) que seraient les Prs Delion et Golse.
Pourquoi cèdent-ils du terrain, alors que la piste génétique est si peu fondée ?
Remarque : On ne peut pas dire que les auteurs vont chercher bien loin leurs connaissances sur le sujet, se limitant dans leur argumentaire au "plan autisme 2008-2010" et aux recommandations de la Haute autorité de santé.
Seule concession à ces documents : des recommandations qui "vont de soi", comme le diagnostic précoce [çà va de soi, mais cela était refusé jusqu'à présent].
Par contre, la demande "socle de connaissances" est décriée, au motif qu'elle ne peut se baser sur les aspects biologiques... D'ailleurs, il suffit de voir comment aux USA les partisans de la cause génétique s'écharpent avec les "environnementaux".
Les psychanalystes voudraient bien parler de "subjectivité" avec les membres des associations de parents. Mais ils ne rencontreront aucune écoute, mais seulement "la haine". Il faut qu'ils en prennent leur parti [je ne sais pas si çà veut dire seulement d'éviter de parler aux associations].
En tout cas, du fait de ces associations ("très présentes dans la région de Bordeaux"), le marché s'assèche pour les psy : les parents se détournent d'eux pour aller vers des pratiques cognitivistes.
Il faut donc que les psys se contentent des parents qui arrivent chez eux parce qu'ils ne sont pas pris en charge ailleurs : 2 cas cités. Le premier serait celui d'un petit enfant, pour lequel il n'y a pas eu de prise en charge proposée, mais seulement des IRM. Les parents en ont eu assez. Et ils sont arrivés pour leur plus grand bien à l'hôpital de jour.
Une grave question se pose d'ailleurs : ne faudrait-il pas organiser ces parents pour contrer la guerre menée par les associations existantes contre les psys ?
Autre danger : les centres de ressources autisme départementaux. Le territoire serait ainsi quadrillé par des centres experts, avec des spécialistes qui assureraient diagnostic et prescription.
De ce point de vue, les institutions psy de la région Bretagne (en majorité) bataillent depuis 10 ans contre l'existence d'un CRA. Elles ne veulent pas de "centre expert" et elles font tout pour en détourner les parents. Et saboter les moyens du CRA ... par vraiment tous les moyens.
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Je reviendrai un peu plus tard que prévu sur l ' extrait tiré du bouquin de Jean-Claude Maleval mais pour rebondir sur ce que vient de dire Jean , voici un article qui illustre la situation dans le domaine de l ' enseignement de la psychologie à Rennes II :
http:///www.lahnon.org/SPIP-v1-7-1/article.php3?id_article=208
En précisant que contrairement à ce qui est dit , aucune recherche en neuroscience n ' a démontré la validité des thèses psychanalytique !
http:///www.lahnon.org/SPIP-v1-7-1/article.php3?id_article=208
En précisant que contrairement à ce qui est dit , aucune recherche en neuroscience n ' a démontré la validité des thèses psychanalytique !
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Les théories défendues par ces professionnels dans la région ont des conséquences concrètes, et ne sont pas franchement drôles. Je reproduis ci-dessous deux extraits du rapport d'activités pour 2007 du CRA :
"Un autre aspect lié à l’histoire tient à notre budget. En 1999 lorsqu’il fut question de notre implantation, l’à peu près quasi-exclusivité des collègues aussi bien en Bretagne que dans les Pays de Loire y était opposée. Avec le recul il nous semble que cette opposition tenait à la fois de la classique défiance à l’égard de tout dispositif nouveau, mais aussi à la crainte d’être dépossédé d’une expérience que chaque intersecteur avait patiemment construit au fil du temps et qui marquait un réel savoir-faire sur lequel fort heureusement le centre de ressources a pu s’appuyer pour remplir en partie ses missions. Toujours est-il qu’il fut dès lors bien difficile de convaincre l’ARH de consacrer une ligne budgétaire spécifique au centre de Ressources de Bretagne. (…)"
"Le centre de ressources a réalisé 567 consultations du 1er Janvier au 31 Décembre 2007.
255 sont des consultations de première intention, il s’agit d’analyser la ou les demandes de la famille ou des patients. A l’issue de cette première consultation, en fonction des demandes, nous proposons une évaluation diagnostique (dans environ la moitié des situations). Dans les autres cas, une seconde consultation à distance de la première permet d’avancer avec les parents et les patients quant aux questions qui ne justifient pas une évaluation pour y répondre.
Normalement, les évaluations diagnostiques faites au centre de ressources devraient être réservées aux situations complexes, soit en raison du jeune âge du patient, soit en raison de la complexité de la symptomatologie. Bien sûr qu’à chaque fois un contact est pris avec les équipes qui suivent le patient : notons qu’environ la moitié des équipes de pédopsychiatrie font directement appel à nous, mais l’autre moitié ne voit pas l’intérêt que revêt un tel bilan.
On se trouve dès lors dans une situation qui peut devenir péjorative pour le patient : pour autant, les parents demandent un diagnostic précis (en concordance avec les recommandations de la haute autorité de santé). Répondre à ce souhait est bien souvent l’occasion d’un cheminement de la part des parents, qu’une simple consultation ne saurait à elle seule accompagner. Une évaluation est alors nécessaire afin d’accompagner les parents dans la compréhension de la pathologie de leur enfant. Nous observons que dans ce cadre, et malgré l’absence de contact avec les équipes, à qui normalement revient ce rôle, les évaluations s’intègrent dans le suivit.
Nous pourrons réduire nos évaluations à partir du moment où l’ensemble des équipes de pédopsychiatrie acceptera d’utiliser le centre de ressources pour ce qu’il peut apporter et dès que les recommandations seront mises en œuvre par tout le monde (les querelles idéologiques restent encore prégnantes, même si l’on note de ce point de vue une évolution notable).
A titre d’exemple, l’intersecteur de Vannes a développé une unité d’évaluation utilisant les outils recommandés (ils se sont formés à ces outils auprès du centre de ressources) : aujourd’hui, grâce à la télémédecine, nous avons chaque mois un staff commun qui permet de partager réflexions et expériences.
Un intersecteur rennais a choisi de proposer systématiquement aux parents d’un enfant présentant un trouble envahissant du développement de se rendre au centre de ressources pour une évaluation. La restitution de notre évaluation se fait alors à Rennes en présence des parents et des professionnels engagés dans la prise en charge, permettant là encore une élaboration et un enrichissement mutuel profitable au patient.
Ces collaborations permettent d’orienter et de spécifier nos évaluations, mais paradoxalement, ceci augmente les demandes. En effet, les parents des autres intersecteurs qui, grâce à Internet, entretiennent des contacts fréquents souhaitent bénéficier du même niveau d’évaluation.
Le tableau suivant [non reproduit] reflète cette évolution, on peut espérer qu’à l’avenir la tendance s’inversera. Notons à ce propos que nous avions choisi, pour tenter d’améliorer le travail de réseau, de proposer systématiquement une restitution avec les équipes de prise en charge, en réunissant parents et professionnels. Pour des raisons complexes [8)], un certain nombre de collègues nous a demandé de cesser cette pratique (sans doute que la rencontre parents -professionnels engagés dans la prise en charge, s’inscrit pour eux dans les processus même de cette prise en charge)."
"Un autre aspect lié à l’histoire tient à notre budget. En 1999 lorsqu’il fut question de notre implantation, l’à peu près quasi-exclusivité des collègues aussi bien en Bretagne que dans les Pays de Loire y était opposée. Avec le recul il nous semble que cette opposition tenait à la fois de la classique défiance à l’égard de tout dispositif nouveau, mais aussi à la crainte d’être dépossédé d’une expérience que chaque intersecteur avait patiemment construit au fil du temps et qui marquait un réel savoir-faire sur lequel fort heureusement le centre de ressources a pu s’appuyer pour remplir en partie ses missions. Toujours est-il qu’il fut dès lors bien difficile de convaincre l’ARH de consacrer une ligne budgétaire spécifique au centre de Ressources de Bretagne. (…)"
"Le centre de ressources a réalisé 567 consultations du 1er Janvier au 31 Décembre 2007.
255 sont des consultations de première intention, il s’agit d’analyser la ou les demandes de la famille ou des patients. A l’issue de cette première consultation, en fonction des demandes, nous proposons une évaluation diagnostique (dans environ la moitié des situations). Dans les autres cas, une seconde consultation à distance de la première permet d’avancer avec les parents et les patients quant aux questions qui ne justifient pas une évaluation pour y répondre.
Normalement, les évaluations diagnostiques faites au centre de ressources devraient être réservées aux situations complexes, soit en raison du jeune âge du patient, soit en raison de la complexité de la symptomatologie. Bien sûr qu’à chaque fois un contact est pris avec les équipes qui suivent le patient : notons qu’environ la moitié des équipes de pédopsychiatrie font directement appel à nous, mais l’autre moitié ne voit pas l’intérêt que revêt un tel bilan.
On se trouve dès lors dans une situation qui peut devenir péjorative pour le patient : pour autant, les parents demandent un diagnostic précis (en concordance avec les recommandations de la haute autorité de santé). Répondre à ce souhait est bien souvent l’occasion d’un cheminement de la part des parents, qu’une simple consultation ne saurait à elle seule accompagner. Une évaluation est alors nécessaire afin d’accompagner les parents dans la compréhension de la pathologie de leur enfant. Nous observons que dans ce cadre, et malgré l’absence de contact avec les équipes, à qui normalement revient ce rôle, les évaluations s’intègrent dans le suivit.
Nous pourrons réduire nos évaluations à partir du moment où l’ensemble des équipes de pédopsychiatrie acceptera d’utiliser le centre de ressources pour ce qu’il peut apporter et dès que les recommandations seront mises en œuvre par tout le monde (les querelles idéologiques restent encore prégnantes, même si l’on note de ce point de vue une évolution notable).
A titre d’exemple, l’intersecteur de Vannes a développé une unité d’évaluation utilisant les outils recommandés (ils se sont formés à ces outils auprès du centre de ressources) : aujourd’hui, grâce à la télémédecine, nous avons chaque mois un staff commun qui permet de partager réflexions et expériences.
Un intersecteur rennais a choisi de proposer systématiquement aux parents d’un enfant présentant un trouble envahissant du développement de se rendre au centre de ressources pour une évaluation. La restitution de notre évaluation se fait alors à Rennes en présence des parents et des professionnels engagés dans la prise en charge, permettant là encore une élaboration et un enrichissement mutuel profitable au patient.
Ces collaborations permettent d’orienter et de spécifier nos évaluations, mais paradoxalement, ceci augmente les demandes. En effet, les parents des autres intersecteurs qui, grâce à Internet, entretiennent des contacts fréquents souhaitent bénéficier du même niveau d’évaluation.
Le tableau suivant [non reproduit] reflète cette évolution, on peut espérer qu’à l’avenir la tendance s’inversera. Notons à ce propos que nous avions choisi, pour tenter d’améliorer le travail de réseau, de proposer systématiquement une restitution avec les équipes de prise en charge, en réunissant parents et professionnels. Pour des raisons complexes [8)], un certain nombre de collègues nous a demandé de cesser cette pratique (sans doute que la rencontre parents -professionnels engagés dans la prise en charge, s’inscrit pour eux dans les processus même de cette prise en charge)."
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Le lien ne fonctionne pas . Mais allez sur le site de cette association d ' étudiants ( son nom est " l ' Ah Non " ) et vous pourrez juger du ton ... Les pires parmi les pires sont leur référence ( Jacques-Alain Miller , Elisabeth Roudinesco , etc. )
Même parmi les psyk , il est possible d ' entrouver des bien moins bornés que cela !! C ' est aussi ça Rennes II !!!
Même parmi les psyk , il est possible d ' entrouver des bien moins bornés que cela !! C ' est aussi ça Rennes II !!!
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Si si, il fonctionne.dondavidson a écrit :Le lien ne fonctionne pas .
http://www.lahnon.org/SPIP-v1-7-1/artic ... rticle=208
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Certes, cependant le ton que tu emploie... je pense que ça doit être par moment du second degré... (?) ... ou alors ça veut dire que tu oublie de mettre des guillemets à certaines de tes phrases... et des quotes aussi.Jean a écrit :Les théories défendues par ces professionnels dans la région ont des conséquences concrètes, et ne sont pas franchement drôles.
"Sans la liberté de lier, il n’est point d’internet."
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Oui, c'est parfois du second degré. Mais surtout, comme je n'ai pas le bouquin sous la main, et que je cite de mémoire, je ne peux mettre de guillemets. Je suis dans la "paraphrase polémique".laura a écrit :Certes, cependant le ton que tu emploie... je pense que ça doit être par moment du second degré... (?) ... ou alors ça veut dire que tu oublie de mettre des guillemets à certaines de tes phrases... et des quotes aussi.Jean a écrit :Les théories défendues par ces professionnels dans la région ont des conséquences concrètes, et ne sont pas franchement drôles.
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communication "facilitée"
Toujours sur ce bouquin (qui m'a décidément énervé ce week-end), un article troublant :
Laurence Le Rhun Psychologue clinicienne
La communication facilitée : quels enjeux dans la clinique de l’autisme ? .
Cette technique australienne, non spécifique à l'autisme, a dérivé en France sous le nom de "psychophanie".
Et notre psy développe l'idée que finalement, çà permet à des autistes de communiquer etc...
L'article indique que cette technique a été interdite par la DDASS des Côtes d'Armor au foyer Ker-Spi (affaire relatée tendancieusement sur le site Pseudo-Sciences). Mais, curieusement, l'article indique que le débat sur ce sujet continue dans la région.
Je trouve ce commentaire très intriguant : où peut bien se dérouler ce débat ?
Sur ce sujet de la CF, il y a des pages définitives dans lerapport Baghdadli.
Laurence Le Rhun Psychologue clinicienne
La communication facilitée : quels enjeux dans la clinique de l’autisme ? .
Cette technique australienne, non spécifique à l'autisme, a dérivé en France sous le nom de "psychophanie".
Et notre psy développe l'idée que finalement, çà permet à des autistes de communiquer etc...
L'article indique que cette technique a été interdite par la DDASS des Côtes d'Armor au foyer Ker-Spi (affaire relatée tendancieusement sur le site Pseudo-Sciences). Mais, curieusement, l'article indique que le débat sur ce sujet continue dans la région.
Je trouve ce commentaire très intriguant : où peut bien se dérouler ce débat ?
Sur ce sujet de la CF, il y a des pages définitives dans lerapport Baghdadli.
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- Localisation : Yvelines
J'ai coupé mon premier message, car apparement j'ai le chic d'enerver notre M Don Davidson!!
Je n'ai surement pas lue le texte de meme facon que lui, car je ne vois pas autant de contraires. Mais mon comprehension (nettement plus limité que le tien Luna ) passe par mon facon de lire, typiquement anglais, ou chaque virgule et point a raison d'etre, et une texte peut changer totalement avec un de plus ou un de moins.
Par contre je suis tout a fait d'accord avec Murielle, que de venir s'enerver ne sert a rien, nous avons chacun nos idées, chacun nos facons de progresser, chacun nos methodes. Je ne pense pas qu'on a trouvé le reponse a tout, mais au moins on avance. Et surtout dans le respect de chacun sur ce forum. Si toi, Dondavidson, tu a la reponse, on est tout ouie!!
Sur ce, je retourne a mes calculs d'Impots, qui me prends presque un mois chaque année, et je peux m'enerver (toute seule) pour une bonne raison!!
Je n'ai surement pas lue le texte de meme facon que lui, car je ne vois pas autant de contraires. Mais mon comprehension (nettement plus limité que le tien Luna ) passe par mon facon de lire, typiquement anglais, ou chaque virgule et point a raison d'etre, et une texte peut changer totalement avec un de plus ou un de moins.
Par contre je suis tout a fait d'accord avec Murielle, que de venir s'enerver ne sert a rien, nous avons chacun nos idées, chacun nos facons de progresser, chacun nos methodes. Je ne pense pas qu'on a trouvé le reponse a tout, mais au moins on avance. Et surtout dans le respect de chacun sur ce forum. Si toi, Dondavidson, tu a la reponse, on est tout ouie!!
Sur ce, je retourne a mes calculs d'Impots, qui me prends presque un mois chaque année, et je peux m'enerver (toute seule) pour une bonne raison!!
Suzanne, la vieille qui blatere, maman de Loic 29 ans
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- Prolifique
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- Enregistré le : vendredi 17 octobre 2008 à 21:39
- Localisation : Dijon
Tout ce que je ressens dans tes écrits, même si je ne comprends pas les débats (pensée simple et simpliste, je n'y peux rien), et ce qui me dérange, c'est cette aggressivité et ce ton "je sais tout moi d'abord". Et mon dieu, il y a des points d'exclamation partout.
Je pense qu'il y a d'autres façons de faire passer ses messages, aspie ou pas, que de sauter sur les autres en les traitant comme tu le fais.
T'exprimer de cette façon, ne me donne pas envie de te lire alors que peut-être ce que tu dis a de l'intérêt.
Ne te serait-il pas possible de trouver un autre moyen de communiquer, s'il te plaît ?
Je pense qu'il y a d'autres façons de faire passer ses messages, aspie ou pas, que de sauter sur les autres en les traitant comme tu le fais.
T'exprimer de cette façon, ne me donne pas envie de te lire alors que peut-être ce que tu dis a de l'intérêt.
Ne te serait-il pas possible de trouver un autre moyen de communiquer, s'il te plaît ?
Luna TMG
http://www.flickr.com/photos/lunatmg/?details=1 / détails
https://www.flickr.com/photos/lunatmg// vue d'ensemble
"Dans la photographie, il y a une réalité si subtile qu'elle devient plus vraie que la réalité" - Alfred Stieglitz
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- Enregistré le : jeudi 3 janvier 2008 à 11:13
Et non , je ne sais pas tout ( persone n ' a la science infuse ) ....mais oui , il se trouve que j ' ai des connaissances dans des domaines précis qui me permettent de comprendre le contenu de ce genre de texte et même , pour partie du moins , ce qu ' il peut y avoir " dessous " .
Je ne reproche pas aux intervenants de ne pas comprendre la prose jargonnante de ces gens ....Je leurs reproche de cautionner quelques points de vue démagogiques habilement mis en avant par ces auteurs ( avec une sincérité parfois douteuse ) et d ' afficher par moment un mépris pour le patient travail de spécialistes qui ont su obtenir des résultats , eux . Le tout en prenant naivement le parti d ' individus dont il est aisé de démontrer les intentions cachés .
Alors ? Que cherchez-vous réellement ? Parfois , on se le demande ...tant les points de vue de certains forumeurs sont emplis de contradictions !
Je ne reproche pas aux intervenants de ne pas comprendre la prose jargonnante de ces gens ....Je leurs reproche de cautionner quelques points de vue démagogiques habilement mis en avant par ces auteurs ( avec une sincérité parfois douteuse ) et d ' afficher par moment un mépris pour le patient travail de spécialistes qui ont su obtenir des résultats , eux . Le tout en prenant naivement le parti d ' individus dont il est aisé de démontrer les intentions cachés .
Alors ? Que cherchez-vous réellement ? Parfois , on se le demande ...tant les points de vue de certains forumeurs sont emplis de contradictions !