Il est mignon ce chien.
Sinon, un autre détail contrariant, comme l'histoire de ne pas supporter des trucs qui entrave la visibilité sur la table, c'est ma manie du matin. J'ai besoin d'ouvrir le rideau du séjour (sur laquelle ma cuisine est ouverte) même s'il fait nuit, car quand je prends mon petit dej, j'ai besoin de voir à l'extérieur, le regard au loin (dans le vague). Et ça agace mon mari, qui comme il fait nuit, ferme le rideau. Et parfois, le petit manège vire en rapport de force. Y'en a une qui ouvre le rideau, et l'autre qui le ferme.
Bref, aussi tarés l'un que l'autre...
Et c'est notre fils qui fait des bilans...
Les détails contrariants
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Re: Les détails contrariants
laboulette a écrit :Il est mignon ce chien.
Sinon, un autre détail contrariant, comme l'histoire de ne pas supporter des trucs qui entrave la visibilité sur la table, c'est ma manie du matin. J'ai besoin d'ouvrir le rideau du séjour (sur laquelle ma cuisine est ouverte) même s'il fait nuit, car quand je prends mon petit dej, j'ai besoin de voir à l'extérieur, le regard au loin (dans le vague). Et ça agace mon mari, qui comme il fait nuit, ferme le rideau. Et parfois, le petit manège vire en rapport de force. Y'en a une qui ouvre le rideau, et l'autre qui le ferme.
Bref, aussi tarés l'un que l'autre...
Et c'est notre fils qui fait des bilans...
On habite la même maison Laboulette ?
Aussi cuisine ouverte sur séjour, tu remplaces le rideau par les volets en bois.
Bon ma chance, lui ne râle pas quand j'ouvre alors qu'il fait nuit, il se contente de soupirer et .
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Re: Les détails contrariants
ça me rassure, je ne suis pas seule.
Il faudrait faire le test d'exposer la situation sur un forum quelconque où il n'y a pas d'aspis (sauf hasard d'aspis qui se promènent dans coin). Je serais curieuse d'observer les réactions. Mais peut-être que ce genre de trucs ne sont pas spécifiques.
Il faudrait faire le test d'exposer la situation sur un forum quelconque où il n'y a pas d'aspis (sauf hasard d'aspis qui se promènent dans coin). Je serais curieuse d'observer les réactions. Mais peut-être que ce genre de trucs ne sont pas spécifiques.
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Re: Les détails contrariants
Même manège chez moi avec le volet roulant de la cuisine... sauf que je suis seule !laboulette a écrit : J'ai besoin d'ouvrir le rideau du séjour (sur laquelle ma cuisine est ouverte) même s'il fait nuit, car quand je prends mon petit dej, j'ai besoin de voir à l'extérieur, le regard au loin (dans le vague). Et ça agace mon mari, qui comme il fait nuit, ferme le rideau. Et parfois, le petit manège vire en rapport de force. Y'en a une qui ouvre le rideau, et l'autre qui le ferme.
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Re: Les détails contrariants
Un peu pareil quand je suis chez ma mère.
L'hiver elle ferme les volets tôt l'hiver, je ne les fouvre pas, mais je râle à chaque fois, j'ai l'impression d'être enfermée, j'aime pas.
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Re: Les détails contrariants
J'ai résolu le problème des volets :
chez moi il n'y en a simplement pas !
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Re: Les détails contrariants
Je crois qu'on a le même chocolat ! Quand j'ai fait mes courses, la dernière fois, je ne l'ai pas trouvé à cause de ça. Et mon épouse m'a dit : "Mais, il est là, c'est juste que maintenant le couvercle est marron et pas bleu"...Liya a écrit :Je suis agacée aujourd'hui: ma marque de cacao habituelle a manifestement décidé de changer la couleur du couvercle de la boite.
Je préfère ne pas essayer, je crois que ça ferait trop mal.laboulette a écrit :Il faudrait faire le test d'exposer la situation sur un forum quelconque où il n'y a pas d'aspis (sauf hasard d'aspis qui se promènent dans coin). Je serais curieuse d'observer les réactions.
"Ils avaient créé leur propre soleil pour combattre la nuit ."
"Simplement, un jour, j'ai pris conscience que, en matière d'humanité, la laideur aussi pouvait être intérieure."
Ayerdhal
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Re: Les détails contrariants
Ah je vois que je ne suis pas la seule avec la visibilité. Un autre truc que je voudrais souligner c est que pour travailler que ce soit ou collège ou maintenant, je n ai jamais pu travailler sur un bureau face à un mur car je voyais le mur et n avais aucune visibilité vers "l horizon", j avais en plus l impression d être enfermée du fait d être face au mur. Du coup au collège je travaillais par terre ou sur le lit... Maintenant je ne travaille plus que sur le lit(le rares fois où je travaille)mais ce n est pas très pratique. Je me demande si d autres ici ont fait pareil.
Hqi et aspie
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Re: Les détails contrariants
Milena, je faisais pareil, je travaillais notamment beaucoup par terre sur la moquette (j'adore le contact de la moquette)
Mon bureau était un cadeau qu'on m'avait fait quand j'avais une dizaine d'années, je m'en suis très peu servi
A l'inverse à la fac, me mettre face à un mur était la seule solution que j'avais trouvé pour m'obliger à réviser, sinon je trouvais toujours quelque chose de plus intéressant à regarder que mes cours...
Et maintenant que je suis dans la vie active, nous sommes entassés à 4 dans une petite pièce et à chaque "déménagement" je casse les pieds à mes collègues car je ne supporte pas d'être dos à la porte ni face à un mur... Donc je saute sur la place que je veux et ensuite je ne bouge plus "non non, moi je me mets là"
Mon bureau était un cadeau qu'on m'avait fait quand j'avais une dizaine d'années, je m'en suis très peu servi
A l'inverse à la fac, me mettre face à un mur était la seule solution que j'avais trouvé pour m'obliger à réviser, sinon je trouvais toujours quelque chose de plus intéressant à regarder que mes cours...
Et maintenant que je suis dans la vie active, nous sommes entassés à 4 dans une petite pièce et à chaque "déménagement" je casse les pieds à mes collègues car je ne supporte pas d'être dos à la porte ni face à un mur... Donc je saute sur la place que je veux et ensuite je ne bouge plus "non non, moi je me mets là"
"Neuro-atypique en attente de définition"
Dyspraxique - QI très hétérogène - Diag SA en libéral (à approfondir / confirmer)
Ma présentation ici
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Re: Les détails contrariants
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Modifié en dernier par Cryptobiose le jeudi 25 février 2016 à 15:17, modifié 1 fois.
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Re: Les détails contrariants
J'espère que tes collègues s'adaptent.Liya a écrit :Et maintenant que je suis dans la vie active, nous sommes entassés à 4 dans une petite pièce et à chaque "déménagement" je casse les pieds à mes collègues car je ne supporte pas d'être dos à la porte ni face à un mur... Donc je saute sur la place que je veux et ensuite je ne bouge plus "non non, moi je me mets là"
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans