Loin de moi l'idée de faire un parallèle direct avec l'autisme, mais le cancer permet d'imager ce que je viens de dire sur la génétique, sur sa flexibilité. (voir
cancer sur la page de l'inserm).
Les cancers ont toujours pour origine une mutation génétiques.
Le cancer c'est une cellule qui (re)deviens immortel, et se multiplie.
Une étude récente laisse penser que c'est un état originel, un reste de l'époque de nos ancêtres les plus lointain, unicellulaire (la source est un science et vie ayant comme gros titre le vie quantique, certain doivent l'avoir lu)
Ce mécanisme aurrait été éteins au cours de l'évolution, et remplacé par la mort cellulaire pour des raisons d’efficacités évolutive, pour une meilleurs survie de l'espèce. (cf Jean Claude Ameisen chercheur en immunologie et aussi spécialiste de l'apoptose, la mort cellulaire)
Depuis donc des centaines de millions d'années on est génétiquement immortel au niveau cellulaire + génétiquement interdit de l'être, immortel au niveau cellulaire, par ce qu'entre temps la complexité fait qu'au contraire cette immortalité cellulaire est a l'origine d'un risque morte au niveau non plus de la cellule mais de l'individu.
La génétique mendélienne, celle de l’hérédité, reste une colonne de marbre quasi inflexible, qui a gardé cette faculté depuis des millénaire, mais les mécanismes génétiques dans leurs ensemble font que la génétique est flexible, qu'on n'est génétiquement plus fait pour être cellulairement immortel, et pourtant chacun de nous est régulièrement affecté par cette dégénérescence cancéreuse qui heureusement est détruite très vite par le système immunitaire.
Tout ça pour dire que c'est pas les gènes de tous le corps qui mutent tout le temps, mais que sur 10puissance 14 cellulle il y en a toujours qui mutent, et qu'une mutation d'une cellule peut créer par exemple un messager qui envoie aux cellules environnantes le message d'utiliser tel ou tel page de leur bibliothèque génétique.
C'est d'autant plus probable s'il s'agit d'une "commande" préalable, un code génétique d'un autre temps.
Le rapport aux TDA vas dans ce sens (il est relié a une époque "chasseur cueilleur"), comme les dernières recherches (posté par jean) qui ont trouvé une non différentiation cellulaires dans différents lobes cérébraux (on imagine bien que ça a dû être une normalité préalable à la spécialisation).
Tous ça est également une représentation claire de la différence vis a vis d'une norme qui crée le handicap, sans être nécessairement en soit une déficience mentale, la dé-spécialisation étant aussi synonyme de réouverture de portes fermé par l'évolution.
C'est une piste forte, qui ne remet pas forcement de l'environnemental partout, pas au sens environnementale qu'on entend dans le contexte de l'autisme. Peut importe où la ficelle pète, si le mécanisme est une retour a une normalité antérieur, alors on a résolut l'opposition apparente entre origines diverses et l'unité plus ou moins relative de l'autisme suivant l'acceptation qu'on a du terme.
(Merci a ceux qui ont réussi a me suivre jusque là, je me doute que ça doit pas toujours être drôle de me lire)