Une nécessité "vitale".manu a écrit :Dis moi, en haut de ta tour de trente mètre avec ton vertige, qu'est-ce que tu pensais du lâcher prise?
Une trouvaille fort pratique.
Un mode de vie aussi...
Sauter à pieds joints dans les difficultés, c'est hautement jouissif.Oui c'est très fourbe comme question, mais si tu dépasse l'indépassable en sautant a pied joint dedans (...) c'est bien le contraire de l'auto-stimulation qui recolle (...), mais belle et bien le travail de se dissocier encore plus pour arriver a dépasser des problèmes
Se dissocier? Oui, ça pourrait être perfide comme question!
Heu, difficile à traduire en mots et à expliquer, mais non, cela ne revient pas à se dissocier ni à se couper du monde lorsqu'il est trop effrayant... Me suis mal expliquée, ce n'est pas ça du tout.
C'est plutôt de la concentration à 150% sur un objectif (tangible, réel!), en coupant tous les autres circuits.
Etre capable d'utiliser ses ressources de cette manière, cela demande au contraire une stabilité et une cohérence à toute épreuve. Je crois qu'il faut quand même être plutôt sain d'esprit et plutôt blindé! Enfin, je crois.
Sauver la vie c'est une question de nécessité. Là, y'a pas à ch.., je ne discute pas. Comme toi, en fait.Autant je comprend très bien le rejet viscéral du reflex de soin (...)
Autant j'arrive pas comme toi a me rassurer en me disant que c'est moi qui vais parfaitement bien et eux qui déconnent complètement ... peut être par ce que je sais qu'on m'a déjà sauvé la vie une fois.
Par contre, hors urgence ou nécessité absolue: l'épouillage comme tu dis, c'est du social! La consommation de "soins" à outrance me fait bondir.
Autant je ne bronche pas quand c'est une question de vie ou de mort, autant ce système-là, je le refuse sans ménagement.
Mais je crois qu'on se comprend très bien.