
Bonjour Bubu
Ton message m'a fait rire car j'ai moi aussi recours au flapping QUAND JE SUIS SEULE ! Et ma collègue m'a vue une fois, je ne l'avais pas vue elle, et on a fait comme si c'etait rien...
Je me pose des questions aussi sur le flapping parce que mon enfant présente des "symptômes" pour lesquels nous acons consulté des spécialistes. Par contre plus on avance dans sa prise en charge, plus je me pose des questions sur moi.
Comme lui, j'agite mes mains. Aujourd'hui encore, quand je relâche le stress ou quand j'ai une joie intense.
Je me souviens que je n'avais pas d'amis, ou plutôt pas de préférence et de référence au niveau amis, quand j'étais enfant/ado. Mon enfant n'a pas de réel ami mais ne semble pas en souffrir.
Je me souvenais aussi qu'on se moquait de moi parce que je n'avais pas de filtre, je disais ce que je pensais sans penser que cela puisse être mal compris/reçu. Les gens riaient de moi mais avec le temps c'est devenu ma façon de faire rire les autres volontairement.
Je n'ose pas poser la question au pédiatre qui suit mon enfant.
Faut-il une fois adulte consulter pour évaluer un trouble du spectre autistique ? Qu'est-ce que cela change une fois qu'on nous pose un diagnostic ?
Merci à ceux qui pourront ou voudront bien me répondre

Maman d'un enfant en école primaire diagnostiqué avec troubles de l'attention (pas de profil TDAH), dyspraxie et dysgraphie, qui ont conduit à un questionnement sur un potentiel TSA. Investigations sur le TSA en cours.