[Index Art] Un peu de poésie en partage
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Re: Un peu de poésie en partage
Dépouillement
S'enfoncer dans la terre
Libre comme l'air
Fine poussière
Crescendo
Zéro
mot
S'enfoncer dans la terre
Libre comme l'air
Fine poussière
Crescendo
Zéro
mot
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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Re: Un peu de poésie en partage
Poème philosophique.
Un ermite solitaire avec la vision d’un autisme du monde et d'une naissance prématuré entre la vie et la mort.
Quand je suis seul, je pense, que le monde qui nous suit sera meilleurs.
Mais hélas, cela risque d’être long avant que l'humanitas des humains, ne soi réellement en paix, qui pourtant entre des humains anormalement, son mieux habituer que les gens ordinaires a comprendre les différences.
Entre la vie et la mort, la réalité est que les gens ont des vives, est une torture remplie de vivre et de tort.
La raison que nous donnons, est que nous n'avons pas besoin de savoir pour prouver de se qu’il aime comme un patron sans savon.
Tout comme la raison, la pression nous aborde et aide a nous apprendre, que la mission est que les plus malins a qui chaque matin,, nous cause tant de pétrin quand tout sera la fin.
Le monde qui est sous pression, n’est autre que la vision que nous donnons quand la terre est entre la soumission et la réflexion.
Sous cette réflexion qui nous en donne le don, la vie est le chant des bébés qui rie avec le faux sur la tête de tout ç'est mot.
Les lettres nous donnent la voix mais pas le parcours qui nous envoie.
Seul la dimension des frères et sœurs son pris en compte mais pas celle de l’inconnu qui les entoure sans odeur.
L’étrange vie d’un humain, se trouve sur la main, de celui qui lui donne le temps de la serre, et mis du recul quand celle-si est menacé entre les terres.
La façon est que l'homme ou la femme, se trouve loin de la loi, du grand chemin et que la visite du reste se plie a leur destin.
Si, les animaux pouvaient parler, la mission de cette ère, serait largement supérieur a nous, quand l’inverse sera mis dans se troue.
La roue est lentement chez nous, du fait que, chacun de nous se trouve faiblement dans la mise entre le pou et la tête.
Si un jour le monde change, cela se fera toujours quand il vaudra dire que le monde vient de comprendre la mission de chacun d’entre nous.
Cette saison est prise par la l’auto section qui nous entoure, quand la mère est prise entre la misère et la rivière, elle s’envoie cette terre entre la bonne foi et non contre la loi.
Cette même terre se trouve entre nos mains mais la plus part préfère se taire, parce que cette mer nous donne envie d’avoir l’affaire qui nous est pris entre le fer avec la langue du maire qui est pris entre le bien de la misère.
Si seulement, le pouvoir était vraiment avec sous toute cette fraîche, elle aurait voulu prendre ces aille qui somme en nous quand ont se réveille d’un somnifère.
Dans tous ces années qui vient de passés, il a bavé, pour prendre un bon coup de fierté au-delà du quartier mais il est resté a c’est coté pour ne prendre trop de lait dans cette soupe en forme thé.
Qui ensuite lui donnât un bon dîner qui lui a donné un fermier, qui lui dit que la paix est toujours la vérité même si cela veut dire qu’il faut aller au-delà du mensonge pour trouver la raison du vrai savon que vie chaque être humain.
Tous ces écrits nous en donnent tout un avis entre l’envie et le rire que fonts les gens qui aime le tire, pour nous pourrir le coeur quand les envies nous donne la peur qui le plonge dans ces erreurs.
La folle qui somme en nous, est mis dans une course folle entre le vice et la chair, qui est prêt a nous mentir quand ont se tient loi de cette fourmilière.
Seulement les petites choses qui nous avons donné, sont la, mais ils seront jamais pressés de possédé et même de se levé quand le recul nous est offert pour le refuge du bien qui est mis en l'aire.
Tu aurais du volupté de la misère, d’un grand rétrobulbaire qui ne cède jamais contre l’arrêt puisque que la chair est mise entre cette chaîne et qui ne veut que se tourner contre le mal de la rage.
Durant cette belle parole qui est pris contre tout les attend du peuple, je crois que cette ligne est ma dernière prière que vit touts les humains qui son en enfers.
Cela est peut être un manque de goût, mais au contraire, j’aimerais connaître cette vision que vivre avec les gens en général, quand la pluie se montre avec un mot sans que les fleurs ne soi mis entre les pots.
Tu veux dire que fraîcheur est contre la saveur mais hélas cette pensée se trouve ailleurs quand elle rit avec bonheurs.
Tu a jamais pris de poids quand cette façade nous a tordue avec ces enfants qui ont pris et mise la main dans l’inconnue.
Tout cette manière pour lui plaire au moment de sa prière de son frère, elle lui a mis un ton haut pour lui donner un mot qui ne surgie que dans sa peau.
Le feu est loin des frère et sœur mais plus courte que la paix des enfers.
Je lui donne qu’un seul vrai mot et lui il me donne en retour qu’un couteau sous mon dos.
C'est pour cela que dans son dos j’ai voulu devenir un accro, pour ensuite lui donnés la chance de me tourner le dernier mot.
Si un jour tu changes d’idée pour cette paix entre les mots, je veux bien sortir de mon troue pour allée vers vous.
Au moment de prendre le recul du vide, j’ai appris à tourner sans le dire, du fait ont ne peut que courir contre son rire, vous devez vous dire que dans cette prise, ont auras jamais du nous dire que cette paix est soulignée avec du sel que l’on donne avec sagesse.
J’aimerais bien finir mais hélas cette main est pris en otage dans cette large rue que nous avons appris quand ont était petit.
Je veux réellement et tranquillement la terminez pour prouver que cette raison en vaut la peine d'être aimé, mais qui ne peut empêcher qui que soit d'entrer avec moi, quand tout se qui nous touche se promène avec soi.
Cette route nous envie mais nous dégoût de cette terre qui nous en somme loin entre les paires, je veux venir, puisque j’ai aussi appris a soutenir touts ces grandes ligne entre mais congénère.
Je veux vous dire plus, puisque ont peut ne peut se voir, ce miroir,n’ai pris sans retard contre cette haine mise de côté pour se soir comme une baleine mise dans un dortoir.
Si tu veux me voir, il faudra que tu trouves la rampe entre les milliers d’êtres qui son peu connue, tu devras trouver ton chemin entre des centaines de mains perdue avec du fils dentaire pour pouvoir énumérer cette voix.
Je veux te dire cette dernière pensée contre une fées, que j'aurais voulu donner quand elle est a mis cette clef contre le cœurs pour trouver une paix contre la raison du fait de mentir avec un poids que nous avons avec les autres.
Tu veux sortir de cette serrure mais hélas il est impossible de te prouver que cette marque en fait partie.
Je voudrais souhaiter que la nature nous guide vers le traité de reconnaissance, pour qu’un jour le monde change contre la montre, qui nous entoure.
Si tu veux finir avec moi, je te souhaite la voix et le réconfort pendant qu’on s’endort.
Tu es différent, mais moi, je veux être avec les gens qui veut de toi, pour prouver que je vise les dents d’un chemin de fer qui nous met contre la fin de cette terre.
Le vide est au bout de l’arrêt, qui nous pousse en extra avec les feuilles de la vie, une nouvelle façon de vivre que je ne peut te dire.
Quand ont se reverra, je serais déjà passé par la et mis une tombe avant même que chaque pomme ne soi devenue mur pour l’année suivante entre les toits.
La fin est venue, je suis heureux d’avoir pu vivre avec ces gens, qui, ont ne peut avoir confiance, pour le temps que j’aurais aimé avoir leur vie pour avoir misé, pour le peu que j’aurais fait au moment de cette paix.
Cordialement Donaem
Un ermite solitaire avec la vision d’un autisme du monde et d'une naissance prématuré entre la vie et la mort.
Quand je suis seul, je pense, que le monde qui nous suit sera meilleurs.
Mais hélas, cela risque d’être long avant que l'humanitas des humains, ne soi réellement en paix, qui pourtant entre des humains anormalement, son mieux habituer que les gens ordinaires a comprendre les différences.
Entre la vie et la mort, la réalité est que les gens ont des vives, est une torture remplie de vivre et de tort.
La raison que nous donnons, est que nous n'avons pas besoin de savoir pour prouver de se qu’il aime comme un patron sans savon.
Tout comme la raison, la pression nous aborde et aide a nous apprendre, que la mission est que les plus malins a qui chaque matin,, nous cause tant de pétrin quand tout sera la fin.
Le monde qui est sous pression, n’est autre que la vision que nous donnons quand la terre est entre la soumission et la réflexion.
Sous cette réflexion qui nous en donne le don, la vie est le chant des bébés qui rie avec le faux sur la tête de tout ç'est mot.
Les lettres nous donnent la voix mais pas le parcours qui nous envoie.
Seul la dimension des frères et sœurs son pris en compte mais pas celle de l’inconnu qui les entoure sans odeur.
L’étrange vie d’un humain, se trouve sur la main, de celui qui lui donne le temps de la serre, et mis du recul quand celle-si est menacé entre les terres.
La façon est que l'homme ou la femme, se trouve loin de la loi, du grand chemin et que la visite du reste se plie a leur destin.
Si, les animaux pouvaient parler, la mission de cette ère, serait largement supérieur a nous, quand l’inverse sera mis dans se troue.
La roue est lentement chez nous, du fait que, chacun de nous se trouve faiblement dans la mise entre le pou et la tête.
Si un jour le monde change, cela se fera toujours quand il vaudra dire que le monde vient de comprendre la mission de chacun d’entre nous.
Cette saison est prise par la l’auto section qui nous entoure, quand la mère est prise entre la misère et la rivière, elle s’envoie cette terre entre la bonne foi et non contre la loi.
Cette même terre se trouve entre nos mains mais la plus part préfère se taire, parce que cette mer nous donne envie d’avoir l’affaire qui nous est pris entre le fer avec la langue du maire qui est pris entre le bien de la misère.
Si seulement, le pouvoir était vraiment avec sous toute cette fraîche, elle aurait voulu prendre ces aille qui somme en nous quand ont se réveille d’un somnifère.
Dans tous ces années qui vient de passés, il a bavé, pour prendre un bon coup de fierté au-delà du quartier mais il est resté a c’est coté pour ne prendre trop de lait dans cette soupe en forme thé.
Qui ensuite lui donnât un bon dîner qui lui a donné un fermier, qui lui dit que la paix est toujours la vérité même si cela veut dire qu’il faut aller au-delà du mensonge pour trouver la raison du vrai savon que vie chaque être humain.
Tous ces écrits nous en donnent tout un avis entre l’envie et le rire que fonts les gens qui aime le tire, pour nous pourrir le coeur quand les envies nous donne la peur qui le plonge dans ces erreurs.
La folle qui somme en nous, est mis dans une course folle entre le vice et la chair, qui est prêt a nous mentir quand ont se tient loi de cette fourmilière.
Seulement les petites choses qui nous avons donné, sont la, mais ils seront jamais pressés de possédé et même de se levé quand le recul nous est offert pour le refuge du bien qui est mis en l'aire.
Tu aurais du volupté de la misère, d’un grand rétrobulbaire qui ne cède jamais contre l’arrêt puisque que la chair est mise entre cette chaîne et qui ne veut que se tourner contre le mal de la rage.
Durant cette belle parole qui est pris contre tout les attend du peuple, je crois que cette ligne est ma dernière prière que vit touts les humains qui son en enfers.
Cela est peut être un manque de goût, mais au contraire, j’aimerais connaître cette vision que vivre avec les gens en général, quand la pluie se montre avec un mot sans que les fleurs ne soi mis entre les pots.
Tu veux dire que fraîcheur est contre la saveur mais hélas cette pensée se trouve ailleurs quand elle rit avec bonheurs.
Tu a jamais pris de poids quand cette façade nous a tordue avec ces enfants qui ont pris et mise la main dans l’inconnue.
Tout cette manière pour lui plaire au moment de sa prière de son frère, elle lui a mis un ton haut pour lui donner un mot qui ne surgie que dans sa peau.
Le feu est loin des frère et sœur mais plus courte que la paix des enfers.
Je lui donne qu’un seul vrai mot et lui il me donne en retour qu’un couteau sous mon dos.
C'est pour cela que dans son dos j’ai voulu devenir un accro, pour ensuite lui donnés la chance de me tourner le dernier mot.
Si un jour tu changes d’idée pour cette paix entre les mots, je veux bien sortir de mon troue pour allée vers vous.
Au moment de prendre le recul du vide, j’ai appris à tourner sans le dire, du fait ont ne peut que courir contre son rire, vous devez vous dire que dans cette prise, ont auras jamais du nous dire que cette paix est soulignée avec du sel que l’on donne avec sagesse.
J’aimerais bien finir mais hélas cette main est pris en otage dans cette large rue que nous avons appris quand ont était petit.
Je veux réellement et tranquillement la terminez pour prouver que cette raison en vaut la peine d'être aimé, mais qui ne peut empêcher qui que soit d'entrer avec moi, quand tout se qui nous touche se promène avec soi.
Cette route nous envie mais nous dégoût de cette terre qui nous en somme loin entre les paires, je veux venir, puisque j’ai aussi appris a soutenir touts ces grandes ligne entre mais congénère.
Je veux vous dire plus, puisque ont peut ne peut se voir, ce miroir,n’ai pris sans retard contre cette haine mise de côté pour se soir comme une baleine mise dans un dortoir.
Si tu veux me voir, il faudra que tu trouves la rampe entre les milliers d’êtres qui son peu connue, tu devras trouver ton chemin entre des centaines de mains perdue avec du fils dentaire pour pouvoir énumérer cette voix.
Je veux te dire cette dernière pensée contre une fées, que j'aurais voulu donner quand elle est a mis cette clef contre le cœurs pour trouver une paix contre la raison du fait de mentir avec un poids que nous avons avec les autres.
Tu veux sortir de cette serrure mais hélas il est impossible de te prouver que cette marque en fait partie.
Je voudrais souhaiter que la nature nous guide vers le traité de reconnaissance, pour qu’un jour le monde change contre la montre, qui nous entoure.
Si tu veux finir avec moi, je te souhaite la voix et le réconfort pendant qu’on s’endort.
Tu es différent, mais moi, je veux être avec les gens qui veut de toi, pour prouver que je vise les dents d’un chemin de fer qui nous met contre la fin de cette terre.
Le vide est au bout de l’arrêt, qui nous pousse en extra avec les feuilles de la vie, une nouvelle façon de vivre que je ne peut te dire.
Quand ont se reverra, je serais déjà passé par la et mis une tombe avant même que chaque pomme ne soi devenue mur pour l’année suivante entre les toits.
La fin est venue, je suis heureux d’avoir pu vivre avec ces gens, qui, ont ne peut avoir confiance, pour le temps que j’aurais aimé avoir leur vie pour avoir misé, pour le peu que j’aurais fait au moment de cette paix.
Cordialement Donaem
Un Ted non spécifié a 24 ans.
Atrésie des choanes
Crudivorisme
Traumatisme, réglé.
Schizophrénie Léger.
Seul ami, un Koala.
A, Hyperactifs, E, surdoués, D, autistes, O, Précocité, N, Hyper sensible, M, Retard de langage,
INTJ et ESFP
Druide dangereux.
Atrésie des choanes
Crudivorisme
Traumatisme, réglé.
Schizophrénie Léger.
Seul ami, un Koala.
A, Hyperactifs, E, surdoués, D, autistes, O, Précocité, N, Hyper sensible, M, Retard de langage,
INTJ et ESFP
Druide dangereux.
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Re: Un peu de poésie en partage
Bonjour‚
Je vous partage aussi un de mes textes.
« Méditations rêveuses »
Je médite cela – que le poète trouble
L’alentour de nos yeux d’un rêve bien écrit.
(Je crois que le réel n’a rien de l’être double
Aux confins du sommeil qui de l’homme se rit ;
Ce soudain fulgurant du sens qui se réveille
Tandis que nous dormons, nous reposons l’esprit.)
À l’âme poétique aiguisons notre oreille !
Contemplons l’exercice et l’instrument qui dit
De ses vers tout l’humain d’un rien qui s’émerveille !
N’est-il pas dans les vers ce sublime crédit
D’un honorable don offert pour quelque rime ?
Je veux dire par-là que cet air d’inédit
Qui respire du beau que le poème exprime,
Sème le rêve au cœur et rêve de plus grand ;
Vois donc cette valeur de la lyrique escrime :
Le songe contemplé d’un regard qui nous prend.
Je vous partage aussi un de mes textes.
« Méditations rêveuses »
Je médite cela – que le poète trouble
L’alentour de nos yeux d’un rêve bien écrit.
(Je crois que le réel n’a rien de l’être double
Aux confins du sommeil qui de l’homme se rit ;
Ce soudain fulgurant du sens qui se réveille
Tandis que nous dormons, nous reposons l’esprit.)
À l’âme poétique aiguisons notre oreille !
Contemplons l’exercice et l’instrument qui dit
De ses vers tout l’humain d’un rien qui s’émerveille !
N’est-il pas dans les vers ce sublime crédit
D’un honorable don offert pour quelque rime ?
Je veux dire par-là que cet air d’inédit
Qui respire du beau que le poème exprime,
Sème le rêve au cœur et rêve de plus grand ;
Vois donc cette valeur de la lyrique escrime :
Le songe contemplé d’un regard qui nous prend.
Diagnostiqué autiste Asperger (CRA‚ 2016).
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- Prolifique
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Re: Un peu de poésie en partage
La rencontre avec la poésie de Hopkins a été
mon grand choc en matière de poésie (1994).
J'ai très vite lu l'intégralité des traductions existantes
(même très anciennes, épuisées, en revues...) et je
me suis cogné avec insistance (un mot de circonstance)
au texte anglais, à cet anglais si singulier : celui d'Hopkins.
Mon niveau d'anglais est assez moyen et je n'ai, jusqu'à ce
jour, traduit aucun autre auteur qu'Hopkins; je me suis
imprégné longuement de sa langue, je l'ai beaucoup lu,
intériorisé; je ne connais pas d'autre poésie qui propose
un tel alliage de densité et de vivacité, pas de plus grande
rapidité. Je cherche, bien sûr, à être fidèle à Hopkins;
mais quelle fidélité ? Fidélité à ce qui fait la singularité
de la langue-Hopkins : son rythme, sa scansion, son efficacité...
Tentative de restitution en langue française de l'invention
de la langue-Hopkins. Et ce n'est pas sans enjeu : détacher
Hopkins de la captation spiritualiste par exemple. Refuser
la traduction périphrase-explication de texte.
Un poème d'Hopkins c'est un bloc énergétique et c'est ce
que je cherche à restituer en français via parataxes et
perte d'équivocités.
(B.C.)
https://www.sitaudis.fr/Poemes-et-ficti ... opkins.php
mon grand choc en matière de poésie (1994).
J'ai très vite lu l'intégralité des traductions existantes
(même très anciennes, épuisées, en revues...) et je
me suis cogné avec insistance (un mot de circonstance)
au texte anglais, à cet anglais si singulier : celui d'Hopkins.
Mon niveau d'anglais est assez moyen et je n'ai, jusqu'à ce
jour, traduit aucun autre auteur qu'Hopkins; je me suis
imprégné longuement de sa langue, je l'ai beaucoup lu,
intériorisé; je ne connais pas d'autre poésie qui propose
un tel alliage de densité et de vivacité, pas de plus grande
rapidité. Je cherche, bien sûr, à être fidèle à Hopkins;
mais quelle fidélité ? Fidélité à ce qui fait la singularité
de la langue-Hopkins : son rythme, sa scansion, son efficacité...
Tentative de restitution en langue française de l'invention
de la langue-Hopkins. Et ce n'est pas sans enjeu : détacher
Hopkins de la captation spiritualiste par exemple. Refuser
la traduction périphrase-explication de texte.
Un poème d'Hopkins c'est un bloc énergétique et c'est ce
que je cherche à restituer en français via parataxes et
perte d'équivocités.
(B.C.)
https://www.sitaudis.fr/Poemes-et-ficti ... opkins.php
Un enfant diag en 2012
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- Familier
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Re: Un peu de poésie en partage
Coup de blues
À bout de force
Se sentir glisser
Corps consentant
Vers la tristesse
S’envelopper
De son grand drap
En attendant
Qu’un vent l’emporte
Juste le temps
De reprendre
Calmement
Son souffle
À bout de force
Se sentir glisser
Corps consentant
Vers la tristesse
S’envelopper
De son grand drap
En attendant
Qu’un vent l’emporte
Juste le temps
De reprendre
Calmement
Son souffle
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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- Intarissable
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- Localisation : En haut à gauche
Re: Un peu de poésie en partage
Marlène, je t'aime.
Comme un poème.
Malgré ton emphysème.
Marlène je t'aime.
J'espère que tu m'aimes.
Tu n'as pas aimé mon cassoulet.
C'est pourtant un délicieux met.
Tu n'as pas aimé ma choucroute.
Tu t'es, pendant le repas, grattée les croutes.
Ô désespoir. Je t'aimerai toujours.
(Signé Bubu, for ever à ma chérie Marlène. J'envisage de me faire publier. Vous y croyez ?)
Comme un poème.
Malgré ton emphysème.
Marlène je t'aime.
J'espère que tu m'aimes.
Tu n'as pas aimé mon cassoulet.
C'est pourtant un délicieux met.
Tu n'as pas aimé ma choucroute.
Tu t'es, pendant le repas, grattée les croutes.
Ô désespoir. Je t'aimerai toujours.
(Signé Bubu, for ever à ma chérie Marlène. J'envisage de me faire publier. Vous y croyez ?)
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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- Prolifique
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Re: Un peu de poésie en partage
Dans un kit de survie aux toilettes, ça peut le faire,
• Diagnostiquée autiste Asperger (centre expert, 2019) + QI hétérogène
• Diag SEDh (centre expert MOC, 2021).
(errance médicale + diag tardif pour les 2 diag)
Annuaire Autisme / Lexique / Livres sur le TSA / Tutos
• Diag SEDh (centre expert MOC, 2021).
(errance médicale + diag tardif pour les 2 diag)
Annuaire Autisme / Lexique / Livres sur le TSA / Tutos
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- Occasionnel
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- Enregistré le : samedi 24 juillet 2021 à 8:33
Re: Un peu de poésie en partage
Entêtement
Puis quand plus rien ne nous retient
Rires figés dans la douleur
Quand tout nous prend l’aspect d’un rien
L’espoir n’est plus qu’une lueur
Trompeuse, une vague illusion
Plus rien ne nous rattache au monde
Notre âme devient vagabonde
Nous descendons vers des immondes
Vacuités toujours plus profondes
Une question se pose alors.
Pourquoi avançons-nous encore?
Satisfaction
Puis quand tout ici nous retient
Rires exprimés dans le bonheur
Quand tout nous prend l’aspect d’un lien
L’espoir devient une lumière
immense, un sentiment concret
Tout ici nous attache au monde
Notre âme entre enfin dans la ronde
Nous remontons vers de puissantes
Jouissances toujours plus vivantes
Une question se pose alors.
Pourquoi vouloir changer encore?
Diagnostiquée autiste asperger par un psychiatre éclairé début 2019
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- Habitué
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Re: Un peu de poésie en partage
Passé, une véritable Réalité.
Ô, passé, du haut de mes pensées,
De celles à qui j'ai toujours été enfoncé,
Ton existence n'est qu'illusionnée,
Elle aura beau me paraphraser,
Celle-ci restera justifiée.
Toi, qui fût jadis une improbable futilité.
Dont l'amour consuma mon incommensurable intensité,
Dont la rage prendra une part de mon identité,
Ô, toi, passé, toi qui a toujours sû me perturber,
Qui aura toujours sû me hanter,
Accepte donc mes plus sincères idées,
À quoi bon apprendre à jongler,
Quand au final ce qui nous attend est de se planter.
Il faut apprendre à aimer,
Même ceux qui sont détestés,
Il est évident que cette poésie est terminée.
Cependant je continue tel un ébranlé,
Pour donner l'envie au lecteur de continuer,
Alors que celle-ci n'est plus qu'un petit pavé,
N'ayant plus aucun sens et n'étant plus sensée.
Toi, Passé, tu n'es qu'une triste Réalité,
Dans laquelle je n'ai pas pu être sauvé,
Et dans lequel je suis coincé,
Alors c'était donc ça, ma destinée...
Ô, passé, du haut de mes pensées,
De celles à qui j'ai toujours été enfoncé,
Ton existence n'est qu'illusionnée,
Elle aura beau me paraphraser,
Celle-ci restera justifiée.
Toi, qui fût jadis une improbable futilité.
Dont l'amour consuma mon incommensurable intensité,
Dont la rage prendra une part de mon identité,
Ô, toi, passé, toi qui a toujours sû me perturber,
Qui aura toujours sû me hanter,
Accepte donc mes plus sincères idées,
À quoi bon apprendre à jongler,
Quand au final ce qui nous attend est de se planter.
Il faut apprendre à aimer,
Même ceux qui sont détestés,
Il est évident que cette poésie est terminée.
Cependant je continue tel un ébranlé,
Pour donner l'envie au lecteur de continuer,
Alors que celle-ci n'est plus qu'un petit pavé,
N'ayant plus aucun sens et n'étant plus sensée.
Toi, Passé, tu n'es qu'une triste Réalité,
Dans laquelle je n'ai pas pu être sauvé,
Et dans lequel je suis coincé,
Alors c'était donc ça, ma destinée...
///
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- Intarissable
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- Localisation : En haut à gauche
Re: Un peu de poésie en partage
C'est déjà ça.
Comprendre que des personnes vont lire mes poèmes tout en coulant un bronze, ça me réjouit.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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- Familier
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- Enregistré le : mardi 24 décembre 2019 à 12:17
Re: Un peu de poésie en partage
J'aime beaucoup.tyrabam a écrit : ↑dimanche 1 août 2021 à 6:17
Entêtement
Puis quand plus rien ne nous retient
Rires figés dans la douleur
Quand tout nous prend l’aspect d’un rien
L’espoir n’est plus qu’une lueur
Trompeuse, une vague illusion
Plus rien ne nous rattache au monde
Notre âme devient vagabonde
Nous descendons vers des immondes
Vacuités toujours plus profondes
Une question se pose alors.
Pourquoi avançons-nous encore?
Satisfaction
Puis quand tout ici nous retient
Rires exprimés dans le bonheur
Quand tout nous prend l’aspect d’un lien
L’espoir devient une lumière
immense, un sentiment concret
Tout ici nous attache au monde
Notre âme entre enfin dans la ronde
Nous remontons vers de puissantes
Jouissances toujours plus vivantes
Une question se pose alors.
Pourquoi vouloir changer encore?
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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Re: Un peu de poésie en partage
Recul
Absurdement souffrir
De la peur de souffrir
Et d'amers souvenirs
Nul coupable à maudire
NI blâmer mis à part
D'honorables neurones
Éclat de rire jaune !
Peut-être pas trop tard
Absurdement souffrir
De la peur de souffrir
Et d'amers souvenirs
Nul coupable à maudire
NI blâmer mis à part
D'honorables neurones
Éclat de rire jaune !
Peut-être pas trop tard
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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Re: Un peu de poésie en partage
Piscine
À demi enfoui sous une impassible masse
Un corps, oubliant ses liminaires frissons
Déploie lentement vieilles articulations
D'une main confiante en effleure la surface
Puis enfonce un bras, qui tout contre elle s'appuie
Trois autres membres se joignent innocemment
Au répétitif et rassurant mouvement
Qu'on se rappelle à peine avoir un jour appris
Pour un moment libérée de la gravité
La tranquille conscience se pose sur l'ouïe
Toute absorbée par un singulier clapotis
Où résonne du souffle la sérénité
À demi enfoui sous une impassible masse
Un corps, oubliant ses liminaires frissons
Déploie lentement vieilles articulations
D'une main confiante en effleure la surface
Puis enfonce un bras, qui tout contre elle s'appuie
Trois autres membres se joignent innocemment
Au répétitif et rassurant mouvement
Qu'on se rappelle à peine avoir un jour appris
Pour un moment libérée de la gravité
La tranquille conscience se pose sur l'ouïe
Toute absorbée par un singulier clapotis
Où résonne du souffle la sérénité
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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- Familier
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- Enregistré le : mardi 24 décembre 2019 à 12:17
Re: Un peu de poésie en partage
Continuer à avancer
Non pour fuir la mort
Mais pour lui apporter
Le sel cristallisé
De nos larmes évaporées
Non pour fuir la mort
Mais pour lui apporter
Le sel cristallisé
De nos larmes évaporées
Je m'interroge sur moi et, dans une moindre mesure, sur huit milliards d'autres êtres humains.
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- Intarissable
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Re: Un peu de poésie en partage
C'est très beau jolie plume
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Ma page perso fragrantica: https://www.fragrantica.fr/members/58816
Savoir,Vouloir,Oser,
Se taire.
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