hazufel a écrit : ↑dimanche 4 juin 2023 à 13:03Série Percy Jackson, surtout mon fils féru de mythologie Grecque, même si j’avais peur au début qu’il note toutes les « incohérences » mythologiques, il s’est amusé au contraire à relever les différences.
Mon fils aime beaucoup et il a aussi lu du même auteur, les livres de "les héros de l'Olympe", ceux de "Magnus Chase" et "les chroniques de Kane". Et il les relit, dès qu'il le peut!
Spoiler :
Je viens de trouver un article que je lui ai envoyé, il est tout content...
Curiouser a écrit :J'avais repéré à ce moment-là, sur le site de Gallimard Jeunesse, la trilogie Magic Charly, d'Audrey Alwett.
Je viens de terminer il y a quelques jours le tome 3, et j'ai énormément apprécié ma lecture ! Le premier tome est peut-être un peu en dessous des deux autres, que je trouve plus fouillés et complexes, mais ça n'enlève rien au plaisir de la lecture.
Merci pour l’info ! Je vais lire la 4e à mes fils, je pense que ça leur plairait et acheter le tome 1 si c’est le cas. Après je leur fais lire 2/3 pages pour qu’ils voient s’ils accrochent !
Si c’est bon ça fera une deuxième série pour les vacances ils ont déjà validé les Trudi Canavan
@Cardamome, un des petits à tous lu dans la série des Percy et les suites il a adoré.
Flower a écrit : ↑jeudi 29 juin 2023 à 10:47
Trudi Canavan, très bon choix aussi !
Je les ai tous lu un été et avais beaucoup aimé !
J'ai juste du les racheter en papier pour eux, parce que je les ai sur ma tablette sur laquelle je lis beaucoup en vacances, mais c'est pas grave
Flower a écrit : ↑jeudi 29 juin 2023 à 10:47Je lis actuellement "Sans Famille" d'Hector Malot.
Je l'ai lu il y a trrrrrrrrrrrrrrèèèèèèèèèèèèèèssssssssssssss longtemps, et avais beaucoup aimé
Un peu dans la même veine, qui m'avait beaucoup marquée, et que j'avais beaucoup aimé : Chiens perdus sans collier, de G. Cesbron
J'ai lu le dernier tome de "L'arabe du futur" de Riad Sattouf.
Nous avons apprécié les divers tomes retraçant cette histoire autobiographique. Des passages soulevant des questionnements, des choses rudes et au milieu la vraie vie d'un enfant qui grandit, avec des passages plus légers. Un beau contraste.
Pour ma part: une pointe de tristesse (ou de nostalgie?), car ce tome clôt la série. C'est un peu comme si on quittait une connaissance.
Je relirai avec plaisir.
maman d'un jeune homme diagnostiqué avec TSA.
"Caminante, no hay camino, se hace camino al andar." Antonio Machado
Pour ma part, j'ai noté les trois polars et les deux derniers essais.
Spoiler :
Romans et récits
"Itinéraires” et “Grandeur nature”, d’Erri de Luca
Inlassablement, de sa plume sans concession, l’écrivain humaniste, engagé sur tous les fronts, raconte son parcours, hanté par le rapport au père.
Traduit de l’italien par Danièle Valin, éd. Gallimard, coll. Quarto, 1 024 p., 26 €. A grandezza naturale, traduit de l’italien par Danièle Valin, éd. Gallimard, 176 p., 18 €.
“Sidi”, d’Arturo Pérez-Reverte
« Il y a de nombreux Ruy Diaz dans la tradition espagnole, prévient Arturo Pérez-Reverte, et celui-ci est le mien. » Grand bretteur du XIe siècle connu comme le Cid, Ruy Diaz est considéré comme un héros de la Reconquista, la reprise de l’Espagne par les chrétiens face aux troupes musulmanes arabo-berbères. Il était bien normal qu’un tel personnage intéressât Pérez-Reverte, souvent inspiré par les guerriers des époques lointaines.
Traduit de l’espagnol par Gabriel Iaculli, éd. du Seuil, 342 p., 21,90 €.
“Bambois, la vie verte”, de Claudie Hunzinger
Dans Bambois, la vie verte (1973), republié aujourd’hui à fort bon escient, Claudie Hunzinger livrait en vrac ses impressions de trentenaire pré-soixante-huitarde s’installant dans une maison abandonnée sans eau courante, tourne-boulée par « la somptuosité, le luxe de l’été ». Cinquante ans plus tard, l’intensité de ce livre se trouve décuplée, en ces temps d’atteinte au règne du vivant et de besoin de symbiose réconciliatrice avec la nature.
Éd. Cambourakis, 224 p., 20 €.
“Les Frères K”, de David James Duncan
Parue aux États-Unis en 1992, cette saga tragicomique galope entre les années 1950 et 1970, de l’État de Washington au Vietnam, en passant par l’Inde et le Canada. Clin d’œil aux Frères Karamazov, le titre s’apparente à un leurre farceur, et c’est plus du côté de Frank Capra qu’il faut chercher les références de cet auteur américain méconnu, expert en personnages drôles, sensibles et habités, victimes des virevoltes traumatiques du destin.
The Brothers K, traduit de l’anglais (États-Unis) par Vincent Raynaud, éd. Monsieur Toussaint Louverture, 832 p., 16,50 €.
“La Famille”, de Naomi Krupitsky
À New York, la vie des mafieux vue du côté des femmes et des enfants. Un premier roman captivant.
The Family, traduit de l’anglais (États-Unis) par Jessica Shapiro, éd. Gallimard, 390 p., 24 €.
“Hôtel du lac”, d’Anita Brookner
« Chez Brookner, le lièvre l’emporte toujours sur la tortue ; seuls les sentimentaux s’attendent à ce qu’il en aille autrement [...] Elle savait que le monde est injuste et jugeait naïfs ceux qui n’en avaient pas conscience », écrit Julian Barnes dans la préface de cette réédition d’Hôtel du lac — le plus célèbre des romans de la Britannique, récompensé par un Booker Prize en 1984.
Traduit de l’anglais par Solange Lecomte, éd. Bartillat, 218 p., 20 €. Une saga sur vingt ans, à Brooklyn, tout en secrets et chuchotements.
“Interviews”, de Jean-Daniel Beauvallet
L’interview n’est pas une science exacte. Parfois, pourtant, la magie opère et la parole se libère. Des moments de grâce dont Jean-Daniel Beauvallet, pilier et cofondateur des Inrockuptibles, fut, dans les années 1990-2000, l’un des plus habiles collecteurs. De ses archives, il a extrait vingt entretiens au long cours avec Björk, Angus Young, Morrissey, Burt Bacharach, Daft Punk, Bono ou encore Michel Houellebecq (version chanteur !).
Éd. Braquage, 360 p., 28 €.
“Où la chanson va”, de Sébastien Ménestrier
À part peut-être Fanny Ardant dans une scène formidable du film La Femme d’à côté, personne n’avait aussi bien célébré le pouvoir des chansons que Sébastien Ménestrier au fil de ce livre qui se lit tout ouïe, l’éternité au cœur, comme lorsqu’un air de musique vous saisit par surprise et vous emmène loin.
Éd. Zoé, 144 p., 16,50 €.
“Croire”, de Justine Augier
Un essai grave et lumineux, autour du deuil, du courage, de l’engagement, de la foi en la force sacrée des mots pour résister à la tentation nihiliste.
Éd. Actes Sud, 144 p., 18 €.
“Bivouac”, de Gabrielle Filteau-Chiba
La romancière québécoise décide, en 2013, à 25 ans, de vivre dans la nature. Depuis, l’autrice d’Encabannée partage, dans ses livres, cette expérience tout ensemble physique et spirituelle.
Éd. Stock, 368 p., 22 €.
“Matrix”, de Lauren Groff
Au XIIe siècle, Marie, une bâtarde de sang royal issue d’un viol, prend la tête d’un couvent. L’Américaine Lauren Groff bâtit autour d’elle une épopée sororale flamboyante sur l’émancipation d’une femme.
s Éd. de l’Olivier, 304 p., 23,50 €.
“Une archive”, de Mathieu Lindon
L’écrivain et journaliste se souvient de son père, l’éditeur Jérôme Lindon, patron des mythiques éditions de Minuit et homme de combats. Et fait le récit merveilleusement tendre d’une enfance au milieu des livres et des écrivains.
Éd. P.O.L, 240 p., 19 €.
“Le Livre de Daniel”, de Chris de Stoop
Assassiné pour une poignée d’euros, Daniel Maroy a-t-il en réalité été tué pour s’être soustrait à la société des hommes ? Écrivain et journaliste, son neveu enquête, et dresse de son oncle un portrait bouleversant.
Traduit du néerlandais (Belgique) par Anne-Laure Vignaux, éd. Globe, 288 p., 22 €.
“Le Passager”, de Cormac McCarthy
L’âpre et magistral roman testamentaire du grand écrivain américain, mort le 13 juin dernier, à 89 ans. Une fiction habitée par le doute et les ténèbres, première partie d’un diptyque que complète Stella Maris.
Éd. de l’Olivier, 544 p., 24,50 €.
“La Femme silencieuse”, de Janet Malcolm
Partant du cas passionnant de Sylvia Plath, et du couple qu’elle formait avec Ted Hugues, l’autrice et journaliste américaine s’interroge sur l’éthique du biographe, les droits des morts. Un essai d’une étincelante lucidité.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jakuta Alikavazovic, éd. du Sous-sol, 240 p., 22 €.
“Quel est donc ton tourment ?”, de Sigrid Nunez
Une femme accepte d’aider une amie qui veut mourir... Déjà remarquée pour L’Ami, l’autrice américaine s’attache à décrypter les liens qui nous unissent, aux vivants comme aux morts, dans une prose élégante et mordante.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Mathilde Bach, éd. Stock, 266 p., 20,90 €.
“Picasso tout contre Cocteau”, de Claude Arnaud
« Jamais un créateur de l’envergure de Cocteau n’aura eu tant besoin d’être aimé, et ne se sera adressé à un être aussi peu enclin à le faire que Picasso. » C’est ce paradoxe qu’explore Claude Arnaud, mettant en ordre de bataille toute la précision et l’érudition qu’on lui connaît, écrivain raffiné, biographe de Cocteau et déjà auteur d’un inoubliable Proust contre Cocteau.
Éd. Grasset, 240 p., 20,90 €.
“Georges Perec”, de Claude Burgelin
L’universitaire retrace la vie trop courte de son ami, orphelin de parents victimes de la Shoah, grand amateur de petits riens et oulipien dans l’âme.
Éd. Gallimard, coll. Biographies NRF, 432 p., 24 €.
“Les Silences d’Alexandrie”, de Michèle Gazier
Une intrigante variation sur la vérité et l’imagination, avec un coup de chapeau à Lawrence Durrell et son Quatuor.
Éd. Mercure de France, 180 p., 17,80 €.
“Divorce à l’anglaise”, de Margaret Kennedy
Margaret Kennedy (1896-1967), autrice du Festin et de La Nymphe au cœur fidèle, brosse un portrait social et sentimental de la bonne société anglaise dans ce roman cruel où les belles-mères sont redoutables, les enfants complètement oubliés et les couples plus maladroits que convaincus.
Together and Apart, traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Adrienne Terrier et Anne-Sylvie Homassel, éd. La Table ronde, coll. Quai Voltaire, 400 p., 24 €.
“Soleil oblique”, de Donal Ryan
Comme dans son magnifique premier roman, Le Cœur qui tourne (2015), Donal Ryan se glisse dans l’intimité d’une poignée de voisins, ceux qu’on croise sans les regarder.
A Slanting of the Sun, traduit de l’anglais (États Unis) par Marie Hermet, éd. Albin Michel, 250 p., 21,90 €
Polars
“L’Hallali”, de Nicolas Lebel
Envie d’échapper à la chaleur ? Osez L’Hallali qui, au milieu de vignobles vosgiens sculptés de givre par l’hiver, clôt la trilogie entamée par Nicolas Lebel en 2021. Après le terrain parisien et une île bretonne, l’auteur a opté pour le décor fantasmagorique d’un château isolé, flanqué de chais, cerné de coteaux, doté de dédales souterrains et de cachots.
Éd. du Masque, 280 p., 21,90 €.
“Insomnia”, de Sarah Pinborough
Une avocate perd pied à l’approche de son quarantième anniversaire. Un habile thriller psychologique.
Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Paul Benita, éd. JC Lattès, 384 p., 21,90 €.
“Deux nuits à Lisbonne”, de Chris Pavone
Le romancier américain sait tenir le lecteur en haleine tout au long de cette histoire où les protagonistes changent d’identité, où les cicatrices laissées par des scandales sexuels ne sont pas refermées et où les excès de la désinformation et des réseaux sociaux brouillent tout. Deux Nuits à Lisbonne est un gros livre, mais le suspense y est tel qu’il faut peu de temps pour le dévorer.
Two Nights in Lisbon, traduit de l’anglais (États-Unis) par Karine Lalechère, éd. Gallimard, coll. Série noire, 544 p., 24 €.
BD - Mangas
“Le Passager du ‘Polarlys’”, de Georges Simenon, José-Louis Bocquet et Christian Cailleaux
Adapté du premier « roman dur » de Georges Simenon (par opposition aux polars de commande qu’il écrivait à la chaîne jusqu’alors), cet album en restitue fidèlement l’ambiance confinée et délétère. Dans ce huis clos maritime où tout le monde semble avoir quelque chose à cacher, les masques tombent les uns après les autres au rythme des escales et des coups de tabac.
Éd. Dargaud, 80 p., 20,50 €.
“Tango”, de Fulvio Risuleo et Antonio Pronostico
Sur le principe d’un de ces livres-jeux « dont le lecteur est le héros », Fulvio Risuleo et Antonio Pronostico ont imaginé un roman graphique à scénarios multiples, une arborescence où, comme dans un jeu de l’oie, on peut sauter plusieurs cases ou revenir en arrière selon les décisions prises.
Traduit de l’Italien par Didier Zanon, éd. Sarbacane, 232 p., 26 €.
“Mon musée imaginaire”, de Claire Le Men
Forte de son inspiration éclectique, et de pages théoriques bien digérées, Claire Le Men dégonfle, en images, mille baudruches sur la question du beau, la valeur d’une œuvre, la construction sociale du goût ou la place de la bande dessinée, ce neuvième art...
Éd. La Découverte, 208 p., 24 €.
“Box”, de Daijiro Morohoshi
Grand maître du fantastique et de l’épouvante, l’auteur de la géniale série Shiori et Shimiko signe ici une histoire en trois volumes où l’on retrouve ses démons familiers. Derrière ses personnages rétro et un peu gauches, dignes des toiles de Glen Baxter, le mangaka est, avec Haruki Murakami, l’un des meilleurs spécialistes nippons du bizarre.
Traduit du japonais par Sylvain Chollet, éd. Le Lézard noir, 3 vol., 184 p., 13 € chaque.
Essais
“À chacun son rythme”, d’Aliocha Wald Lasowski
Du rythme contre les algorithmes : voilà ce qu’Aliocha Wald Lasowski, philosophe et musicien batteur à ses heures, veut insuffler à ses lecteurs.
Éd. Le Pommier, 240 p., 20 €.
“Mon séjour chez les nazis”, de Géraud Jouve
Nombreux furent les journalistes à voyager dans l’Allemagne nazie dans les années précédant la guerre, mais Géraud Jouve (1901-1991) y séjourna deux ans, de décembre 1937 à août 1939. Chef de l’agence Havas (ancêtre de l’AFP), agrégé d’allemand, il rencontra tous les dignitaires politiques et diplomates importants et, dans ce livre écrit en 1941, alors qu’il avait rejoint la France libre, il dresse de surprenants portraits.
Introduction de Nicolas Patin et Frédéric Sallée, préface d’Olivier Wieviorka, éd. Nouveau Monde, 206 p., 17,90 €.
“Histoire naturelle du silence”, de Jérôme Sueur
Jérôme Sueur met en scène le face-à-face contemporain entre la « biophonie » — les sons d’origines animales et végétales — et l’« anthropophonie » — les sons d’origine humaine aux effets souvent délétères pour la planète. Car, note le chercheur, si l’homme n’aime pas le bruit, il aime faire du bruit, qui n’est rien d’autre que l’ennemi du silence naturel... Chut !
Éd. Actes Sud, coll. Mondes sauvages, 272 p., 22 €.
“Éloge de la plage”, de Grégory Le Floch
Une plongée érudite, par un jeune écrivain voyageur, dans le réel et l’imaginaire des bords de mer.
Éd. Rivages, 240 p., 19 €.
Cardamome a écrit : ↑jeudi 29 juin 2023 à 12:38
J'ai lu le dernier tome de "L'arabe du futur" de Riad Sattouf.
Nous avons apprécié les divers tomes retraçant cette histoire autobiographique. Des passages soulevant des questionnements, des choses rudes et au milieu la vraie vie d'un enfant qui grandit, avec des passages plus légers. Un beau contraste.
Pour ma part: une pointe de tristesse (ou de nostalgie?), car ce tome clôt la série. C'est un peu comme si on quittait une connaissance.
Je relirai avec plaisir.
très fan de cette série, mon fils aussi, on les a tous, et on les relit pour retrouver les personnages, enfin nos amis...
le 5 m'avait mise dans un état... (j'allais pas bien à l'époque et c'était quand même très sombre avec cette mère qui se débat et entraîne Riad dans sa recherche, son impuissance)
j'ai dévoré le 6 dès qu'il est sorti, pour le coup il y a plus de zones de lumières, avec cette mélancolie quand même
et j'adore écouter parler Sattouf... Beaucoup d'auto-dérision, de tendresse.
TSA (diagnostic en 2019 par psychiatre spécialisé) - troubles anxio-dépressifs
Je lis un livre de Marcel Gauchet sur Robespierre. Je m'attendais à un truc moyen mais c'est finalement intéressant et accessible. J'ai toujours trouvé qu'en histoire le manichéisme était un peu étrange.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
Fluxus a écrit : ↑mercredi 28 juin 2023 à 10:54
Si quelqu'un a des recommandations de lectures OuLiPo, je prends !
Vais me renseigner autour des auteurs caractéristiques de l'OuLiPo, du Queneau ou du Perec mais après...
Tu peux commencer par Zazie dans le métro de Queneau, tu vas rigoler souvent
De Perec, je te conseille la disparition, un vrai délice d'absolu littéraire, qui se lit comme une enquête, où la lettre la plus usitée en français a disparu du texte !
Fluxus a écrit : ↑mercredi 28 juin 2023 à 10:54
Si quelqu'un a des recommandations de lectures OuLiPo, je prends !
Vais me renseigner autour des auteurs caractéristiques de l'OuLiPo, du Queneau ou du Perec mais après...
Je te conseille vivement les livres d'Hervé Le Tellier...
On y trouve différents styles mais tous marqués par l'Oulipo. Je peux te donner des titres précis si tu as une idée particulière de ce que tu recherches, let me know.
Chez Queneau, les Exercices de style valent le détour...
Merci beaucoup pour vos suggestions, je vais me renseigner un peu sur tout ça !
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
Et hop, je viens de terminer ma 2ème lecture du tome 1 de MDLF.
C'est vraiment très rare que je relise un bouquin de 300 pages et très rare que j'en relise tout court. Habituellement, dès la première lecture, je ne finis pas et je lâche avant...
Donc voilà, je suis contente, ça veut dire que j'ai trouvé un style qui me plaît.
Le 2ème tome m'attend mais je vais pas l'entamer tout de suite...
La sortie du 3ème est prévue pour Octobre.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks