Forum Asperansa

J'aime pas les gens moralisateurs qui parlent et jugent sans savoir. Comme d'habitude.

J'aime pas être énervée.

J'aime pas dire "J'aime pas".

Tu imites le Schtroumpf grognon à merveille.

Tu veux jouer dans le prochain film des Schtroumpfs ?

freeshost a écrit : ↑vendredi 23 août 2024 à 20:40 Tu imites le Schtroumpf grognon à merveille.

Tu veux jouer dans le prochain film des Schtroumpfs ?

Effectivement, c'est un de mes surnoms parce que je suis bougon... Comme lui.

J'imite à la perfection ses paroles mais pas sa voix par contre, donc pour jouer dans le film, je sais pas trop.

Tous les jours je me sens vraiment déchiré de passer par travail, rentrer, travail, rentrer, et j'ai l'impression d'être enfermé limite dans une cage, mentalement j'ai toujours les mêmes idées, rêves et réflexions en boucle dans ma tête, je suis obsédé par un jeu que j'ai découvert y a quelques mois, je passe mon temps à rechercher sur des maladies mentales et des cartes géos de tout genre pour buts de me découvrir ou d'essayer d'inventer quelque chose, je recherche toujours pareil, j'écoute des musiques pour rêver, mais très peu ne change sinon, c'est les seuls trois choses que je fais.

En fait les trois sont liés, le jeu, la géo et souvent les maladies (perché ), je découvre un jeu avec des persos qui m'attirent bien, fasciné par la géo et la nature et ses paysages. Je fantasme sur moi avec leurs corps ou je passe des journées entières à trouver une région ou mettre des pays qui seraient parallèles à ceux des persos, avec d'autres persos que j'invente pour y aller avec, qui ressemblent vaguement ou beaucoup à eux, ensuite j'ai des phases ou j'imagine quelques uns avec des tr. mentaux qui sont plus ou moins comme je les expérience, mais qui ne sont pas dans les manuels. Mais sinon je passe tout mon temps à écouter des sons (des musiques hein) et je rêve, quand je suis couché je rêve beaucoup jusqu'à que je m'endort, je rêve tout le temps même quand je travaille.

Dans ma tête et dans mon corps, dans ce que je vois c'est très flou, comme le monde, quand je trouve une région où mettre mes pays, j'ai juste une vague idée de ce à quoi je pourrait imaginer là-bas, je dessine un perso mais pas vraiment décider à l'utiliser, l'endroit quand je le choisis je regrette de pas avoir choisi un autre et donc changement, même au niveau culture et politique c'est pas stable. Mes objectifs, les origines et le thème des histoires restent les mêmes, mais l'endroit, les persos et leurs mentalité changent tout le temps avec quelques exceptions, donc l'histoire commence jamais. Je fais ça et ça me fait ça tous les jours, tout le temps, ça s'arrête quand je dors, mais sinon c'est tout le temps comme ça.

Le bon côté? J'ai tendance à parfois aimer cette habitude, ça dépends du moment et quand je trouve un truc nouveau dans ce que j'aime, donc ouais c'est pas vraiment nouveau.

Fatiguée, malade et en panique à cause de la rentrée et de l'administratif.

Des larmes, des larmes et des larmes.

Bien crevée, une semaine intense qui concernait un IR mais avec beaucoup beaucoup de social, plus trois jours un peu difficiles et quatre nuits insuffisantes.... Crise tout à l'heure, larmes, balancements, gémissements, souffle bizarre. Là je me sens un peu mieux, je me suis calmée sans anxio, mais il faudra que je dorme. J'espère aller mieux demain.

Je suis fatiguée, à bout. Mentalement, psychologiquement...

Je suis fatiguée de moi en fait.
Je suis fatiguée de pas réussir à faire ce que je veux.
Je suis fatiguée de pas réussir à communiquer ce que je veux sans avoir peur de m'en prendre plein la tronche par des gens qui ont pas à décider à ma place.

Fatiguée de pas pouvoir parler.
Fatiguée de me bouffer avec de la merde.
Fatiguée qu'on me reproche toute la journée mes réactions liées à mon anxiété.
Fatiguée qu'on me reproche certains traits de mon autisme.
Fatiguée des moralisateurs qui croient tout savoir et ne savent rien.
Fatiguée des gens de mauvaise foi.
Fatiguée de ces personnes qui me fatiguent tout le temps, rien que d'y penser.
Fatiguée de la vie parce que j'ai pas l'impression que ma propre vie m'appartient.
Fatiguée de ne pas pouvoir m'effondrer et tout laisser tomber alors que je n'ai envie que de ça.

Très mal aux dents. Impossible de dormir.

Triste.

Des larmes, encore et toujours.
Des larmes à n'en plus finir...

Ça fait 2 jours que j'essaie de dormir sans mélatonine pour me réhabituer à ne plus en prendre tous les soirs... Mais c'est pas simple, sachant qu'en plus, faut reprendre le rythme de la rentrée...

Mais au final, plus la rentrée approche, plus mon cerveau devient calme... Parce que forcément, qui dit rentrée dit action, dit remise au travail, dit planification et organisation, rythme et forcément, un peu plus de visibilité.

Fluxus a écrit : ↑mercredi 4 septembre 2024 à 22:48 Ça fait 2 jours que j'essaie de dormir sans mélatonine pour me réhabituer à ne plus en prendre tous les soirs... Mais c'est pas simple, sachant qu'en plus, faut reprendre le rythme de la rentrée...

Mais au final, plus la rentrée approche, plus mon cerveau devient calme... Parce que forcément, qui dit rentrée dit action, dit remise au travail, dit planification et organisation, rythme et forcément, un peu plus de visibilité.

Finalement j'ai repris de la mélatonine ce soir... J'espère que ça va m'aider un petit peu à m'endormir en mode un peu plus détente et un peu plus rapidement.

Et z'est barti pour le début des vacances !

Rho, tu as de la chance, moi j'ai encore plusieurs semaines à tirer...pas d'emploi du temps, on ne sait pas quels cours on aura, un rendez-vous à venir pour se poser des grandes questions (suis-je capable de faire le métier que je voudrais faire ?), mais du flou total. En fait, une rentrée décalée, c'est pas si bien que ça.

Extrêmement fatiguée après la journée d'hier presque irréaliste.
J'ai très peu dormi, j'ai dû rester chez un ami car je n'avais pas réussi à rentrer chez moi (surcharge + effondrement). Normal après ça...

Ce matin, je vais prendre le train pour rentrer et je serai très fatiguée du trajet. Et pourtant, il faudra bien que j'aille au Conservatoire pour discuter de mon cas cet après-midi... difficile d'accepter que je risque de ne plus devoir ne plus y aller pour le moment. Je ne pense pas qu'il y aura un aménagement adapté dans ce cas là et pourtant, mon besoin de chanter est plus concret que jamais. Triste cette situation. Heureusement que ce n'était qu'un commencement et que je pourrais toujours revenir plus tard, je m'accroche à ce prof qui a été si perspicace avec moi et où j'ai pu me sentir moi même en individuel.
Je crois que ça me fera bien réaliser ce qui se passe et c'est très difficile à faire.

Je pense beaucoup à tout bien préparer pour la suite et je me sais pas seule pour affronter cette épreuve. Car les prochains jours et prochaines semaines ne me laisseront pas de répit.