
L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Tu sais, Rom, pour ce qui est de te retrancher derrière ton autisme, je pense que c'est humain. Mais l'autisme n'est pas seulement un frein pour avancer : il est aussi source de beaucoup de qualités que n'ont pas forcément les personnes NT. 

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
J'ai une idée pour tenter d'expliquer la perte de vocabulaire :
Enfant, les histoires impressionnent , la personne aspie les retient, les ressasse. Pour peu qu'elle lise beaucoup, elle entretient ainsi un vocabulaire important.
Par ailleurs, elle échange peu avec les autres, son vocabulaire livresque reste donc intact, d'autant plus qu'elle a bonne mémoire.
Au fur et à mesure qu'elle développe ses contacts avec son entourage, elle apprend à adapter son langage à celui de des interlocuteurs, moins riche sur le plan lexical.
De plus, elle doit faire un effort pour échanger avec les autres, il ne semble donc pas étonnant que les mots arrivent moins vite à la conscience.
Ca vaut ce que ça vaut, qu'en penses-tu Rom ?
Enfant, les histoires impressionnent , la personne aspie les retient, les ressasse. Pour peu qu'elle lise beaucoup, elle entretient ainsi un vocabulaire important.
Par ailleurs, elle échange peu avec les autres, son vocabulaire livresque reste donc intact, d'autant plus qu'elle a bonne mémoire.
Au fur et à mesure qu'elle développe ses contacts avec son entourage, elle apprend à adapter son langage à celui de des interlocuteurs, moins riche sur le plan lexical.
De plus, elle doit faire un effort pour échanger avec les autres, il ne semble donc pas étonnant que les mots arrivent moins vite à la conscience.
Ca vaut ce que ça vaut, qu'en penses-tu Rom ?
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Désolé pour le retard de ma réponse, mais mon ordi ne me prévient pas qu'il y a des réponses ( il n'est pas très habitué a surveiller plusieurs post
)
Jonquille, tu sais au début, je me suis renseigné à fond sur ce qu'est l'autisme, le SA, je suis même aller voir des sites sur la timidité , sur la schizophrénie, sur ... pouh !...j'ai cherché à comprendre pour pouvoir en parler, expliquer, pour m'aider à savoir mettre des mots sur des sentiments ou des choses que je fais que je suis incapable d'expliquer (sauf peut être de façon détournés dans mes textes).
Ce que je voulais dire, c'est qu'avant, quand j'étais pas "officiellement" (ni "officieusement d'ailleurs puisque j'ai mené mes recherche en privé) aspi, je faisais plus de choses (malgré que je vivais mal ses choses que je me forçais à faire) si bien qu'on m'avait même proposé lors de mon deuxième emplois, d'être chef d'équipe ! oh là là, moi chef d'équipe ! pas pensable !
)
Mince je ne sais plus de quoi je parlais, ça aussi c'est embêtant car souvent je prends les petits chemins au bord de la route et je ne sais plus comment revenir sur la route de la discutions où j'étais
) bon de quoi je parlais ?
je me relis
AH ben j'avais fini mon exposé
Mars, ce que tu dis n'est peut être pas dénoué de sens ! (attention, je ne dis pas que ce que tu dis d'habitude est dénoue de sens hein !
) Peut être que oui, on s'habitue à notre environnement (moi je crois aussi que le fait de ne plus trop voir de monde, de ne plus trop parler (oui je sais je ne parlais pas beaucoup avec les collègues de travail, mais ça m'arrivait), fait qu'on oublie certain mot puisqu'on ne les utilise plus ce qui nous ramène un peu même beaucoup à ta conclusion), j'habite dans une citée pas très bien côté (on va dire) et c'est sûr qu'ici on ne parle pas genre : "excusez-moi ? auriez vous l'extrême amabilité de me renseigner sur l'heure qu'il est ? "
Attention, je en dis pas non plus que tout les gens habitant dans des cités sont illettré ( pas facile la diplomatie
)
Bon ben voilà, je pense avoir dit tout ce que j'avais sur le bout de la langue de ma pensée


Jonquille, tu sais au début, je me suis renseigné à fond sur ce qu'est l'autisme, le SA, je suis même aller voir des sites sur la timidité , sur la schizophrénie, sur ... pouh !...j'ai cherché à comprendre pour pouvoir en parler, expliquer, pour m'aider à savoir mettre des mots sur des sentiments ou des choses que je fais que je suis incapable d'expliquer (sauf peut être de façon détournés dans mes textes).
Ce que je voulais dire, c'est qu'avant, quand j'étais pas "officiellement" (ni "officieusement d'ailleurs puisque j'ai mené mes recherche en privé) aspi, je faisais plus de choses (malgré que je vivais mal ses choses que je me forçais à faire) si bien qu'on m'avait même proposé lors de mon deuxième emplois, d'être chef d'équipe ! oh là là, moi chef d'équipe ! pas pensable !

Mince je ne sais plus de quoi je parlais, ça aussi c'est embêtant car souvent je prends les petits chemins au bord de la route et je ne sais plus comment revenir sur la route de la discutions où j'étais



AH ben j'avais fini mon exposé

Mars, ce que tu dis n'est peut être pas dénoué de sens ! (attention, je ne dis pas que ce que tu dis d'habitude est dénoue de sens hein !

Attention, je en dis pas non plus que tout les gens habitant dans des cités sont illettré ( pas facile la diplomatie

Bon ben voilà, je pense avoir dit tout ce que j'avais sur le bout de la langue de ma pensée





Rom...maman de personne...mais peut-être papa de quelqu'un un jour...
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
( faut que je me fasse greffer un neurone correcteur d'orthographe
)

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Je trouve que vos deux théories sont un peu en contradiction : Mars, si je comprends bien, c'est le fait que les autistes font un effort pour communiquer avec des personnes moins lettrées qu'eux qu'ils finissent pour oublier un certain vocabulaire...
Rom, si je comprends bien, c'est le fait de rester isolé qui te fait oublier un certain vocabulaire...
Peut-être que les deux sont un peu vrais d'ailleurs. Je pense qu'on finit par imiter le vocabulaire des personnes qui nous entourent ( on finit souvent par adopter les expressions régionales, ou le vocabulaire dit " djeun " à la mode... par mimétisme).
Peut-être qu'en devenant adulte, on a plus peur de dire des " bêtises " et du coup, on cherche plus ses mots....
Rom, si je comprends bien, c'est le fait de rester isolé qui te fait oublier un certain vocabulaire...
Peut-être que les deux sont un peu vrais d'ailleurs. Je pense qu'on finit par imiter le vocabulaire des personnes qui nous entourent ( on finit souvent par adopter les expressions régionales, ou le vocabulaire dit " djeun " à la mode... par mimétisme).
Peut-être qu'en devenant adulte, on a plus peur de dire des " bêtises " et du coup, on cherche plus ses mots....
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Rom, si tu fais attention aux fautes d'orthographe, je ne vais plus oser poster des messages.... 

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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Ah ? ne t'inquiète pas Jonquille, je n'ai pas vu que tu faisais des fautes !
Bon OK, je continue d'en faire alors ( par amitié
)
Pour ce qui est de ma "théorie"( de mon esprit
) je n'ai pas dit que j'avais LA solution ! Je donne juste mon avis à moi, ce que j'en pense
( Dans le guide du voyageur galactique, ils disent que la solution c'est 42
)

Bon OK, je continue d'en faire alors ( par amitié

Pour ce qui est de ma "théorie"( de mon esprit


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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
En tous cas, ça donne à réfléchir je trouve....
Ce sont des théories intéressantes.!
Rom, moi non plus je n'ai pas reçu d'avertissement pour ce post....il y a peut-être un "bug"..???
Depuis ce matin nous avions un "troll" qui a envahi le forum....alors, j'espère qu'il n'a rien détraqué.!


Ce sont des théories intéressantes.!

Rom, moi non plus je n'ai pas reçu d'avertissement pour ce post....il y a peut-être un "bug"..???



Depuis ce matin nous avions un "troll" qui a envahi le forum....alors, j'espère qu'il n'a rien détraqué.!


Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Mon ordi te remercie, il déprimait de ne pas pouvoir me prévenir, il avait peur que je le remplace par un autre !
Oui, réfléchir, c'est un bon début pour avancer !
(ce n'est pas moi qui l'ai inventé je te rassure ! (mince, je me demande si c'est bien de dire ça ? j'ai un doute
) )


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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
N'aies pas de doute.!





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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Euh... je continue sur mon fil de discussion, veuillez m'excuser je n'en suis encore qu'à la page 3:
typiques selon quels critères?, les critères de base de Kanner?... intéressant si l'on songe que les patients de Kanner auraient probablement tous été classés autistes de haut niveau de nos jours!
En tous cas, ma réponse sera assez simple, comme je l'ai indiqué plus haut, je ne crois pas à ces qualifications et divisions et j'y crois de moins en moins.
Quand un bébé neurotypique, encore incapable de parler ou de marcher, évolue pour devenir un adulte bavard, ayant appris à conduire, ayant un emploi et marié, on ne le change pas de diagnostique.
Pour moi un autiste diagnostiqué "autiste sévère" dans sa petite enfance, "Autiste de haut-niveau" dans son adolescence, puis qualifié d'aspie à l'âge adulte, est tout simplement un autiste depuis le départ et jusqu'au bout!
C'est assez amusant qu'on appelle les autistes non-AHN autistes typiques à présent!Jonquille57 a écrit :Mars, tu dis qu'au cours de la vie, le curseur bouge... D'après toi, cela veut-il dire qu'un enfant autiste typique peut devenir AHN puis Asperger par exemple, ou bien était-il Asperger dès le départ, mais ce sont les professionnels qui n'ont pas su le détecter comme tel ?
typiques selon quels critères?, les critères de base de Kanner?... intéressant si l'on songe que les patients de Kanner auraient probablement tous été classés autistes de haut niveau de nos jours!
En tous cas, ma réponse sera assez simple, comme je l'ai indiqué plus haut, je ne crois pas à ces qualifications et divisions et j'y crois de moins en moins.
Quand un bébé neurotypique, encore incapable de parler ou de marcher, évolue pour devenir un adulte bavard, ayant appris à conduire, ayant un emploi et marié, on ne le change pas de diagnostique.
Pour moi un autiste diagnostiqué "autiste sévère" dans sa petite enfance, "Autiste de haut-niveau" dans son adolescence, puis qualifié d'aspie à l'âge adulte, est tout simplement un autiste depuis le départ et jusqu'au bout!
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Comme toi Ole, je pense qu'il y a un continuum. Celui-ci dépend à la fois de la personne autiste elle-même et de son parcours de vie, de ses rencontres etc...(comme pour tout être humain d'ailleurs)
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Whouahhhhh.!!! Mars a un avatar.!!!
En revanche, je n'arrive pas à voir ce que sont les "trucs" de couleur....



En revanche, je n'arrive pas à voir ce que sont les "trucs" de couleur....


Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Tu as eu ton rendez-vous chez l'ophtalmo ? Oui ? Retournes-y. Non ? Sois patiente ...Murielle a écrit :En revanche, je n'arrive pas à voir ce que sont les "trucs" de couleur....![]()
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: L’autisme : une forme extrême du cerveau masculin ?
Rhooooo Jean.!!!
Mon RDV est prévu pour le 6 septembre.!!!! Pris depuis novembre.!
Bouhhhh, ça va être long....


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