freeshost a écrit : ↑vendredi 11 février 2022 à 18:23
Meuh non ! On ne critique pas que la psychanalyse, mais toutes les pseudo-sciences.
Si seulement ça nécessitait seulement que ce soit juste une pseudo-science pour être critiqué...
Même chez des gens qui prétendent faire de la véritable science on a énormément à critiquer... Surtout quand ils se trompent mais qu'ils n'assument pas ou même pire, quand ils ne connaissent rien au sujet.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
Le comportement insipide et tiède de gens qui sont arrivés aux dernières années de l'Université.
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC?
Énième coupure d'eau chaude hier (vive la bouilloire et les bassines...). La dernière était en décembre (l'année dernière, il y a dû y en avoir 3 ou 4, que ce soit l'été ou l'hiver : ça commence à faire beaucoup)... Vive le réseau urbain
Et tous les jours, le bruit des travaux juste à côté pour les ponts SNCF, avec le chaudronnier qui tape sur le métal, et/ou les scies à métaux, ce qui me tape littéralement sur le système, je vis quasi toute la journée avec mes bouchons d'oreilles. Sans compter, évidemment, les sirènes de pompiers, d'ambulances, etc., qui résonnent tous les jours (en moyenne, 5 à 6 fois), et la nuit (à 23h... à 3h du matin... il y a un rond-point pas loin, et ce doit être pour cela qu'ils mettent leurs sirènes). C'est comme cela depuis au moins le confinement... Et avec la fatigue, c'est de plus en plus difficile à supporter.
Spoiler :
Je ne parle même pas des bruits occasionnés par les voisins, il y en a qui s'amusent à percer des trous - il s'est calmé récemment, ouf -, d'autres qui font du bruit qui résonne dans les murs jusque tard dans la nuit, bref, les joies de la vie en appartement mal isolé, alors qu'il est de construction récente...
Vivement qu'on puisse s'en aller de ce Mordor francilien
(et on fait tout pour rejoindre notre Comté - loin, loin, dans les montagnes -, pour filer la métaphore tolkinienne... Sauf que ça génère aussi beaucoup de fatigue, et je maudis quelque peu ma propre fatigabilité due à certains aspects du TSA... Mais, bref... c'était la parenthèse "pour gueuler", afin de rester aussi dans le sujet).
Diagnostiquée TSA en janvier 2021. Conjoint diagnostiqué TSA en octobre 2020.
Haineux et répugnants. Y a des gens qui méritent des baffes.
Répondre à la haine par la haine c'est jamais ouf mais c'est tout le but de l'incitation à la haine ou à la violence, qui d'ailleurs, reste un acte punissable par la loi : Inciter à la haine.
Comment rester calme face à des gens de la sorte ?
Bref, à vomir...
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
La guerre du chiffon sur la barbacane, par Sieur Comte Pseudonyme une épopée épiquement conne, qui sera peut-être narré en trois volumes, peut-être plus, peut-être moins
Dans ma quête d'un meilleur égo, MOI, je dois admettre que je suis un bon locataire. J'arrive dans un appartement dégueulasse et, que fais-je ? Je le lave. Du four bien graisseux au plafond moucheté, des miroirs tracés aux ventilations souillées, tout partout, de pâte d'argile et de de vinaigre blanc en bicarbonate de soude, je lave. Malfaçons ? Loyalement, je signal. Mes voisins odieux ?
Diplomate et prudent, vais-je à leur rencontre pour essayer de converser avec eux des nuisances qu'ils me font souffrir. Làs, si j'ai obtenus assurances, réassurances et bonnes volontés, les résultats manquent à l'appel.
Les chaises à roulettes font toujours leurs rallyes infernaux dans quelques safaris vidéoludiques, ponctués d'injures à la langue et surtout, destinées au connard qui n'a pas su tenir la lane, ou à l'IA, le code du jeu, ou même la latence qui décide de se faire trop sentir et pèsent sur les partis online. Et ce, jusqu'au bout de la nuit, disons vers le tout petit matin, soit vers 1 à 2 heures du matin.
Un jour de sa visite en l'appartement, que par ses subsides généreuses, ma matrice génitrice mère membre du lobby dit de la chèvre, alors que donc, elle vint en cet appartement, elle remarqua la marque du démon. Elle était à mon balcon.
PLOC PLOC PLOC
En effet, la barbacane de mon voisin du dessus à l'idée de gouter, tel un nazi gériatrique, uniquement sur ma propre barbacane, faiblesse de la République de nostre immeuble, ce faisant ignorant le vent mauvais infini dans lequel ses goûtes de pluies pourraient s'envoler vers des horizons et des chutes moins violentes. Mais au lieu de servir à quelque libellule pour nettoyer ses ailes, ces goutes, incitations à la haine et saignées à blanc dans mon zen, font PLOC PLOC PLOC
sur ma propre barbacane, mouillée à grand vif. Cette injure quotidienne contre ma quiétude durait depuis toujours, et semblait destinée à continuer jusqu'à la fin des temps, de même que le combat de Rê (ou Râ, selon d'où vous venez dans les royaumes des dieux sur terre) contre la nuit et les ténèbres se fait à chaque crépuscule pour, qu'a l'aube du lendemain, la lumière puisse jaillir, féconde et formidable, telle la semence bénie par le divin Sobek.
Mais mère, cependant, avait trouvé un formidable compromis citoyen. Un chiffon de microfibre. Noué autour de ma gargouille, ce chiffon devint une province de mon empire, s'accrochant telle une conque à ma barbacane, il empêchait les goûtes venu de bien au-delà la haute Égypte s'en venir l'assaillir. Ma propre barbacane, illustre tuyau, était ainsi au repos, et pouvait drainer l'eau tombant dans mon balcon dans la rue en contrebas, sans devoir se faire uriner dessus par celle du voisin de l'au dessus.
Quand soudain, le putain de Syndic.
Le putain de Syndic qui ne sert à rien à part se faire arracher ses annonces qui rappellent que les communs doivent êtres tenus propres et que la nuisances nocturnes, la quiétude, la paisibilité des lieux est la norme. Le putain de Syndic qui, bien sûr, n'est aucune aide en cas de tapage nocturne, en cas de voisin qui détourne votre connexion internet, en cas de problème de voisinage en somme, puisqu'ils ne font que gérer les communs, mais quand bien même, le putain de Syndic qui n'empêche pas l'aspirateur de notre dame de ménage de se faire "emprunter" sans son accord et à durée indéterminée par un faquin de passage. Le Syndic, qui est infoutu d'empêcher les locataires de mon immeuble de mettre des encombrants pendant des mois, et des mois, et des mois, dans le local à poubelle. Le Syndic. Le Putain de Syndic. Qui ne sert pas à grand chose.
Le putain de Syndic m'a fait savoir que, d'après le règlement, toute obstruction des voies d'évacuations d'eau pouvait causer des dommages aux balcons (qui sont déjà endommagés par des infiltrations autres et des malfaçons... (l'immeuble date de 2017)) et qui, via mon bailleur, me fait savoir que mon chiffon, gardien de ma quiétude, doit-être retiré.
En conséquence, à chaque pluie, depuis hier, je vais devoir entendre PLOC PLOC PLOC
pendant des heures. Et j'entends déjà pendant des heures PLOC PLOC PLOC.
Je sais que comparé à ce que d'autres parmi vous souffrent ici, ce n'est rien. C'est une injustice mineure, une souillure sur mon âme de bonne de personne qui pourrait passer inaperçue. Mais le fait est que j'ai du mal à tolérer ce bruit permanent, cette injustice que l'on m'a imposé par le biais d'un règlement bêtement appliqué, sans recherche de compréhension ou de contexte. Règlement que l'on m'impose et auquel j'obtempère. Mais je m'interroge. Qui d'autre que moi, dans ce putain d'immeuble, eut quelque respect pour le putain de Syndic et aurait respecté ce putain de règlement ?
Aussi, je m'en vais partir en guerre.
Aye, wé, wi, je pars en guerre contre le putain de Syndic. Je m'en vais collecter élément auprès de mon voisinage et via la vidéo, la capture de son, pour indiquer que ce son est, bel et bien, chiant. Je veux lire leur l'admission de leur part. Je veux entendre la culpabilité et l’effroi de stupéfaction devant la réalisation de l'injustice imposée par leur ingérence dans les affaires d'un de leurs bons locataires, quand ils liront mon mail.
Je ne puis, braves gens, partir en juste, saine, formidable croisade pour les malheurs qui vous touchent. Je ne puis chasser les démons qui vous assaillent, les harpies qui vous hurlent dessus. Qui vous disent que vous êtes cinglées, ou les machines outils qui s'activent en permanence au dehors de chez vous, dans une société qui construit des murs sans les isoler, qui cultive la propriété privée, mais uniquement la quiétude pour ceux qui peuvent se la payer. Je ne puis, certes, guérir tous les malheurs du monde et, plus encore, ceux qui vous concerne.
Vous, noble congrégation de braves personnes (sauf bubu, il n'est pas noble, c'est un troubadour, mais s'il veut devenir Empereur de je ne sais quoi, on peut s'arranger, plus rien n'a de sens de nos jours, bigre, pensez aux casiers judiciaires de nos (France) ministres, secrétaires d'États et autres conseillers du président... sans conséquence) ; vous donc, vous m'avez accompagné dans des heures sombres. J'aimerai rendre la pareil, mais je ne sais comment m'y prendre, je ne sais si je puis, je ne sais si j'ai l'énergie. À vous tous, j'aimerai témoigner plus qu'une reconnaissance quelque part, même dans les pages de fin d'un mémoire. Non, j'aimerai vraiment faire quelque chose.
Mais je ne peux pas prendre le train en Bretagne pour écouter et réconforter une qui n'est plus là. Je ne peux pas aider à financer le déménagement de quelques uns (encore que, pourquoi pas, je peux aider à bouger les meubles). Je ne peux pas intervenir ou conseiller adroitement ceux qui se font harceler par leur famille. Et j'en ais marre. Du monde. Des gens. Des humains. Sauf nous bien sûrs. Nous, on est bien. On est les connards de personne. (blague)
Aussi, petitement, bassement, piteusement, je pars en guerre contre le putain de Syndic.
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC?
En tout cas, une piste à creuser pour guider de l'eau qui tombe, est d'utiliser une ficelle, chaînette, ou tout autre guide que l'eau suivra volontiers.
freeshost a écrit : ↑mardi 15 février 2022 à 12:24
N'est-ce pas au propriétaire (ou à la régie immobilière) de corriger le cours d'eau du voisin du dessus ?
Va leur expliquer.
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC?
Plus sérieusement, il n'y a rien a changer. c'est un problème de conception et de pas de chance. La gouttière du balcon du voisin goutte sur la mienne. J'avais un chiffon pour supprimer le bruit autour du tuyau qui dépasse. Ils considèrent que c'est pas bien. Fin de l'histoire. Pour eux. Mais je vais essayer de négocier, envoyer des images, des enregistrement audios même. Berf : je veux avoir le droit de mettre mon chiffon. Ou scier la gouttière. Au choix (mais ils diront jamais oui).
Spoiler :
Oui, je sais, on voit mon adresse mail : je m'en fiche un peu, je posterai mon mémoire de M2 sur le forum (si je le fais un jour) de même que d'autres trucs que je ferai un jour, donc je ne suis pas spécialement tatillon)
En espérant avoir été utile et constructif. Reste ouvert à nouveaux éléments, pour mieux être, mieux faire.
Identifié HQI, après suspicions de TSA. Troubles anxio-dépressifs chroniques. TPOC?
Une collègue utilise des huiles essentielles au bureau, je ne supporte absolument pas ça, c’est directement des maux de tête.
Elle le fait régulièrement. Là je viens de prendre sur moi (elle fait partie des gens que j’évite, elle n’a jamais respecté le port du masque dans les bureaux) et d’aller lui demander de fermer sa porte de bureau quand elle utilise des huiles essentielles pour que ça ne sente pas dans tout l’étage.
Et elle m’a répondu que non elle n’avait pas envie de fermer sa porte
Du coup je m’enferme dans mon bureau mais l’odeur est déjà là, donc aération malgré le froid.