L'éducation change au fur et à mesure de l'avancée dans la vie des enfants.
Mes beaux parents disaient aux petits de dire bonjour à tout le monde aussi, en leur faisant des bisous
Et que eux, allaient réussir à leur faire manger un peu autre chose quand même
Au bout de deux mercredis chez eux, ils ont vite compris
Maintenant ce sont eux qui disent aux gens qui entrent : "c'est pas grave s'ils ne vous font pas la bise, ils viendront s'ils veulent, vous voir, plus tard." Sachant qu'en général, les petits restent planqués, vont jouer à l'étage, ou n'adressent de toute façon pas la parole si c'est quelqu'un qu'ils n'ont pas vu moins de 50 fois à peu près
et encore...
Ils avaient plus à y perdre, les petits ne connaissant pas encore leurs grands parents, du coup, ils ont mis de l'eau dans leur vin, et ont suivi mes conditions. Sans oublier cependant de se plaindre à qui voulaient bien les entendre, y compris le médecin de famille. Qui s'est empressé de leur remonter les bretelles
Les premières années furent très difficiles, et source de beaucoup de conflits.
Je rappelle encore beaucoup de choses, notamment depuis que les petits sont diagnostiqués, et leur envoie les mêmes documents que j'envoie aux instits. L'un des petit n'a aucune conscience du danger, et ils savent qu'il faut le surveiller comme le lait sur le feu.
Et là pour le coup, ils ont bien compris et veulent bien faire, donc suivent bien toutes les consignes. De toute façon, les gardant tous les mercredis après-midi, il vaut mieux, s'ils ne veulent pas que ça parte en sucette chez eux
Cela dit à la moindre incartade, ils savent que je pars au quart de tour et peut devenir affreuse (il a même été question à un moment que je n'aille plus chez eux, à ma demande. Et puis ça s'est tassé, ma belle mère étant trop mère poule pour survivre à un conflit pareil), alors ils font attention.