Je viens de découvrir à quel point c'est une donnée centrale, pivot qui dessert des tas de sujets abordés sur ce forum.
Je vais essayer de créer ce point pivot a partir de ce sujet, mais d’abord il faut que je précise de quoi il est question :
L'endorphine c'est un peut la morphine qu'on secrète nous même. C'est en tous cas le là qu'elle tire son mon, endo-morphine à l'origine.
Elle peut être stocké et secrété par "doses", libéré par "flash".
Elle se libère en fonction soit des activités (par exemple le sport) et aussi en fonction des besoins (pour compenser un stress intense).
Et enfin _ une donné que je viens d'apprendre et qui émane a l'origine d'un psychiatre _ un enfant en situation de stress intense peut libérer des flash d'endorphine.
Si un enfant libère des flash d'endorphines a répétition il a probablement une sensibilité qui change à ce produit. Quant il y a trop d' "exorphine", de source extérieurs qui se substitue a l'endorphine, c'est certain ça fausse l’équilibre et crée un effet d'accoutumance.
On peut s'en convaincre en lisant sur ce lien :
La consommation de morphine sur une longue période (chronicité) entraîne une inhibition de la synthèse des endorphines naturelles ce qui laisse libre un nombre plus élevé de récepteurs membranaires. Ce phénomène explique les phénomènes de tolérance c'est-à-dire d'augmentation des doses afin d'obtenir les mêmes effets de dépendance physique autrement dit l'impossibilité d'interrompre brutalement le traitement
Mais quant c'est des endorphine, par le circuit interne?
Je pourrait difficilement ne pas y penser en pensant aux hyper marathon que fait Franck Derrien au besion de course a pied de Lila, ou a plein d'autres besoin de sport pratiqué de façon "nécessaire".
Et si l'endorphine était en cause?
C'est une molécule qui agit sur les récepteur opioïdes. Un Peptides Opioïde ...
Un Peptides Opioïde comme dans le lait et comme dans le gluten. Sur le forum il en a été question là, là et là.
Il a été question d'addiction (j'en ai témoigné moi même), et l'idée a aussi été rejeté en bloc par certains. Agressé par l'idée par ce qu'il en ressentent eux même le besoin peut être, ça me parait bien possible.
Une sensibilité particulière propre au autiste je disais a un moment. Genre ça agit sur tout le monde un petit peut, et beaucoup sur les autistes. La raison peut être une hyper sensibilité aux opioïdes développé par le besoin d'action efficace a l'endorphine.
Comme l'ocytocine (sujet traité ici sur le forum), l'endorphine pousse vers le contact. Sur le même lien que plus haut on peut lire Accentuation de l'apparition de la tendance affective. Si elle est rendu impossible par d'autre biais, ça ne signifie pas qu'elle ne soit pas recherché tout de même. et puis l'accoutumance donc la moindre efficacité au fur a mesure laisse deviner que le manque est signifié par des effets inverses.
Le rapport à la douleur (abordé ici et là sur le forum) est particulièrement modulé par l’endorphine (et ces substituts). Accoutumance a l'endorphine : hypersensibilité, mais moyen d'en obtenir : hypo-sensibilité.
Et si les autistes avait développé des récepteur a l'endorphine par besoin, et était devenue hypersensible a ces propres flash par nécessité. N'irait-t-il pas les rechercher par l'intermédiaire du sport, de la sexualité, du chocolat, du gluten ou du lait ... avec des périodes hypo ou hyper ...
On ne rejoint pas telle quantité de témoignages qu'il est impossible de les citer?
Je me fait peut être des idée mais j'en ai l'impression.
[ Il me semble qu'il y a encore des tas de liens transversaux a tracer, cette conclusion les évoques de très loin, mais je ne m'interdit pas de les rajouter au fur et a mesure sur ce sujet, en éditant. ]
Endorphine : le Flash !
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Re: Endorphine : le Flash !
je dois avouer que le sujet est interessant mem si je n'ai aps pris e temps de bien totu comprendre..
je suis dépendante d'un morphnique, (la buprénorphine) comme je 'lai longtemps éét aussi plus jeune des opiacés par exemple.
ces substances m'apportaient une impression de "normalisation" et inhibaient mes peurs sociales et angoisses liées aux situation , quotidiennes, de relationnel...
d'ou le piege ensuite car en effet se debarraser de ce type de substance est très dur.(et j dois m'y engager...mon dosage aujourdh'ui est très bas, certes; mais mon derneir essai d'arret a éét très difficile alors je vais baisser, mais je me sens peu prete a vivre sans...c'est un travail a faire sur moi. )
apres je ne sais pas qsi le fait que je sosi autiste joue surn ceeta ddiction si ca a été plus addictif pour moi , ou si aujourdh'ui le fait de vouloir vivre sans me fai si peur, c'est aussi que je vais etre "sans protection"...
je dois faire un gros HS mais je mets ce qui em vient en lisant..
je suis dépendante d'un morphnique, (la buprénorphine) comme je 'lai longtemps éét aussi plus jeune des opiacés par exemple.
ces substances m'apportaient une impression de "normalisation" et inhibaient mes peurs sociales et angoisses liées aux situation , quotidiennes, de relationnel...
d'ou le piege ensuite car en effet se debarraser de ce type de substance est très dur.(et j dois m'y engager...mon dosage aujourdh'ui est très bas, certes; mais mon derneir essai d'arret a éét très difficile alors je vais baisser, mais je me sens peu prete a vivre sans...c'est un travail a faire sur moi. )
apres je ne sais pas qsi le fait que je sosi autiste joue surn ceeta ddiction si ca a été plus addictif pour moi , ou si aujourdh'ui le fait de vouloir vivre sans me fai si peur, c'est aussi que je vais etre "sans protection"...
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Re: Endorphine : le Flash !
Ho non! Bien au contraire.meï a écrit :je dois faire un gros HS mais je mets ce qui em vient en lisant..
Le morphinique comme l’opiacé agissent belle et bien sur le même circuit que l'endorphine.
Le fait d'en avoir besoin pour atteindre un niveau normal c'est le sujet.
Un apport externe frêne la production interne, donc d'autres cultivent la production interne, par le sport par exemple. C'est donc aussi une aide sérieuse pour arrêter.meï a écrit :se debarraser de ce type de substance est très dur.
Je ne sais pas non plus, mais c'est sûrement révélateur d'une période prolongé ou répété de stress intense quant tu était petite, et ça on peut aisément le relier a l'autisme.meï a écrit :apres je ne sais pas qsi le fait que je sosi autiste joue surn ceeta ddiction si ca a été plus addictif pour moi
L'idée, hormis les lien vers le reste du forum, c'est qu'un état de stress prolongé, par la production répété d'endorphine par le petit enfant, fait que la personne développe un circuit particulièrement sensible a l'endorphine. Ce qui est une béquille efficace sur le moment, deviens un handicap sur le long terme, par la sensibilité a ces substance et le besoin d'en avoir pour atteindre un état juste normal.
Ton exemple incarne complètement le sujet, et tend a en confirmer l'idée.
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Re: Endorphine : le Flash !
Questionnement intéressant ; je n'en sais rien. Tout ce que je peux dire :
j'ai été accroc aux opiacées et à d'autres substances illégales durant un certain temps, puis aux benzos et autres médocs ; au sexe, au cannabis et au tabac. Aujourd'hui, j'essaie d'arrêter de fumer et de diminuer les médicaments, mais sans les les médocs, je ne peux dormir (pas du tout !), et je demeure encore accroc à la nicotine. Par ailleurs, avec l'arrêt d'un certain nombre de substances dernièrement, mon addiction s'est reportée sur le chocolat.
J'ai un peu l'impression d'avoir une addiction à l'addiction : je peux être accroc à n'importe quoi, du moment que je suis accroc. L'addiction peurt se reporter d'un objet à l'autre, mais est toujours présente. Cela dit, n'est-ce pas le cas de beaucoup de personnes (addiction au sport, etc.) ? Est-ce vraiment propre à des personnes souffrant de TSA ?
j'ai été accroc aux opiacées et à d'autres substances illégales durant un certain temps, puis aux benzos et autres médocs ; au sexe, au cannabis et au tabac. Aujourd'hui, j'essaie d'arrêter de fumer et de diminuer les médicaments, mais sans les les médocs, je ne peux dormir (pas du tout !), et je demeure encore accroc à la nicotine. Par ailleurs, avec l'arrêt d'un certain nombre de substances dernièrement, mon addiction s'est reportée sur le chocolat.
J'ai un peu l'impression d'avoir une addiction à l'addiction : je peux être accroc à n'importe quoi, du moment que je suis accroc. L'addiction peurt se reporter d'un objet à l'autre, mais est toujours présente. Cela dit, n'est-ce pas le cas de beaucoup de personnes (addiction au sport, etc.) ? Est-ce vraiment propre à des personnes souffrant de TSA ?
{ asperge }
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Re: Endorphine : le Flash !
Mon témoignage a peu de valeur car je ne suis pas diagnostiquée.
Je suis passée par différentes addictions et je remarque en effet que ça passait pas l'endorphine. Quand je souffrais de troubles alimentaires, je faisais des crises de nourriture où j'allais tout vomir ensuite et c'était pour moi un véritable "shoot" d'endorphine. J'ai eu beaucoup de mal à arrêter justement parce que j'étais vraiment addicte. J'en transpirais, je tournais comme une lionne en cage...
Aujourd'hui je suis accro au sport. Précisément à la danse. Ça en est à un tel point qu'après une représentation ou à la fin des cours annuels, je plonge dans une profonde déprime. Je suis d'une humeur exécrable, on dirait que je n'ai plus de vie. J'ai passé les vacances d'été à chercher des stages de danse un peu partout pour aller chercher ma dose. Je sais que d'autres danseuses ont déprimé à la fin des cours de l'année. Mais si je parle d'addiction dans mon cas, c'est qu'il y a vraiment un changement d'état, d'humeur, d'appétit lié à cette activité.
Il y a comme une forme d'excitation et d'angoisse avant un cours, une répétition ou autre, j'ai toujours très mal au ventre. Pendant, je me sens vivante, je ne me pose plus de question, la communication est tellement réduite que l'autre ne me pose plus de problème. Je me pose même comme leadeuse, je dis ce que je veux, comment ça doit se passer et on me suit ou pas mais je ne suis plus à me poser dix milles questions sur comment me comporter.. Après, je me sens très bien pendant la soirée, souvent euphorique et le lendemain, ça redescend et je me traîne...
Niveau sensibilité, je remarque que pendant que je danse, je n'ai aucun problème avec la musique forte, les bruits de pas. C'est comme si j'étais dans une bulle confortable, qui me protège des agressions.
D'ordinaire, beaucoup de bruits me rendent dingue, je fais de l'hyperacousie.
Je suis passée par différentes addictions et je remarque en effet que ça passait pas l'endorphine. Quand je souffrais de troubles alimentaires, je faisais des crises de nourriture où j'allais tout vomir ensuite et c'était pour moi un véritable "shoot" d'endorphine. J'ai eu beaucoup de mal à arrêter justement parce que j'étais vraiment addicte. J'en transpirais, je tournais comme une lionne en cage...
Aujourd'hui je suis accro au sport. Précisément à la danse. Ça en est à un tel point qu'après une représentation ou à la fin des cours annuels, je plonge dans une profonde déprime. Je suis d'une humeur exécrable, on dirait que je n'ai plus de vie. J'ai passé les vacances d'été à chercher des stages de danse un peu partout pour aller chercher ma dose. Je sais que d'autres danseuses ont déprimé à la fin des cours de l'année. Mais si je parle d'addiction dans mon cas, c'est qu'il y a vraiment un changement d'état, d'humeur, d'appétit lié à cette activité.
Il y a comme une forme d'excitation et d'angoisse avant un cours, une répétition ou autre, j'ai toujours très mal au ventre. Pendant, je me sens vivante, je ne me pose plus de question, la communication est tellement réduite que l'autre ne me pose plus de problème. Je me pose même comme leadeuse, je dis ce que je veux, comment ça doit se passer et on me suit ou pas mais je ne suis plus à me poser dix milles questions sur comment me comporter.. Après, je me sens très bien pendant la soirée, souvent euphorique et le lendemain, ça redescend et je me traîne...
Niveau sensibilité, je remarque que pendant que je danse, je n'ai aucun problème avec la musique forte, les bruits de pas. C'est comme si j'étais dans une bulle confortable, qui me protège des agressions.
D'ordinaire, beaucoup de bruits me rendent dingue, je fais de l'hyperacousie.
"Je me représentais l'amitié comme un papillon, à la fois beau et fragile, qui s'envolait dans les airs et que toute tentative d'attraper revenait à détruire." Daniel Tammet
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Re: Endorphine : le Flash !
Vous pouvez aussi pratiquer un sport de manière régulière.Si vous avez vraiment besoin d'endorphine,bah le plus simple c'est de faire du sport régulièrement selon vos possibilités.
Vélo,natation,soulever des althères,boxe,course à pied,sport de combat.
Meï: L'endorphine peut servir à éviter justement les angoisses et les crises de nerf.Après pour te sentir mieux pour te socialiser pourquoi pas....
Je me souviens de mon état après une heure et demie de judo et aussi après un footing puis une balade à vélo avec des côtes assez importante à monter:j'étais vidé.Et après le soir je fais (mais pas encore systématiquement):des flexions,des abdos,des pompes et aussi de travailler mon dos.
http://www.youtube.com/watch?v=p6GNOd55ZwA
Ready for more reaction
http://www.youtube.com/watch?v=iXxcq704 ... re=related
Si y'en a qui veulent aller soulever des althères en salle:ce que je vous ai mit ca motive,c'est d'ailleurs je crois la doublure de terminator 1,2 & 3....
Vélo,natation,soulever des althères,boxe,course à pied,sport de combat.
Meï: L'endorphine peut servir à éviter justement les angoisses et les crises de nerf.Après pour te sentir mieux pour te socialiser pourquoi pas....
Je me souviens de mon état après une heure et demie de judo et aussi après un footing puis une balade à vélo avec des côtes assez importante à monter:j'étais vidé.Et après le soir je fais (mais pas encore systématiquement):des flexions,des abdos,des pompes et aussi de travailler mon dos.
http://www.youtube.com/watch?v=p6GNOd55ZwA
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http://www.youtube.com/watch?v=iXxcq704 ... re=related
Si y'en a qui veulent aller soulever des althères en salle:ce que je vous ai mit ca motive,c'est d'ailleurs je crois la doublure de terminator 1,2 & 3....
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Re: Endorphine : le Flash !
Je m'attendais a plein de chose en cliquant sur les lien mais pas à "the eye of the tiger" version geek.
Ceci dit autant meï est en plein dans le sujet, autant pour les autres réponse c'est plutôt une transposition de ce sujet d'endorphine a toutes les autres possibilité d'addiction, loin du problème spécifique de l'endorphine.
[ j'ai encore écrit une sacré tartine pas très digeste, mais je crois que les deux point mis en gras un peut plus bas résument bien la réponse, que je laisse entière si éventuellement c'est utile et par ce que si je trifouille je vais rendre encore plus dur a lire. ]
L'endorphine est un opiacé, c'est a dire une substance qui agit sur les récépteur opioïdes.
Par contres les addiction en générale c'est plutôt un déréglage de la dopamine (hormone du plaisir) et ça ça agit sur les récepteur dopaminergique.
Le cannabis (au passage) a une action distincte sur un circuit canabinoïde découvert il n'y a pas très longtemps.
J'avais mis un lien la dessus il y a longtemps sur le type de dépressions différent des personnes ayant eut un traumatisme dans l'enfance. C'était dans un cycle de conférence de psychiatres sur les effets des agressions sexuelle (je crois), et l'un d'entre eux expliquait que ceux qui avait été abusé dans l'enfance développait parfois un état dépressif singulier, différent de l'état dépressif normal. plus difficile a identifier, et qui se soigne différemment.
Pour survivre au stress il ont utilisé la pompe a endorphine interne, et ont modifié leur mode de fonctionnement.
Bref, c'est spécifique au stress intense dans la petite enfance. Il peut y avoir des stress intense sans autisme, et de l'autisme sans stress intense.
Mais un enfant qui branche mal de circuit de communication est nécessairement en état de détresse.
Après l'autisme psychogène si on le distingue colle complètement, et je cois pas bien comment l'autisme génétique n’aurait pas une part psychogène sachant que les vraie jumeau n'ont pas 100% de chance d'être autiste tous les deux.
Tout ça pour dire que :
1 - Je ne parle pas des addictions en générale mais d'un cas très particulier, qui touche une infime portion de la population (3% serrait dans cette état de déprime plus profond que la dépression habituelle, qu'on appelle plutôt mélancolie même si c'est plus grave, et seul ceux dont cet état serrait installé depuis la prim enfance pourrait avoir créer un mode de fonctionnement en dévers sur l'endorphine, c'est du moins l'idée)
2 - Je suppose cet état plus courant chez les autistes, ou les aspie, par ce que les indices qui vont dans ce sens sont nombreuses.
Même si je ne me trompe pas, il n'y a rien de systématique, rien d'exclusif, ni rien de spécifiquement représentatif de l'autisme la dedans.
(pour rappel, et par ce que l'idée même me met en colère, je pense que de vouloir identifier l'autisme a partir de signes secondaire est un folie furieuse )
Le sujet c'est plutôt : et si de nombreux autiste avait ce mécanisme, cette sensibilité accrue aux endorphine, ce même truc qui concerne les enfants traumatisé non autiste.
Dans ce cas il faudrait arriver a le distinguer des autres histoires de vie sensibilité particulière qui crée des comportement addictif en générale comme dans vos réponses. Ces réponse prouvent a l'évidence que c'est pas facile de faire le trie. Le sport c'est aussi une sécrétion de dopamine, hormone du plaisir, qui rend accroc.
Alors comment distinguer justement une sensibilité particulière d'un besoin irrépressible autre?
Déjà meï parlais de retrouver juste un état normal. C'est pas une fuite en avant dans son cas, mais un palliatif. C'est la même différence qu'il y a entre prendre de la morphine e titre de loisir, mais avec un besoin irrépressible de se changer les idée, et prendre de la morphine par ce qu'on vous coupe la jambe. dans le second cas ça pallie a une impossibilité de sécrété suffisamment d'endorphine, pas dans le premier, même si dans le premier il existe un problème réel a prendre en compte.
Ceci dit autant meï est en plein dans le sujet, autant pour les autres réponse c'est plutôt une transposition de ce sujet d'endorphine a toutes les autres possibilité d'addiction, loin du problème spécifique de l'endorphine.
[ j'ai encore écrit une sacré tartine pas très digeste, mais je crois que les deux point mis en gras un peut plus bas résument bien la réponse, que je laisse entière si éventuellement c'est utile et par ce que si je trifouille je vais rendre encore plus dur a lire. ]
Opiacé oui, sexe aussi (libère de l'endorphine) mais les autre substance les médoc le cannabis et le tabac c'est (très probablement) plus le même sujet ni le même problème.lo² a écrit :j'ai été accroc aux opiacées et à d'autres substances illégales durant un certain temps, puis aux benzos et autres médocs ; au sexe, au cannabis et au tabac.
L'endorphine est un opiacé, c'est a dire une substance qui agit sur les récépteur opioïdes.
Par contres les addiction en générale c'est plutôt un déréglage de la dopamine (hormone du plaisir) et ça ça agit sur les récepteur dopaminergique.
Le cannabis (au passage) a une action distincte sur un circuit canabinoïde découvert il n'y a pas très longtemps.
L’anorexie / boulimie c'est pas su tout lié a ce circuit endorphinique. Comme dans d'autre cas c'est normal d'y voir un parallèle a cause du phénomène d'addiction, de besoin, mais l'endorphine n'agit pas comme ça, la crise de nourriture est plutôt un autre moyen parfaitement distinct d'atteindre de tenter d'atteindre l’apaisement, qui passe peut être par l' hormone de satiété, la cholécystokinine.Lifeinblue a écrit :Quand je souffrais de troubles alimentaires, je faisais des crises de nourriture
Non, il n'a pas été question de ma part de sous entendre que de soit spécifique au TSA, si on fait de chaque truc qui peut toucher l'autisme un truc qui n'existe pas ailleurs que dans l'autisme on risque pas d'arriver comprendre quoi que ce soit!lo² a écrit :Cela dit, n'est-ce pas le cas de beaucoup de personnes (addiction au sport, etc.) ? Est-ce vraiment propre à des personnes souffrant de TSA ?
J'avais mis un lien la dessus il y a longtemps sur le type de dépressions différent des personnes ayant eut un traumatisme dans l'enfance. C'était dans un cycle de conférence de psychiatres sur les effets des agressions sexuelle (je crois), et l'un d'entre eux expliquait que ceux qui avait été abusé dans l'enfance développait parfois un état dépressif singulier, différent de l'état dépressif normal. plus difficile a identifier, et qui se soigne différemment.
Pour survivre au stress il ont utilisé la pompe a endorphine interne, et ont modifié leur mode de fonctionnement.
Bref, c'est spécifique au stress intense dans la petite enfance. Il peut y avoir des stress intense sans autisme, et de l'autisme sans stress intense.
Mais un enfant qui branche mal de circuit de communication est nécessairement en état de détresse.
Après l'autisme psychogène si on le distingue colle complètement, et je cois pas bien comment l'autisme génétique n’aurait pas une part psychogène sachant que les vraie jumeau n'ont pas 100% de chance d'être autiste tous les deux.
Tout ça pour dire que :
1 - Je ne parle pas des addictions en générale mais d'un cas très particulier, qui touche une infime portion de la population (3% serrait dans cette état de déprime plus profond que la dépression habituelle, qu'on appelle plutôt mélancolie même si c'est plus grave, et seul ceux dont cet état serrait installé depuis la prim enfance pourrait avoir créer un mode de fonctionnement en dévers sur l'endorphine, c'est du moins l'idée)
2 - Je suppose cet état plus courant chez les autistes, ou les aspie, par ce que les indices qui vont dans ce sens sont nombreuses.
Même si je ne me trompe pas, il n'y a rien de systématique, rien d'exclusif, ni rien de spécifiquement représentatif de l'autisme la dedans.
(pour rappel, et par ce que l'idée même me met en colère, je pense que de vouloir identifier l'autisme a partir de signes secondaire est un folie furieuse )
Le sujet c'est plutôt : et si de nombreux autiste avait ce mécanisme, cette sensibilité accrue aux endorphine, ce même truc qui concerne les enfants traumatisé non autiste.
Dans ce cas il faudrait arriver a le distinguer des autres histoires de vie sensibilité particulière qui crée des comportement addictif en générale comme dans vos réponses. Ces réponse prouvent a l'évidence que c'est pas facile de faire le trie. Le sport c'est aussi une sécrétion de dopamine, hormone du plaisir, qui rend accroc.
Alors comment distinguer justement une sensibilité particulière d'un besoin irrépressible autre?
Déjà meï parlais de retrouver juste un état normal. C'est pas une fuite en avant dans son cas, mais un palliatif. C'est la même différence qu'il y a entre prendre de la morphine e titre de loisir, mais avec un besoin irrépressible de se changer les idée, et prendre de la morphine par ce qu'on vous coupe la jambe. dans le second cas ça pallie a une impossibilité de sécrété suffisamment d'endorphine, pas dans le premier, même si dans le premier il existe un problème réel a prendre en compte.
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Re: Endorphine : le Flash !
Pour l'instant, le rapport des peptides opioïdes avec les TED n'est pas avéré. Pour l'endorphine : c'est intéressant.manu a écrit :Et si l'endorphine était en cause?
C'est une molécule qui agit sur les récepteur opioïdes. Un Peptides Opioïde ...
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans