[Court-Métrage] Petits films
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[Court-Métrage] Petits films
J'ai cherché à la demande de Michèle le lien vers ce petit film :
Le Gymnase, un film d'Olivier Mégaton
Le film « Le Gymnase » propose une approche inédite de l’autisme, celle vécu de l’intérieur, en se déplaçant dans le cerveau d’un enfant autiste pour saisir sa façon de percevoir son environnement, et comprendre comment il traite ce qu’il voit, entend, ressent.
« Le Gymnase » a ainsi pour objectif de faire changer le regard porté sur l’autisme.
« Le Gymnase » a été réalisé gracieusement par Olivier Mégaton, réalisateur de deux long-métrages, ainsi que de nombreux documentaires, courts-métrages, clips et publicités.
L’agence Komando et Blue Marlyn Production, partenaires de ce film, ont participé bénévolement à la réalisation de ce film en mettant leur talent et leur créativité au service de la cause des enfants autistes.
Site Autisme sans Frontières
voir le film "Le Gymnase" - 60 secondes
Le Gymnase, un film d'Olivier Mégaton
Le film « Le Gymnase » propose une approche inédite de l’autisme, celle vécu de l’intérieur, en se déplaçant dans le cerveau d’un enfant autiste pour saisir sa façon de percevoir son environnement, et comprendre comment il traite ce qu’il voit, entend, ressent.
« Le Gymnase » a ainsi pour objectif de faire changer le regard porté sur l’autisme.
« Le Gymnase » a été réalisé gracieusement par Olivier Mégaton, réalisateur de deux long-métrages, ainsi que de nombreux documentaires, courts-métrages, clips et publicités.
L’agence Komando et Blue Marlyn Production, partenaires de ce film, ont participé bénévolement à la réalisation de ce film en mettant leur talent et leur créativité au service de la cause des enfants autistes.
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"Mon petit frère de la lune"
Un dessin animé "Mon petit frère de la lune"
2007 – durée 0:05:48
Une petite fille essaie de faire comprendre pourquoi son petit frère (autiste) n’est pas vraiment comme les autres enfants et donne sa version des faits.
Ce court métrage a obtenu le Grand Prix ainsi que le prix du public du Festival du court métrage Handica-Apicil 2007
http://www.blogfondation.orange.com/ind ... -Philibert
2007 – durée 0:05:48
Une petite fille essaie de faire comprendre pourquoi son petit frère (autiste) n’est pas vraiment comme les autres enfants et donne sa version des faits.
Ce court métrage a obtenu le Grand Prix ainsi que le prix du public du Festival du court métrage Handica-Apicil 2007
http://www.blogfondation.orange.com/ind ... -Philibert
Modifié en dernier par Jean le dimanche 5 octobre 2008 à 23:32, modifié 1 fois.
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Re: Petits films
Sur le même site, on trouveJean a écrit :J'ai cherché à la demande de Michèle le lien vers ce petit film : Le Gymnase, un film d'Olivier Mégaton
Ne laissons plus les enfants autistes au bord du chemin.
Il m'a fait réagir car je suis en train d'écrire mon autobio et j'en suis au passage où à 6 ans, je faisais "le cirque" sur la banquette arrière de la 4CV de mon père en 1967. Un instant, en voyant ce film, je me suis dit : "j'aurai pu être cet enfant"; avant de me raviser : "mon père n'aurait jamais fait ça".
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
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Re: "Mon petit frère de la lune"
C'est très beau et très bien fait.Jean a écrit :Une petite fille essaie de faire comprendre pourquoi son petit frère (autiste) n’est pas vraiment comme les autres enfants et donne sa version des faits.
Les commentaires des visiteurs sont touchants aussi.
Une belle initiative d'un papa concerné par ce sujet.
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
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Q & A
Q & R (questions et réponses)
Joshua Littman, un garçon de 12 ans, souffre du syndrome d'Asperger. Il interviewe sa mère, Sarah.
C'est un dessin animé présenté au festival d'Annecy(3mn30)
Télérama le 13 juin 2009
Les frères Rauch
Q & R (questions et réponses)
Joshua Littman, un garçon de 12 ans, souffre du syndrome d'Asperger. Il interviewe sa mère, Sarah.
C'est un dessin animé présenté au festival d'Annecy(3mn30)
Télérama le 13 juin 2009
Mangaverse in live ! 11 juin 2009Deux autres « courts » figurant dans la compétition officielle mêlaient également de l'animation à des témoignages réels. Avec des résultats bien plus riches. Dans Q&A, de Tim et Mike Rauch, la fausse naïveté du dessin transmet très efficacement les sentiments, les émotions et les angoisses respectives d'une mère et de son fils de 12 ans, qui souffre d'un syndrome d'Asperger (un trouble du développement neurologique rattaché à l'autisme).
Cliquez sur les images pour le grand formatQ & A de Tim Rauch, Mike Rauch (Etats-Unis) nous met lui en image l'interview d'une mère par son fils atteint du syndrome d'Asperger - sorte d'autisme - c'est très simple, techniquement sans étincelle mais plutôt intéressant, d'autant qu'il ne dure que 3mn30, ce qui est bienvenu après deux courts de 15...
Les frères Rauch
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Re: Petits films
Un petit film par Guylene Dhormes - 2mn21
Autisme et TED - Images de sensibilisation
http://www.vimeo.com/8845735#
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père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Petits films
Voir aussi le reportage (18 mn) :
Petite video autisme / "Les cerises bleues" - vivre avec un enfant extraordinaire
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père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Petits films
Sensibilisation au handicap à Brest Métropole Océane (ex-Communauté urbaine de Brest) : La compagnie théâtrale d’improvisation « Impro.infini » forme les cadres et les agents de « Brest Métropole Océane » par un spectacle interactif sur le handicap. Mises en situations, recherche de solutions, interventions d’experts et témoignages alimentent cette sensibilisation.
La vidéo sur : http://www.mrbo.fr/blog/?p=70
Plus de précisions et de vidéos sur la formation proposée par la troupe (cliquez sur les écrans noirs)
http://www.impro.infini.fr/formation-handicap/index.htm
Cette création de la compagnie brestoise Impro.Infini bat, depuis un an, tous les records d'affluences auprès des agents de BMO. "Le Télégramme"
Handicap. L'intégration par le travail
19 novembre 2010 - Le Télégramme
Mieux prendre en compte les personnes en situation de handicap mental ou psychique au travail, c'est l'une des priorités de la ville de Brest. Rencontre avec Julie Le Goïc, adjointe au maire chargée de la santé.
Qu'est-ce que ce programme «Tous pareils, tous différents»?
C'est un outil commandé par Brest Métropole Océane à Impro.Infini. Pour nous ce n'est pas un spectacle, mais une formation de quatre heures. Il y a des moments de théâtre, mais le but est d'amener le spectateur à se poser des questions. Par exemple, en utilisant des saynètes avec des personnes en situation de travail avec des handicapés. L'outil a été travaillé en amont avec le service des ressources humaines de la mairie.
Qu'en est-il de l'obligation faite à la ville par l'État d'embaucher 6% de travailleurs handicapés?
BMO dépasse les 6%. Il y a eu un effort important de la part de la ville. Mais ce n'est pas seulement une question de respect des quotas. Les personnes en situation de handicap et leurs collègues de travail doivent s'enrichir mutuellement. D'où l'intérêt de cette formation «Tous pareils, tous différents», éviter les crispations autour de certains handicaps, notamment ceux qui ne se voient pas: l'autisme, la schizophrénie, les troubles bipolaires. Les personnes ont à la fois leur personnalité et un handicap qui ne s'appréhende pas forcément. D'autant que beaucoup n'en parlent pas de peur d'être étiquetés. Il n'y a pas de réponses simples à apporter à ce genre de situation.
La ville est d'ailleurs très investie sur ces questions autour de la santé mentale...
Oui, la ville a créé un conseil local de santé mentale. On a même choisi d'impliquer quatre élus dans le conseil: les élus au logement, à l'action sociale, au handicap et à la santé. Cela permet de mettre en place très rapidement des passerelles quand une question nécessite l'implication d'autres élus. Nous travaillons également avec des partenaires extérieurs: le CHU, la mission locale, DCNS,etc. C'est une nouveauté par rapport au mandat précédent, on décloisonne beaucoup.
Certains ont critiqué la tournure que prend le chantier du tram vis-à-vis des handicapés. La ville s'investit-elle sur ce dossier?
C'est le travail de la commission d'accessibilité. Mais elle travaille sur des points difficiles hors chantiers. Lorsque les travaux seront finis, ce sera un parcours beaucoup plus simplifié, il n'y aura plus de poubelles, les chevalets des commerçants auront disparu. L'évolution des travaux reste suivie de très près. Dernièrement, il y a eu une intervention sur le bas de Siam suite à des questions autour de l'accès au tram pour les personnes en situation de mobilité réduite, par exemple. Mais, en attendant la fin du chantier, on conseille aux personnes ayant un handicap moteur de ne pas prendre l'axe Siam-Jaurès.
NB : il faudra certes donner quelques explications à la mairie de Brest sur que le terme handicap mental ou psychique ne convient pas aux handicaps cognitifs (les TED et les "dys" en général, les traumatisés crâniens aussi)...
Mais par ailleurs, s'il n'y a un Asperger dans le spectacle, ce n'est pas un hasard. Et que Patrick Chambres ait aidé à mettre en place la formation, c'est positif.
La vidéo sur : http://www.mrbo.fr/blog/?p=70
Plus de précisions et de vidéos sur la formation proposée par la troupe (cliquez sur les écrans noirs)
http://www.impro.infini.fr/formation-handicap/index.htm
Cette création de la compagnie brestoise Impro.Infini bat, depuis un an, tous les records d'affluences auprès des agents de BMO. "Le Télégramme"
Handicap. L'intégration par le travail
19 novembre 2010 - Le Télégramme
Mieux prendre en compte les personnes en situation de handicap mental ou psychique au travail, c'est l'une des priorités de la ville de Brest. Rencontre avec Julie Le Goïc, adjointe au maire chargée de la santé.
Qu'est-ce que ce programme «Tous pareils, tous différents»?
C'est un outil commandé par Brest Métropole Océane à Impro.Infini. Pour nous ce n'est pas un spectacle, mais une formation de quatre heures. Il y a des moments de théâtre, mais le but est d'amener le spectateur à se poser des questions. Par exemple, en utilisant des saynètes avec des personnes en situation de travail avec des handicapés. L'outil a été travaillé en amont avec le service des ressources humaines de la mairie.
Qu'en est-il de l'obligation faite à la ville par l'État d'embaucher 6% de travailleurs handicapés?
BMO dépasse les 6%. Il y a eu un effort important de la part de la ville. Mais ce n'est pas seulement une question de respect des quotas. Les personnes en situation de handicap et leurs collègues de travail doivent s'enrichir mutuellement. D'où l'intérêt de cette formation «Tous pareils, tous différents», éviter les crispations autour de certains handicaps, notamment ceux qui ne se voient pas: l'autisme, la schizophrénie, les troubles bipolaires. Les personnes ont à la fois leur personnalité et un handicap qui ne s'appréhende pas forcément. D'autant que beaucoup n'en parlent pas de peur d'être étiquetés. Il n'y a pas de réponses simples à apporter à ce genre de situation.
La ville est d'ailleurs très investie sur ces questions autour de la santé mentale...
Oui, la ville a créé un conseil local de santé mentale. On a même choisi d'impliquer quatre élus dans le conseil: les élus au logement, à l'action sociale, au handicap et à la santé. Cela permet de mettre en place très rapidement des passerelles quand une question nécessite l'implication d'autres élus. Nous travaillons également avec des partenaires extérieurs: le CHU, la mission locale, DCNS,etc. C'est une nouveauté par rapport au mandat précédent, on décloisonne beaucoup.
Certains ont critiqué la tournure que prend le chantier du tram vis-à-vis des handicapés. La ville s'investit-elle sur ce dossier?
C'est le travail de la commission d'accessibilité. Mais elle travaille sur des points difficiles hors chantiers. Lorsque les travaux seront finis, ce sera un parcours beaucoup plus simplifié, il n'y aura plus de poubelles, les chevalets des commerçants auront disparu. L'évolution des travaux reste suivie de très près. Dernièrement, il y a eu une intervention sur le bas de Siam suite à des questions autour de l'accès au tram pour les personnes en situation de mobilité réduite, par exemple. Mais, en attendant la fin du chantier, on conseille aux personnes ayant un handicap moteur de ne pas prendre l'axe Siam-Jaurès.
"Un outil pour faire changer les mentalités»
Qui aurait cru qu'il y aurait autant de demandes pour une formation de près de quatre heures sur le thème du handicap au travail? À Brest Métropole Océane (BMO), on n'en revient toujours pas. En un an, «Tous pareils, tous différents» a progressivement affiché complet à chacune de ses représentations. Le bouche-à-oreille a joué à plein pour cet atelier mêlant vidéos, interventions de spectateurs, de comédiens et de psychologues. Tant et si bien que l'intégralité des agents de BMO y a ainsi participé. La formation a même été proposée aux élèves ingénieurs de l'École nationale d'ingénieurs de Brest (Enib), ainsi qu'aux personnels du groupe Estran.
Une commande de BMO
Répondant à un appel d'offres de BMO, la compagnie brestoise Impro. Infini a écrit et mis en scène cette formation en collaboration avec le département de psychologie de l'université de Clermont-Ferrand et l'Association des paralysés de France. Elle se compose d'une série de cycles alternant mise en scène d'un problème, échange avec les spectateurs, intervention d'une psychologue puis séance de questions-réponses.
Une formation évolutive
«Dans un premier temps, nous nous sommes interrogés autour de la thématique. Le sujet touche particulièrement certains des membres de la compagnie», explique Patrice Coum, le chargé de production d'Impro. Infini. «C'est un spectacle évolutif. Nous adaptons nos saynètes au public et à la structure qui nous demande d'intervenir. C'est peut-être ce qui fait sa force. C'est aussi une façon de dédramatiser la chose. Pour nous, c'est surtout un outil pour faire changer les mentalités sur les handicaps psychiques, mentaux et moteurs». Le ministère de l'Agriculture, la communauté d'agglomération de Clermont-Ferrand et le groupe DCNS sont également intéressés par le projet.
NB : il faudra certes donner quelques explications à la mairie de Brest sur que le terme handicap mental ou psychique ne convient pas aux handicaps cognitifs (les TED et les "dys" en général, les traumatisés crâniens aussi)...
Mais par ailleurs, s'il n'y a un Asperger dans le spectacle, ce n'est pas un hasard. Et que Patrick Chambres ait aidé à mettre en place la formation, c'est positif.
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Re: Petits films
Patrick Chambres, de Clermont-FerrandJean a écrit :Mais par ailleurs, s'il n'y a un Asperger dans le spectacle, ce n'est pas un hasard. Et que Patrick Chambres ait aidé à mettre en place la formation, c'est positif.
Sinon, j'ai écouté les saynètes. Je vais demander un casque antibruit, vu que je travaille dans un open-space.
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
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Re: "Mon petit frère de la lune"
Message : Dans le courant du mois de novembre, paraîtra aux Editions d’un Monde à l’Autre, l’adaptation du film d’animation Mon petit frère de la lune réalisé par Frédéric Philibert. Après une diffusion durant quatre années sur Internet, dans les festivals (Grand prix et Prix du public au Festival Handica-Apicil 2007), après un accueil enthousiaste du public, Frédéric Philibert a souhaité adapter son film en album pour les enfants.Jean a écrit :Un dessin animé "Mon petit frère de la lune"
2007 – durée 0:05:48
Une petite fille essaie de faire comprendre pourquoi son petit frère (autiste) n’est pas vraiment comme les autres enfants et donne sa version des faits.
Dans Mon petit frère de lune l’auteur met en scène ses enfants : Coline et Noé. La première, avec ses mots d’enfants et son regard fraternel aimant, présente son frère, Noé, autiste. Elle l’observe beaucoup et le décrit avec détails : ses dôles de comportements, son attrait pour tout ce qui brille et particulièrement la lune, son isolement mais aussi le regard que les autres portent sur lui. Et elle essaie de comprendre.
Le regard de cette petite fille sur son frère est très tendre et révèle la puissance de la relation fraternelle lorsqu’un enfant est différent dans la famille.
Cet album sera accompagné du film d’animation.
Pour cette publication, les Editions d’un Monde à l’Autre lancent une souscription valable jusqu’au 10 novembre.
http://www.mondealautre.fr/souscription ... d-158.html
Bulletin de souscription
Vous trouverez une intervention de l’auteur à la page 8-9 du bulletin n° 17 de la maison d'édition.
Extrait :
Mais la grande question aujourd’hui c’est comment faire en sorte que le livre apporte un vrai plus, par rapport au film. Je ne vais pas tout vous dévoiler, mais je pense, par exemple, que tout ce que j’ai dû dire en très court dans le film, pourra être plus illustré dans le livre.
Dans le film il est question de mon fils qui s’arrête devant tout ce qui est rond dans la rue, par exemple les bouches d’égout ! Je pense que dans le livre, je vais creuser davantage cette situation à la fois drôle et étrange et faire mieux pénétrer encore le lecteur dans l’univers de mon fils en montrant à quel point ces situations sont nombreuses dans la rue : il y a les bouches d’égout, mais également les panneaux de circulation et bien d’autres choses encore jusqu’au camion de pizza !!!! Je pense en effet que la clé du livre sera dans la façon d’illustrer plus en détails toutes les situations que j’abordais dans le film.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Petits films
Academia de especialistas
La Fondation Orange Espagne présente ce nouveau court métrage d'animation réalisé par Miguel Gallardo.
Voici la version sous-titrée en Français.
http://fundacionorange.es/
7mn29
La Fondation Orange Espagne présente ce nouveau court métrage d'animation réalisé par Miguel Gallardo.
Voici la version sous-titrée en Français.
http://fundacionorange.es/
7mn29
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Petits films
Merci Jean ! Formidable tout ça. Quel boulot !
« Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire.» Proverbe chinois
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