Jeudi 28 juillet - avant-dernière étape avec Autisme Cornouaille.
[2011/07/14] Route Asperansa - nouvelles étape par étape
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Jean
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
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père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Jean
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
suite de la journée de jeudi
Voir Expo photos d'Autisme Cornouaille
Article d'Ouest-France du 28 juillet : Le périple de Gwen Le Ny pour l'autisme
Article de presse d'Ouest-France du 30 juillet : Le Smatah accueille Autisme Cornouaille
Vous pouvez réagir sur l'autre sujet "route Asperansa"
Article d'Ouest-France du 28 juillet : Le périple de Gwen Le Ny pour l'autisme
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Jean
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
Le Télégramme - Finistère -1 août 2011
Autisme. 1.250km pour la scolarisation des enfants
Il vient de traverser la France d'est en ouest en courant au nom de l'association Asperansa qui défend le diagnostic et la prise en charge des enfants nés autistes (*).
L'ultramarathonien Gwen Le Ny a bouclé sa traversée de la France avec le soutien logistique de Christiane Abiven, de l'association Asperansa. Photo S.J.
Si tout le monde s'est plaint du temps de chien de ce mois de juillet, Gwen Le Ny, lui, a eu de vraies raisons de pester contre le ciel qui lui est tombé sur la tête. Neuf jours de pluie non-stop et seulement deux jours de grand beau sur les seize qu'il lui a fallu pour parcourir les 1.250km entre la frontière suisse et Brest (entre 70 et 75km par jour). Ses ampoules aux pieds ont d'ailleurs bien failli le clouer sous la tente à plusieurs reprises, mais l'ultramarathonien courant pour soutenir la scolarisation des enfants autistes est toujours reparti. Seize jours sans s'arrêter, de 6h du matin à 18h30, dormant à la belle étoile, sous la tente ou un hangar accueillant. Quatre associations partenaires ont accueilli le sportif et son accompagnatrice tout au long de ce périple de sensibilisation.
Poser le diagnostique
Le conseiller principal d'éducation au collège-lycée Saint-Sébastien de Landerneau n'en était pas à sa première grande traversée de la France. Pour ce troisième périple aux côtés d'Asperansa, il était accompagné de Christiane Abiven, la documentaliste de l'établissement (aujourd'hui à la retraite), maman d'une fille autiste, seulement diagnostiquée à l'âge de21ans. «Même si des progrès ont été réalisés, les diagnostics mettent parfois du temps à se poser sur des enfants au comportement et à la sociabilité difficiles», résume Christiane Abiven. «Notre association s'emploie à expliquer les signes visibles de l'autisme et à orienter les parents souvent démunis face à cette maladie». Un diagnostic précoce permet au contraire de les soulager en leur apportant certaines réponses. De ce diagnostic clairement posé, dépendra une prise en charge scolaire adaptée et cela évitera beaucoup de souffrance au petit autiste souvent rejeté car dans l'incapacité de communiquer normalement dans notre société.
Dédouaner les parents
Les parents et leur entourage auront aussi la possibilité de rencontrer d'autres personnes concernées et de mettre en commun leurs expériences. «L'autisme n'est pas dû à une mauvaise relation entre la mère et l'enfant mais à une anomalie neurobiologique d'origine génétique», insiste Christiane Abiven qui ajoute que les dernières recherches sur le sujet font état d'«un enfant touché sur 150, à des degrés divers».
Moins facile à détecter
Les enfants atteints d'un autisme de haut niveau, comme celui d'Asperger, réussissent plus ou moins à compenser leurs troubles. Mais si grâce à leurs capacités intellectuelles parfois supérieures à la moyenne, ils ont davantage de chances d'évoluer et de se faire une place dans la société, leur handicap est également moins visible, souvent moins facile à détecter.
* Plus d'informations sur http://www.asperansa.org
Stéphane Jézéquel
Autisme. 1.250km pour la scolarisation des enfants
Il vient de traverser la France d'est en ouest en courant au nom de l'association Asperansa qui défend le diagnostic et la prise en charge des enfants nés autistes (*).
L'ultramarathonien Gwen Le Ny a bouclé sa traversée de la France avec le soutien logistique de Christiane Abiven, de l'association Asperansa. Photo S.J.
Si tout le monde s'est plaint du temps de chien de ce mois de juillet, Gwen Le Ny, lui, a eu de vraies raisons de pester contre le ciel qui lui est tombé sur la tête. Neuf jours de pluie non-stop et seulement deux jours de grand beau sur les seize qu'il lui a fallu pour parcourir les 1.250km entre la frontière suisse et Brest (entre 70 et 75km par jour). Ses ampoules aux pieds ont d'ailleurs bien failli le clouer sous la tente à plusieurs reprises, mais l'ultramarathonien courant pour soutenir la scolarisation des enfants autistes est toujours reparti. Seize jours sans s'arrêter, de 6h du matin à 18h30, dormant à la belle étoile, sous la tente ou un hangar accueillant. Quatre associations partenaires ont accueilli le sportif et son accompagnatrice tout au long de ce périple de sensibilisation.
Poser le diagnostique
Le conseiller principal d'éducation au collège-lycée Saint-Sébastien de Landerneau n'en était pas à sa première grande traversée de la France. Pour ce troisième périple aux côtés d'Asperansa, il était accompagné de Christiane Abiven, la documentaliste de l'établissement (aujourd'hui à la retraite), maman d'une fille autiste, seulement diagnostiquée à l'âge de21ans. «Même si des progrès ont été réalisés, les diagnostics mettent parfois du temps à se poser sur des enfants au comportement et à la sociabilité difficiles», résume Christiane Abiven. «Notre association s'emploie à expliquer les signes visibles de l'autisme et à orienter les parents souvent démunis face à cette maladie». Un diagnostic précoce permet au contraire de les soulager en leur apportant certaines réponses. De ce diagnostic clairement posé, dépendra une prise en charge scolaire adaptée et cela évitera beaucoup de souffrance au petit autiste souvent rejeté car dans l'incapacité de communiquer normalement dans notre société.
Dédouaner les parents
Les parents et leur entourage auront aussi la possibilité de rencontrer d'autres personnes concernées et de mettre en commun leurs expériences. «L'autisme n'est pas dû à une mauvaise relation entre la mère et l'enfant mais à une anomalie neurobiologique d'origine génétique», insiste Christiane Abiven qui ajoute que les dernières recherches sur le sujet font état d'«un enfant touché sur 150, à des degrés divers».
Moins facile à détecter
Les enfants atteints d'un autisme de haut niveau, comme celui d'Asperger, réussissent plus ou moins à compenser leurs troubles. Mais si grâce à leurs capacités intellectuelles parfois supérieures à la moyenne, ils ont davantage de chances d'évoluer et de se faire une place dans la société, leur handicap est également moins visible, souvent moins facile à détecter.
* Plus d'informations sur http://www.asperansa.org
Stéphane Jézéquel
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
Le Télégramme - Saint-Hernin -1 août 2011
Autisme. L'ultra marathon de l'espoir
Gwen Le Ny entouré du comité d'accueil, jeudi en fin d'après-midi, à la maison éclusière de Kergoat. L'ultime étape avant l'arrivée à Brest terme de son long périple en solitaire.
Autisme Cornouaille accueillait, jeudi, à la maison éclusière de Kergoat, Gwen Le Ny, l'ultra marathonien, dans le cadre de l'opération Route Esperansa 2011. Gwen, CPE de collège, court pour soutenir la scolarisation des enfants autistes et dédie ses courses à ses élèves autistes. Au compteur de ce sportif hors normes, 1.380km depuis son départ de Besançon, le 14 juillet, et son arrivée à Brest, le 29 juillet : 16jours de courses en solitaire pour une noble cause.
«Aider les familles à percer le mystère de leur enfant»
«Depuis un an, une forte demande de rassemblement de familles d'enfants Asperger et autistes de haut niveau a conduit à la création d'un groupe de parole. Ces deux derniers syndromes ne se comparent pas à l'autisme tel qu'il est généralement connu, mais nos enfants ne sont pas moins porteurs d'un handicap social. La prévention et l'information aident les familles à percer le mystère de leur enfant, et demander un diagnostic d'autisme. Le seul Centre ressources autisme (Cra) de Bretagne se trouve à Brest», explique Noëlle Chevance, chargée du comité d'accueil. «La scolarisation est possible pour tous les autistes, sous toute forme, si un diagnostic est posé au plus jeune âge, et si un travail comportemental est réalisé avec l'enfant. Selon le degré, le chemin sera plus difficile, mais il faut leur laisser la chance de le démontrer», poursuit-elle, et d'ajouter, «L'autisme touche un enfant sur 150. Diagnostiquées tôt et accompagnées comme il convient, certaines personnes autistes peuvent avoir une vie normale, suivre un cursus scolaire et/ou universitaire, avoir un emploi. La création de postes d'AVS (Assistant de vie scolaire) en nombre suffisant serait une des solutions pour la scolarisation du plus grand nombre, quand on sait, par ailleurs, que le financement d'un poste AVS revient moins cher à l'état qu'une place en institution», ajoute-t-elle.
Contact Tél.06.77.82.30.15 autismecornouaille@orange.fr
Autisme. L'ultra marathon de l'espoir
Gwen Le Ny entouré du comité d'accueil, jeudi en fin d'après-midi, à la maison éclusière de Kergoat. L'ultime étape avant l'arrivée à Brest terme de son long périple en solitaire.
Autisme Cornouaille accueillait, jeudi, à la maison éclusière de Kergoat, Gwen Le Ny, l'ultra marathonien, dans le cadre de l'opération Route Esperansa 2011. Gwen, CPE de collège, court pour soutenir la scolarisation des enfants autistes et dédie ses courses à ses élèves autistes. Au compteur de ce sportif hors normes, 1.380km depuis son départ de Besançon, le 14 juillet, et son arrivée à Brest, le 29 juillet : 16jours de courses en solitaire pour une noble cause.
«Aider les familles à percer le mystère de leur enfant»
«Depuis un an, une forte demande de rassemblement de familles d'enfants Asperger et autistes de haut niveau a conduit à la création d'un groupe de parole. Ces deux derniers syndromes ne se comparent pas à l'autisme tel qu'il est généralement connu, mais nos enfants ne sont pas moins porteurs d'un handicap social. La prévention et l'information aident les familles à percer le mystère de leur enfant, et demander un diagnostic d'autisme. Le seul Centre ressources autisme (Cra) de Bretagne se trouve à Brest», explique Noëlle Chevance, chargée du comité d'accueil. «La scolarisation est possible pour tous les autistes, sous toute forme, si un diagnostic est posé au plus jeune âge, et si un travail comportemental est réalisé avec l'enfant. Selon le degré, le chemin sera plus difficile, mais il faut leur laisser la chance de le démontrer», poursuit-elle, et d'ajouter, «L'autisme touche un enfant sur 150. Diagnostiquées tôt et accompagnées comme il convient, certaines personnes autistes peuvent avoir une vie normale, suivre un cursus scolaire et/ou universitaire, avoir un emploi. La création de postes d'AVS (Assistant de vie scolaire) en nombre suffisant serait une des solutions pour la scolarisation du plus grand nombre, quand on sait, par ailleurs, que le financement d'un poste AVS revient moins cher à l'état qu'une place en institution», ajoute-t-elle.
Contact Tél.06.77.82.30.15 autismecornouaille@orange.fr
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
Sizun - Le Télégramme - 1 août 2011
Route Aspéransa. Gwenaël Le Ny a achevé son périple
Gwenaël Le Ny et ses deux fils supporters au ravitaillement à Sizun.
Parti d'Abbévillers (Doubs) le 14juillet, Gwenaël Le Ny, ultramarathonien, a achevé, vendredi, à Océanopolis, son périple long de 1.380km (lire en page '8).
Pour l'association Aspéransa
En seize jours, à raison de plus de 80km par jour, il a couru non seulement pour un défi personnel mais, avant tout, pour l'association Aspéransa qui a pour mission d'informer pour mieux diagnostiquer l'autisme et surtout l'autisme Asperger. Sa volonté est de scolariser normalement ces jeunes atteints de ce handicap. CPE au lycée-collège, à Landerneau, il en a scolarisé douze. Ce périple n'a pas été de tout repos et Gwenaël Le Ny a été suivi par deux membres de l'association Aspéransa, Christiane Abiven et Claudie Kersaudie, qui, à chaque étape, et tout le long du parcours, se sont transformées en kinés, infirmières et intendantes. Pendant son périple, il aura enduré neuf jours de pluie incessante et usé deux paires de chaussures. Sa dernière étape l'a mené de Kergloff à Océanopolis, en passant par Sizun, où un comité de réception formé du maire et de ses adjoints, des compagnons membres de Courir à Sizun section course à pieds de l'ASST l'attendaient avec deux de ses principaux supporters, ses deux fils. Cet arrêt ravitaillement l'a requinqué pour affronter avec succès les derniers 32km qui le séparaient d'Océanopolis, terme de son périple.
Pratique : Association Aspéransa, tél.06.89.24.03.04; e-mail: http://www.asperansa.org
Route Aspéransa. Gwenaël Le Ny a achevé son périple
Gwenaël Le Ny et ses deux fils supporters au ravitaillement à Sizun.
Parti d'Abbévillers (Doubs) le 14juillet, Gwenaël Le Ny, ultramarathonien, a achevé, vendredi, à Océanopolis, son périple long de 1.380km (lire en page '8).
Pour l'association Aspéransa
En seize jours, à raison de plus de 80km par jour, il a couru non seulement pour un défi personnel mais, avant tout, pour l'association Aspéransa qui a pour mission d'informer pour mieux diagnostiquer l'autisme et surtout l'autisme Asperger. Sa volonté est de scolariser normalement ces jeunes atteints de ce handicap. CPE au lycée-collège, à Landerneau, il en a scolarisé douze. Ce périple n'a pas été de tout repos et Gwenaël Le Ny a été suivi par deux membres de l'association Aspéransa, Christiane Abiven et Claudie Kersaudie, qui, à chaque étape, et tout le long du parcours, se sont transformées en kinés, infirmières et intendantes. Pendant son périple, il aura enduré neuf jours de pluie incessante et usé deux paires de chaussures. Sa dernière étape l'a mené de Kergloff à Océanopolis, en passant par Sizun, où un comité de réception formé du maire et de ses adjoints, des compagnons membres de Courir à Sizun section course à pieds de l'ASST l'attendaient avec deux de ses principaux supporters, ses deux fils. Cet arrêt ravitaillement l'a requinqué pour affronter avec succès les derniers 32km qui le séparaient d'Océanopolis, terme de son périple.
Pratique : Association Aspéransa, tél.06.89.24.03.04; e-mail: http://www.asperansa.org
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Jean
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Re: Route Asperansa - nouvelles étape par étape
Kergloff - 4 août 2011 - Le Télégramme
Autisme. Un ultramarathon pour la scolarisation des autistes
Gwen Le Ny, marathonien pour la scolarisation des enfants autistes, lors de son arrivée à Kergloff, en compagnie du comité d'accueil.
Conseiller principal d'éducation dans un lycée-collège de Landerneau, Gwen Le Ny court pour la scolarisation des enfants autistes et dédie ses marathons à ses élèves autistes. Tout au long de ce périple de sensibilisation, il était soutenu par Christiane Abiven, de l'association Aspéransa, maman d'une fille autiste, diagnostiquée seulement à l'âge de 21 ans. Jeudi, lors de l'avant-dernière étape, ce marathonien et son accompagnatrice ont été reçus à la mairie. «Même si des progrès ont été réalisés, l'identification de la maladie n'est pas facile à diagnostiquer. Notre association s'emploie à expliquer aux parents les signes d'alerte et à les orienter, et comment bien encadrer ces enfants pour qu'ils deviennent autonomes», explique Christiane Abiven.
«Mettre des mots sur les maux»
Noëlle Chevance, de l'association Autisme Cornouaille, ajoute : «Souvent les parents sont désemparés face aux divers troubles du comportement de ces enfants et sont démunis. D'où l'importance de mettre des mots sur les maux le plus tôt possible pour avancer. Dès lors, bien accompagnés, certains enfants autistes peuvent mener une vie normale. Concernant la scolarisation, la création de postes d'assistants de vie scolaire (AVS) en nombre suffisant permettrait la scolarisation du plus grand nombre d'entre eux ».
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Autisme. Un ultramarathon pour la scolarisation des autistes
Gwen Le Ny, marathonien pour la scolarisation des enfants autistes, lors de son arrivée à Kergloff, en compagnie du comité d'accueil.
Conseiller principal d'éducation dans un lycée-collège de Landerneau, Gwen Le Ny court pour la scolarisation des enfants autistes et dédie ses marathons à ses élèves autistes. Tout au long de ce périple de sensibilisation, il était soutenu par Christiane Abiven, de l'association Aspéransa, maman d'une fille autiste, diagnostiquée seulement à l'âge de 21 ans. Jeudi, lors de l'avant-dernière étape, ce marathonien et son accompagnatrice ont été reçus à la mairie. «Même si des progrès ont été réalisés, l'identification de la maladie n'est pas facile à diagnostiquer. Notre association s'emploie à expliquer aux parents les signes d'alerte et à les orienter, et comment bien encadrer ces enfants pour qu'ils deviennent autonomes», explique Christiane Abiven.
«Mettre des mots sur les maux»
Noëlle Chevance, de l'association Autisme Cornouaille, ajoute : «Souvent les parents sont désemparés face aux divers troubles du comportement de ces enfants et sont démunis. D'où l'importance de mettre des mots sur les maux le plus tôt possible pour avancer. Dès lors, bien accompagnés, certains enfants autistes peuvent mener une vie normale. Concernant la scolarisation, la création de postes d'assistants de vie scolaire (AVS) en nombre suffisant permettrait la scolarisation du plus grand nombre d'entre eux ».
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