Je vous propose une idée que j’ai et d’y participer selon si vous trouvez que ça peut être une expérience intéressante ou amusante.
Je suppose que la plupart d’entre vous connaissent le concept de double empathie problème, initié par Damian milton, dont je crois la vulgarisation a été traduite par uen personne de cette association sur médiapart.
Depuis, de nombreuses études vont dans le sens de démontrer des préjugés et discriminations (cf je cite les effet sur la première impression et discriminations de noah sasson , ) envers des autistes, soit à l’école, avec des risques de harcèlement accrus.
Ou bien encore que ces derniers auraient moins d’attractivité et que des non autistes auraient moins le désir d’entrer en contact avec eux (bon , j'ai pâs les liens et ref en tête, ni à portée de clic, je peux chercher, mais je n'apprends rien à la plupart d'entre vous, et j'imagine, en plus il y a aussi, au delà d'études, les témoignages et vécus personnels auxquels chacun peut se relier, et certaines expériences comme celles de se voir subtilement( ou pas d'ailleurs), dénier des facultés d'esprit, me parait être plutôt communes pour des personnes autistes)
Si vous ne connaissez pas le principe de double empathie, il postule l’idée que les problèmes de compréhension interviennent lorsque des personnes ont des expériences et perceptions trop différentes , et ceci est étayé par le fait que dans certaines études réalisées, des non autistes ne comprenaient pas plus les autistes que ces dernier envers eux.
Ce concept à lui seul, n’est pas un remède clef ou seul explicatif des difficultés rencontrés par les personnes autistes en société, mais il peut expliquer une charge / ou double peine en quelque sorte qu’on pourrait imputer à ce qu’on considère comme la part construite du handicap / ou intéractionnel lié à une situation donnée.
Personnellement , je subis le préjugé de manque d’empathie comme une forme de violence morale, qui autorise les gens à mal me parler et considérer moins bien, et négliger mes besoins.Et, ce même dans des cadres de santé, ou lorsque je suis dans mon droit.
L’effort reste toujours à ma charge.ET j’ai fini , par la répétition de ces situations, à estimer que il y avait un problème qui pouvait rejoindre cette théorie de « double empathie’, ou du moins qu'elle peut permettre d'y penser autrement
Je vois très peu de personnes hors de mes groupes de discussion très spéciaux, et d’autres neurodivergents, faire ce chemin, ne serait-ce que en idée , de ce décentrer assez pour envisager que j’ai ou d’autres, en tant qu’autiste, plus qu’un cerveau qui peut voir les choses de façon particulièrement intéressant à étudier comme à travers un microcospe ou sujet d'études ahaa, mais ma propre vision des choses, des sentiments, de l’empathie même, en tant que personne aussi .
Souvent, je fais face à des personnes qui attendent que l’adaptation soit à sens unique, vers leur façon de poser la communiquer et s’exprimer par non verbal, et qui ignorent , ou ne considèrent pas que comment je m’exprime(avec mon expression non verbale comprise, qui n'est pas inexistante) est une communication valide, mais "des trucs autistes, a dire a des autistes, ou des pro".Pro, qui eux mêmes me redirigent sur des pro d'autisme lorsque je leur parle de trauma ou dépression, (car oui, j'existe, et le fait d'être envie fait traverser des choses de ce genre et d'autres, autiste ou non)car ils n'arrivent pas à suivrent ou comprendre mes propos, de par nos décalages de communication, qu'ils n'intègrent pas tout à fait et qu'ils ne comblent pas, malgré toute leur expertise et études mdrr .. c'est à dire que même à des gens travaillant dans la santé mentale, et au courant de l'autisme, que j'informe, je ne vois pas de tellement de bénéfices.
Je grossis un peu tout ceci !
À tout hasard, pour qui se poserait la question, aucun de mes amis n’est autiste, donc je ne suis pas dans cette dualité nt/non autistic/autiste bla .Mais j’observe que domine une vision unique de l’empathie sur un modèle d’expression « unique » et qui est tenace.
Des concepts comme la double empathie, et bien d’autres, que certains autistes vont réussir à vulgariser avec succès sur des grand média, ou réseau, hélas, ne me semblent encore et toujours que toucher à des publics de niches, ou personnes en partie concernées, et/ou curieuses intellectuellement.
Tout cela reste nécessaire, important, et utile, que de multiplier des sources de connaissances, comme de voix de personnes autistes, différentes sur ce sujets, sur d'autres.
C'est à mon avis comme cela qu'on arrivera peu à peu à casser des idées qui portent du tort.
Mais on en est encore à des pages google /moteur de recheche en tapant autisme du type:
"' est ce que les autistes ont de l'empathie'
)Spoiler :
VS
des articles qui disent que oui, renseignées, par des personnes concernées, et des chercheurs.On voit que au niveau public c'est pas bien clair la représentation qu'il s'en fait encore..
C'est des concepts qu'il faut simplifier, et ce n'est pas si simple aha , car les média pédagogiques, ont toujours emmerdé lé monde : c’est pas distrayant !Les conférences de 30 minutes, c’est dur à encaisser pour beaucoup.
Enfin, si vous me suivez : j’essaie de réflechir à un moyen efficace de vulgariser et diffuser largement ce concept ou d’autres.
Comme je l’ai dit, de ma vue il y a un problème avec la façon dont on pense l’empathie au sens large, dans des idées communes répandues, et d’ailleurs à plusieurs niveaux, mais elle est encore pensée, envers les autistes, comme en déficit exclusivement, mais plus largement, selon une seule façon de l’exprimer( même si la réflexion et l'expérience ne peut que faire réaliser que l’empathie est aussi un chemin à deux sens, qu’elle se construit aussi).
Il y aussi trop le biais de notre culture médicale Pscyhiatrique de localiser les problèmes en des individus spécialement.
Alors, j’essaie de réflechir, et je me dis une chose ; certainement que vulgariser au plus ce concept , ne serait-ce que pour poser des question (loin de moi l’idée de penser qu’il est parfait!je trouve qu’il est un outil intéressant de questionnement de nos rapports sociaux, et compréhension de l’autre, dont dans des groupes ou y a des enjeux différents selon les personnes) même dans nos milieux de « niches’, ne peut qu’aider.
Mais c’est ce qu’on fait depuis dix ans, avec cette idée, d'autres.....et tout cela est très long.
Le concept est quasiment inconnu et très peu sourcé en français !
Dans beaucoup d'espaces non spécialisés, quand j'en parle , personne ne comprend ce dont il est question... et pourtant des fois c'est des espaces hpi, neurodigervent, .. (bref, au passage, je n'ai pas l'habitude des forums, mais de discord, mais comme mes communciaté discord ont fermé récememnt, je ne me vois pas en rechercher de nouvelles, pour lors)
Je me dis que quelque chose qui pourrait marcher, c’est, d'en même temps, faire le chemin opposé.
Au lieu d’amener le collectif à se pencher sur un concept localisé en une communauté spécifique, pour ne connaître que celle ci et ses besoins,...... lui donner ce concept (par exemple)pour penser des problèmes de vie et compréhension plus large et généraux, qui peuvent arriver dans des situations différentes (comme, les échanges, interculturelles, les problèmes de compréhension quand les expériences de vie sont très différentes, quand il y a des enjeux et positions de pouvoir différents etc).Au lieu d'essayer d'attirer l'attention globale/collectif sur un pan de communauté et ses besoins, (ça emmerde), essayer d'amener des cocnepts qui sont propre à cette communauté (autiste) vers du plus large pour apporter nos refelxion, et nos besoins, à la fois renverser et apporter aussi notre vision sur comment on pense certains fait de l'esprit, des émotions, de la relation.
En quelque sorte le rendre plus large dans un usage ‘populaire ‘ et non scientifique/pas forcément du plus précis, pour ensuite le ramener à son origine, et aux implications que cela a pour les autistes, et peu à peu enrichir le débat et réflexion public sur l’empathie, au-delà de sphère spécialisées ou ciblées, avec de nouvelles idées, pour la questionner, penser des experiences quotidiennes, ..d'abord amener l"idée pour que rtout le monde puisse se sentir concerné par son usage potentiel.
Et de fait, je pense que tout le monde peut l'être, pourquoi des idées qui aideraient à comprendre aussi leS experiences vcécues en tantq u'autistes ne pourraient d'ailleurs pas apporter à d'autres?bien qu'autrement.
C'est pour cela que je trouve le concept intéressant (dans une étape de reflexion, car sinon je ne sais pas si ca fait sens de parler de double, triple, empathie, mais on parle là d"'une déconnexion et rupture dans le processus de compréhension)
Si vous me suivez jusque là, et trouvez l ‘idée plutot pas trop nulle, dites moi.
J’ai une petite idée, (enfin quelques unes simples, et d'autres, un peu plus farfelues ! mais dont je ne mesure la faisabilité) de comment essayer de répandre mieux son emploi.
Sachant que je suis la personne la moins populaire de la terre, que je réussis à me faire détester à peu prèss partout, que j’ai beaucoup de projection des gens quand je m’exprime, notamment à l’écrit, il est évident, que je n’ai pas de communauté supportive pour m’aider à réaliser cela.. donc déjà qu’en pensez vous ?
et quelles sont vos reflexion sur ce que je viens d’exposer ?
(je sais même pas si c'est compréhensible, à force de parler dans le vide, et se répéter, je fais de plsu en plsu de fautes, et j'ai du mal à mettre au propre et reexpliciter des idées qui me semblent évidentes, car ej les sais depuis longtemps)