incompris, mal aimes
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incompris, mal aimes
est-ce que tous les autistes souffrent de se sentir incompris ou mal-aimes ?
j'ai vu mon Leon fou de rage parce qu'un petit copain est pote avec lui quand il est seul mais ne prete plus attention a lui quand un autre petit copain est present.
Pour ma part j'ai aussi beaucoup souffert de ne pas etre aime lorsque je pensais avoir suffisament fais pour me rendre aimable. J'ai toujours beaucoup souffert de ce que je sentais comme une injustice et je vois mon fils entrer dans des coleres lorsque cela se produit.
D'ou ma question, est-ce un trait commun ?
j'ai vu mon Leon fou de rage parce qu'un petit copain est pote avec lui quand il est seul mais ne prete plus attention a lui quand un autre petit copain est present.
Pour ma part j'ai aussi beaucoup souffert de ne pas etre aime lorsque je pensais avoir suffisament fais pour me rendre aimable. J'ai toujours beaucoup souffert de ce que je sentais comme une injustice et je vois mon fils entrer dans des coleres lorsque cela se produit.
D'ou ma question, est-ce un trait commun ?
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je pense qu'il y a une évolution avec l'âge; que la compréhension de sa différence permet de comprendre les autres donc de mieux les analyser et d'anticiper.
enfin, avis personnel.
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"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
"en chacun de nous sommeille un dragon... il faut y croire." (devise "bat-toi florent")
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Re: incompris, mal aimes
Attention : dans ce cas-ci, c'est peut-être un problème d'amitié exclusive.papa fredoc a écrit : j'ai vu mon Leon fou de rage parce qu'un petit copain est pote avec lui quand il est seul mais ne prete plus attention a lui quand un autre petit copain est present.
En effet, il est plus facile pour un Asperger d'avoir un seul ami, qu'une bande d'amis. Il est trop difficile d'interagir avec un groupe.
Donc, au collège, je me suis plus ou moins lié d'amitié avec une fille. Mais je ne restais pas avec elle lorsque ses autres copines venaient discuter avec elles, je me tenais à l'écart du groupe. Je ne faisais pas l'effort de les approcher, puisque ce n'était pas elles mes copines. Je ne voulais avoir que cette fille comme amie.
D'ailleurs, ça a dû finir par lui peser et elle a fini par me laisser tomber en me traitant de pot-de-colle. Je ne sais plus qui est le plus en faute dans l'histoire ; mais maintenant je peux comprendre combien ça peut être une situation difficile et déstabilisante.
Donc, essaie de réfléchir avec ton fils. Ses difficultés ne viennent-elles pas en partie du fait qu'il croit que ce garçon ne doit être copain QUE avec lui, ou quelque chose comme ça ?
Je n'ai pas forcément mis le doigt pile sur le problème ; mais cela mérite d'être un peu plus creusé avant de tirer des conclusions.
Bonnes excuses pour échapper à Hadopi : http://www.pcinpact.com/actu/news/58194 ... itime-.htm
"Promis, je laisserai plus mon chat télécharger son mon ordi ... sale bête va !"
Accessoirement, Aspie née en 1983.
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oui tu as mis le doigt sur quelque chose que je reconnais pour l'avoir vecu aussi avec mon meilleur ami de l'epoque. quand j'avais un ami et que j'avais l'impression d'etre compris et de vivre une amitie partage, je vivais assez mal de partager avec d'autres, je prenais ca pour une vrai trahison. mais dans le cas present en fait ca va plus loin je crois, encore que... oui faut que je discute avec lui.... merci
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Lila a raison. Tony Attwood décrit bien cette partie de l'amitié exclusive dans son dernier bouquin.jakesbian a écrit :je pense qu'il y a une évolution avec l'âge; que la compréhension de sa différence permet de comprendre les autres donc de mieux les analyser et d'anticiper. Enfin, avis personnel.
Jakesbian pense que l'âge fait évoluer les choses.
Je peux te dire que je ressens toujours une frustration quand cela arrive. Même avec l'âge, ça fait mal, très mal. Bien sur, je me contrôle et j'évite que cela se voit, mais quand même, ça fait mal.
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
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je comprends;
mais, il faut apprendre à relativiser, à se protéger, à prendre du recul... sinon, on ne s'en sort pas...
... et, il y a les gens qui nous apprécient; le reste de la terre, on essaie de ne pas être aussi aveugle qu'eux.
mais, il faut apprendre à relativiser, à se protéger, à prendre du recul... sinon, on ne s'en sort pas...
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"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
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ouais... c'est sur b1 moi j'ai du finalement apprendre a vivre seul par les aleas de la vie. mais mon temperament me pousse a une solitude qui est parfois bien pesante meme si elle a aussi ses avantages....
je ne vois presque personne en dehors du boulot, de la plongee et mon fils et sa mere.... ma meilleure amie bosse sur un bateau et mon meilleur ami vit a 900 km de chez moi, a Paris...
j'ai perdu de vue mes copains d'enfance les uns apres les autres depuis belle lurettes, bcp m'ont laches quand j'ai eu de gros soucis, pas mal sont morts aussi
j'aimerai que mon fils soit plus "social" que moi, je me sens reellement handicape de ce cote la...
je ne vois presque personne en dehors du boulot, de la plongee et mon fils et sa mere.... ma meilleure amie bosse sur un bateau et mon meilleur ami vit a 900 km de chez moi, a Paris...
j'ai perdu de vue mes copains d'enfance les uns apres les autres depuis belle lurettes, bcp m'ont laches quand j'ai eu de gros soucis, pas mal sont morts aussi
j'aimerai que mon fils soit plus "social" que moi, je me sens reellement handicape de ce cote la...
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d'un côté, c'est là qu'on reconnait les vrais amis, ceux sur qui on peux compter;
moi, à une époque, j'avais tendance à me refermer sur moi même... et lorsque j'allais quelque part je n'avais rien à raconter; ce qui fait que çà me pesais encore plus d'y aller... et je m'y renfermais davantage...
... et j'ai commencé à aller aux réunions de l'asso de hip hop (être membre comme on dit)... puis à aider tout au long de l'année... puis aller au cours "adultes"... et çà va tellement mieux depuis même si je n'y suis pas allée l'année passée à cause d'une opération... vivement septembre
nicolas, lui, il est bénévole à la croix rouge depuis septembre dernier... et çà lui fait énormément de bien.
par contre, ce qui me pèse, moi, c'est la difficulté à inviter quelqu'un chez moi... je stresse, j'ai toujours l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche... alors, que si quelqu'un vient à l'improviste, il n'y a pas de soucis, je l'acceuille comme çà se présente.
c'est aussi une forme de solitude au quotidien... mais je sais que j'ai quelques vrais amis, que je ne vois à peine une fois par an, et sur qui je peux compter...
... alors que m'a soeur, qui a du monde chez elle à tout va, et que du beau monde dont je ne fais pas parti... je ne suis pas pressée de la contacter en cas de besoin .
moi, à une époque, j'avais tendance à me refermer sur moi même... et lorsque j'allais quelque part je n'avais rien à raconter; ce qui fait que çà me pesais encore plus d'y aller... et je m'y renfermais davantage...
... et j'ai commencé à aller aux réunions de l'asso de hip hop (être membre comme on dit)... puis à aider tout au long de l'année... puis aller au cours "adultes"... et çà va tellement mieux depuis même si je n'y suis pas allée l'année passée à cause d'une opération... vivement septembre
nicolas, lui, il est bénévole à la croix rouge depuis septembre dernier... et çà lui fait énormément de bien.
par contre, ce qui me pèse, moi, c'est la difficulté à inviter quelqu'un chez moi... je stresse, j'ai toujours l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche... alors, que si quelqu'un vient à l'improviste, il n'y a pas de soucis, je l'acceuille comme çà se présente.
c'est aussi une forme de solitude au quotidien... mais je sais que j'ai quelques vrais amis, que je ne vois à peine une fois par an, et sur qui je peux compter...
... alors que m'a soeur, qui a du monde chez elle à tout va, et que du beau monde dont je ne fais pas parti... je ne suis pas pressée de la contacter en cas de besoin .
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amitié
Fred, je comprends ton souhait, à savoir que ton fils soit plus "social" que toi. Je me rends compte que l'essentiel c'est que nos enfants soient bien dans leur peau et acceptés comme tels. Alors, vaut-il mieux avoir une flopée d'amis (ou plutôt de copains) ou une poignée ? C'est selon le caractère de chacun. Je pense que nos enfants n'en auront jamais beaucoup. S'ils ont de BONS AMIS, qui les estiment vraiment, ce n'est pas si mal non ?
Comme toi et Jacqueline, j'ai peu d'amies même si mon travail m'amène à avoir des tas de connaissances. Par contre mes vrais amies sont des fidèles.
Voici ce que dit Jacqueline (je ne sais plus comment éditer )
par contre, ce qui me pèse, moi, c'est la difficulté à inviter quelqu'un chez moi... je stresse, j'ai toujours l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche... alors, que si quelqu'un vient à l'improviste, il n'y a pas de soucis, je l'acceuille comme çà se présente.
c'est aussi une forme de solitude au quotidien... mais je sais que j'ai quelques vrais amis, que je ne vois à peine une fois par an, et sur qui je peux compter...
Je me retrouve complètement dans ce que tu décris. Je suis assez sauvage et les conventions du style "repas entre amis" me sont totalement étrangères. Après avoir stressé à mort pour inviter du monde à la maison pendant des dizaines d'années, j'ai trouvé LA SOLUTION : le goûter.
On fait un gâteau avant et on papote autour d'un thé ou d'un café, quasiment rien à préparer, presque pas de vaisselle et surtout aucun protocole. D'ailleurs par chez nous, il y avait des traditions de "cafés commères", on dit souvent "tu viens prendre un jus ?" comme quoi les bonnes pratiques valent qu'on les exhume.
Avec mes amies on fait des "cafés citoyens", des "cafés pédagogiques" etc... ou des cafés tout court, jamais de repas. Je n'ai plus de complexe, mais ça m'a pris du temps.
Je suis très mal à l'aise dans les grands groupes et ma hantise ce sont les grands repas (où je ne vais plus depuis belle lurette). Je crois que ma timidité et surtout mon refus des conventions y sont pour beaucoup.
Et après ça on s'étonne d'avoir des enfants différents...
Eh bien non, ça ne m'étonne pas vraiment, bien que j'aie les deux modèles (une fille hyper conventionnelle et l'autre hypo).
Bref, après toutes ces confidences, une certitude : de vrais amis, sincères (surtout pas d'hypocrisie) que vous acceptez comme ils sont et qui vous acceptent de même, c'est la vie sociale telle que je la conçois. C'est aussi celle que je souhaite à mes enfants.
Comme toi et Jacqueline, j'ai peu d'amies même si mon travail m'amène à avoir des tas de connaissances. Par contre mes vrais amies sont des fidèles.
Voici ce que dit Jacqueline (je ne sais plus comment éditer )
par contre, ce qui me pèse, moi, c'est la difficulté à inviter quelqu'un chez moi... je stresse, j'ai toujours l'impression qu'il y a quelque chose qui cloche... alors, que si quelqu'un vient à l'improviste, il n'y a pas de soucis, je l'acceuille comme çà se présente.
c'est aussi une forme de solitude au quotidien... mais je sais que j'ai quelques vrais amis, que je ne vois à peine une fois par an, et sur qui je peux compter...
Je me retrouve complètement dans ce que tu décris. Je suis assez sauvage et les conventions du style "repas entre amis" me sont totalement étrangères. Après avoir stressé à mort pour inviter du monde à la maison pendant des dizaines d'années, j'ai trouvé LA SOLUTION : le goûter.
On fait un gâteau avant et on papote autour d'un thé ou d'un café, quasiment rien à préparer, presque pas de vaisselle et surtout aucun protocole. D'ailleurs par chez nous, il y avait des traditions de "cafés commères", on dit souvent "tu viens prendre un jus ?" comme quoi les bonnes pratiques valent qu'on les exhume.
Avec mes amies on fait des "cafés citoyens", des "cafés pédagogiques" etc... ou des cafés tout court, jamais de repas. Je n'ai plus de complexe, mais ça m'a pris du temps.
Je suis très mal à l'aise dans les grands groupes et ma hantise ce sont les grands repas (où je ne vais plus depuis belle lurette). Je crois que ma timidité et surtout mon refus des conventions y sont pour beaucoup.
Et après ça on s'étonne d'avoir des enfants différents...
Eh bien non, ça ne m'étonne pas vraiment, bien que j'aie les deux modèles (une fille hyper conventionnelle et l'autre hypo).
Bref, après toutes ces confidences, une certitude : de vrais amis, sincères (surtout pas d'hypocrisie) que vous acceptez comme ils sont et qui vous acceptent de même, c'est la vie sociale telle que je la conçois. C'est aussi celle que je souhaite à mes enfants.
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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- Prolifique
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çà me fait penser que lorsqu'on demande aux gens, dans un groupe de personnes, celle qu'ils estiment le plus... ils répondent à la quasi-hunanimité, celle qui fait le moins de manières;
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
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c'est deja pas mal "le cafe entre copine"...
je n'ai plus de copains dans le Sud. J'en avais a Paris mais dans le Sud, j'ai coupe les ponts avec les copains que je m'etais fait a l'exception d'un (un breton !) qui restera un ami meme si on se voit hyper rarement, a croire qu'on n'habite pas dans la meme ville
je n'ai pas de copain, pas de copine, c'est grave !
je n'ai plus de copains dans le Sud. J'en avais a Paris mais dans le Sud, j'ai coupe les ponts avec les copains que je m'etais fait a l'exception d'un (un breton !) qui restera un ami meme si on se voit hyper rarement, a croire qu'on n'habite pas dans la meme ville
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- Prolifique
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tu as léon et sa maman... c'est pas mal ;
maintenant, tout dépend de ce que tu entends par copains et copines; jusqu'à mes 18 ans, je n'étais pas celle avec qui on se montrait; lorsque je suis arrivée au lycée, la bonne excuse était "t'as pas 16 ans"; plus tard c'était "la voiture est pleine"...
... mais j'étais toujours celle à qui on venait se confier; j'en déduisais que j'étais volontairement mise à l'écart, comme un objet précieux qu'on a peur d'abîmer: "celle" a qui on pouvait faire confiance.
et c'est ma définition de l'amitié
maintenant, tout dépend de ce que tu entends par copains et copines; jusqu'à mes 18 ans, je n'étais pas celle avec qui on se montrait; lorsque je suis arrivée au lycée, la bonne excuse était "t'as pas 16 ans"; plus tard c'était "la voiture est pleine"...
... mais j'étais toujours celle à qui on venait se confier; j'en déduisais que j'étais volontairement mise à l'écart, comme un objet précieux qu'on a peur d'abîmer: "celle" a qui on pouvait faire confiance.
et c'est ma définition de l'amitié
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
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oui moi c etait un peu ca aussi et puis de temps en temps y en avait un ou une qui me prenait en sympathie et disait aux autres... genre soyez sympa c'est pas de sa faute si il est comme ca !!! ca devenait un ami il y en a eu 2 ou 3 dans ma vie je les ai tous perdu de vu je viens d'voir la confirmation de la mort d'un des 3. Cahque fois que je demandais de ces nouvelles a mon pere il repondait evasivement qu'il ne savait pas trop. tu parles! a sa facon de repondre je savais qu'il etait mort.
le pire c'etait quand c'etait une fille et qui me plaisait a mort et elle genre, on va pas gacher une belle amitie, Fred t'es comme un frere pour moi ! bordel !!! alors celle la ca m'est arrive un paquet de fois j'etais fou amoureux et la fille, Fred t'es comme un frere. ca m'est arrive encore recemment...
le pire c'etait quand c'etait une fille et qui me plaisait a mort et elle genre, on va pas gacher une belle amitie, Fred t'es comme un frere pour moi ! bordel !!! alors celle la ca m'est arrive un paquet de fois j'etais fou amoureux et la fille, Fred t'es comme un frere. ca m'est arrive encore recemment...
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Coucou Fred.!
A celles qui t'ont répondu "t'es comme un frère"....pourquoi ne t'en fais-tu pas des amies????
En plus, là les choses seront claires car elles t'ont déjà dit comment elles se positionnaient par rapport à toi.!
Chris,
je comprends ce que tu racontes par ton refus des conventions et des repas....Mais:
Je me souviens d'une réunion Asperansa où nous mangions tous ensemble...chez toi.!!! Tu stressais en disant que tu étais nulle dans ce type d'invitation, et si je m'en souviens bien (oui, c'est le cas.! )Tu nous avais reçu admirablement.!Tout le monde t'en avait fait la remarque... d'ailleurs....
Maintenant, que cela stresse avant le dit -repas....ça c'est sûr.!
Quant au "tu viens prendre un jus?" moi perso j'adore et c'est souvent le cas par chez nous...y compris à l'improviste.!(encore meilleur.!)
A celles qui t'ont répondu "t'es comme un frère"....pourquoi ne t'en fais-tu pas des amies????
En plus, là les choses seront claires car elles t'ont déjà dit comment elles se positionnaient par rapport à toi.!
Chris,
je comprends ce que tu racontes par ton refus des conventions et des repas....Mais:
Je me souviens d'une réunion Asperansa où nous mangions tous ensemble...chez toi.!!! Tu stressais en disant que tu étais nulle dans ce type d'invitation, et si je m'en souviens bien (oui, c'est le cas.! )Tu nous avais reçu admirablement.!Tout le monde t'en avait fait la remarque... d'ailleurs....
Maintenant, que cela stresse avant le dit -repas....ça c'est sûr.!
Quant au "tu viens prendre un jus?" moi perso j'adore et c'est souvent le cas par chez nous...y compris à l'improviste.!(encore meilleur.!)
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
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