Ah oui ??? Tu as le même pseudo ?
Les grands esprits se rencontrent
Ah oui ??? Tu as le même pseudo ?
Je maintien qu'il ne s'agit pas de l'obturateur qui leur intervient sur la vitesse. D'ailleurs Y-a-t-il un obturateur. En numérique ?Fift a écrit : ↑mardi 30 avril 2019 à 11:00 (Woyim> Si je peux me permettre, c'est l'obturateur qui s'ouvre et se ferme, déterminant ainsi le temps d'exposition. Le diaphragme, lui, reste fixe à la valeur qu'on lui impose).
Petite analogie complémentaire : imaginons que la lumière soit de l'eau.
Le capteur, c'est une baignoire.
Pour remplir la baignoire, il faut la bonne quantité d'eau.
Pour ça, on ouvre le robinet et on a deux choix possibles :
- soit on ouvre le robinet très fort, pendant peu de temps.
- soit on ouvre moins le robinet, mais pendant plus longtemps.
Le degré d'ouverture du robinet, c'est l'ouverture du diaphragme.
Et le temps pendant lequel on laisse couler l'eau, c'est le temps d'exposition.
On peut même aller plus loin, en assimilant la sensibilité du capteur à l'inverse de la taille de la baignoire : pour remplir une petite baignoire (grande sensibilité), il faut peu de quantité d'eau (de lumière). Et l'inverse avec une grande baignoire.
J'adore ce genre de photo, simple, composée et avec un jeu d'ombres et lumières.
Tu n'as pas le moyen de débrayer l'autofocus ? Car l'idéal est effectivement comme le dit fift, de faire la mise au point avant. L'idéal serait pour les oiseaux de mettre l'appareil sur pied et que les oiseaux se posent souvent sur la même branche.Lilas a écrit : ↑mardi 30 avril 2019 à 8:09 Merci pour les explications woyim.
Ça me donne envie de faire l'essai avec mon appareil.
Aujourd'hui, je fais tout en mode automatique. Mais il est vrai que pour photographier principalement des oiseaux, je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir au réglage (j'ai déjà bien de la chance si mon sujet reste sur place le temps que je vise avec l'appareil).
Et je maintiens l'inverse .
Oui, j'utilise le même pseudo partout.
Non, pas moyen de débrayer l'autofocus.
Ah un fan de D76 ! J'adore le Fomadon anciennement je ne me souviens plus le nom de chez Agfa je crois.Fift a écrit : ↑mardi 30 avril 2019 à 15:30 Sinon, oui, je développe moi-même, pour le noir et blanc. Mais ça reste très simple : je n'utilise que deux types de pellicules (TriX et Tmax 3200), un seul révélateur (D76) et j'ajuste le temps de dév en fonction de la température ambiante.
Pour la couleur (déjà, je n'en fais quasiment pas), il faut un équipement plus conséquent et relativement cher.
Moi je suis fainéante je prends un pied...Fift a écrit : ↑mardi 30 avril 2019 à 13:34 Freeshost> Oui, tout ce que j'ai exposé plus haut est valable quelles que soient les conditions de prise de vue.
Par contre, de nuit, généralement, on arrive aux limites du matériel : objectif ouvert à fond, et vitesse d'obturation qui descend à la limite du "flou de bougé".
Pour les zones très contrastées, je procède comme suit.
1- se placer sous un éclairage
2- mettre sa main sous l'éclairage, et la viser avec l'appareil.
3- choisir son mode priorité ouverture ou vitesse, et sélectionner l'ouverture ou la vitesse voulue.
4- noter le couple vitesse / ouverture donné par l'appareil*
5- se mettre en mode manuel
6- reporter le couple vitesse / ouverture précédemment repéré.
7- laisser tel quel et ne plus s'occuper de l'exposition.
Tout ce qui sera éclairé de la même manière que l'était ma main sera exposé correctement, quel que soit le sujet visé.
(et si on souhaite que ce soit les zones sombres qui soient bien exposées, bah on met sa main dans une zone sombre au lieu de la mettre sous un éclairage).
* si la vitesse calculée est trop faible, typiquement 1/focale (1/50s si on a un 50 mm, etc), prévoir de caler l'appareil ou utiliser un trépied.
Bon alors il faut compter sur la chanceLilas a écrit : ↑mardi 30 avril 2019 à 15:35Non, pas moyen de débrayer l'autofocus.
Pas de pied non plus (enfin si, deux, mais aucun pour l'appareil photo ).
Et je photographie au cours de mes balades, donc même si des oiseaux se posent plusieurs fois au même endroit, il y a de fortes chances que je n'y sois plus.
Spoiler :
Les filtres polarisants marchent bien pour ça (mais ça demande un peu d'expérience pour les utiliser, et réduisent la luminosité de l'objectif). Le gros problème, c'est le flash, il vaut mieux un flash déporté pour éviter le gros point lumineux au milieu de la photo.