J'en profite quant même pour rappeler que si la très grande majorité des psy(-cologue, -chiatres, -canalystes) utilisent des outils psychanalytique, et a mon avis en en très grande majorité pour canaliser la personne en face et la faire entrer dans le cadre, les principes fondamentaux et au moins les théories défendent exactement l'inverse, a savoir l'accès a la personne par elle même dans ce qu'elle est, et pas vers ce qu'elle devrais être.
Je suis toujours profondément désolé de remarquer que les victimes s'opposent a la psy globalement au lieux de réaliser que les personnes qu'ils ont en face fonctionnent elle même a l'opposé des principes qu'elle utilisent comme base de justification quant elle essaye de "kanalyser" en se réclament de la "psykkanalyse". Quelques gramme de savoir bien placé en ce domaine suffiraient a dessouder définitivement leurs excuses.
J'avais pas encore lu (j'ai ma réponse en même temps), et je crois qu'on dit partiellement la même choses, à la différence près que j'induis plus la notion de régulation.omega a écrit :Ce n'est pas un dysfonctionnement, c'est la VIE...
Je ne trouve pas ton point de vie extrémiste, mais je le trouve totalement pertinent dans un contexte qui globalement est jugé extrême, c'est pas pareil.
Depuis plus ou moins quelques millénaire suivant les milieux, le niveau de sensibilité c'est relevé, la VIE (en majuscule comme tu l'écrit, donc au sens fort) c'est elle même ouverte a d'autre seuil. On est nous même des mutants de ces seuils là (tous hein, pas plus les un que les autres).
Alors oui tu as 100% raison pour tous l'animal archaïque que nous somme toujours (voir labori justement a ce sujet puisqu'on en causait), mais non pas totalement par ce qu'il n'y a pas de raison de s'interdire le fonctionnement un meut moins tête baissé que nous autorise a voir l'évolution.
Le sujet précis dont on parle (le seuil de la douleur abaissé ou fluctuant chez les autistes) est lié a l'accessibilité de cette "strate" (même si tu la trouve plutôt dégénéré comme strate )
L'intensité des obligations de vie d'une personne un peut décalé fait qu'elle reste le plus souvent au niveau survie, le fonctionnement avant tout, la douleur n'entrant a ligne de compte que si elle entrave le fonctionnement ; mais, et c'est mon avis sur la question, on a en plus un niveau de sensibilités qui s'est énormément développé aux fil des siècle, et qui a besoin de se poser aussi si on on deviens fou. L'humain ne peut plus vivre comme si il n'avait pas développé ce truc, qu'il a partagé d'ailleurs avec les animaux qui l'accompagne depuis quelques millénaire, chevaux en tête peut être, mais aussi tous ceux avec qui il a travaillé.
Non, je ne suis pas hors sujet, enfin je ne le crois pas, au contraire.