Bien-sûr, je ne voudrais pas prophèter pour rien. Comme tout le monde ici l'à remarqué, je suis là pour vous apprendre. Vous, la populace.
Le code ISBN de ce monument est simple :
BDLC 25.
Ce code à été créé pour les enfants, ou pour s'en souvenir facilement pour les adultes.
C'est juste mnémotechnique : il signifie "bite dans le cul". Le 25, après, se mesure en cm.
Pas la peine de plussoyer, car mon égo est déjà surdimensionné. D'autant que ce mot ne veut rien dire.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
C'est aussi une plaque d’immatriculation portant l'identifiant départemental du Doubs.
Rémy tu es un ange. Vraiment.
Je me demande vraiment ce que je fous la.
Si tu veux, je poste des images ici sur ce sujet. En 3d.
Pour voir en images ce que le 25 de ce code signifie.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
"Eleanor avait raison : elle n'était jamais jolie. Elle ressemblait à une oeuvre d'art. L'art n'avait rien à voir avec le beau, il existait pour faire ressentir les choses."
"Les X-Men ne sont pas sexistes, a-t-il rétorqué en secouant la tête. Ils sont une métaphore de l'acceptation; ils ont juré de protéger un monde qui les déteste et les craint."
Né en 1837, John Burroughs, chaînon manquant de nos lectures américaines du XIXe siècle, était à sa mort en 1921, l'écrivain - naturaliste le plus célèbre des Etats-Unis. L'égal de John Muir, il avait des lecteurs plus nombreux que Henry David Thoreau, deux hommes dont il se rapproche par son amour de la nature, de la marche et de la vie simple. Négligée pendant un certain nombre d'années, on recommença à lire l'oeuvre de « Jean-des-oiseaux » à la fin des années 1950. Lire John Burroughs, c'est faire naître en soi un double sentiment - d'espoir et de désespoir : l'espoir d'établir quelque jour une relation équilibrée entre l'homme et la nature ; le désespoir devant la reptation planétaire de la ville - banlieue, qui détruit cette relation au nom de l'économie, du désenclavement, du développement, et autres étranges idoles tourbillonnantes. Ses belles descriptions de sa région natale reposent sur un sens aigu de l'observation, un « art de voir les choses », qui se combine à une réflexion permanente sur la meilleure façon possible de vivre. La maison natale de John Burroughs dans l'Etat de New York abrite aujourd'hui un musée, des écoles portent son nom, ainsi qu'une association et un prix littéraire. Joël Cornuault.
Morwenna Phelps, qui préfère qu'on l'appelle Mori, est placée par son père dans l'école privée d'Arlinghurst, où elle se remet du terrible accident qui l'a laissée handicapée et l'a privée à jamais de sa sœur jumelle, Morganna. Là, Mori pourrait dépérir, mais elle découvre le pouvoir des livres de science-fiction. Delany, Zelazny, Le Guin et Silverberg peuplent ses journées, la passionnent.
Un jour, elle reçoit par la poste une photo qui la bouleverse, où sa silhouette a été brûlée. Que peut faire une adolescente de seize ans quand son pire ennemi, potentiellement mortel, est une sorcière, sa propre mère qui plus est ? Elle peut chercher dans les livres le courage de combattre.
Ode à la différence, journal intime d'une jeune fan de science-fiction qui parle aux fées, Morwenna est aussi une plongée inquiétante dans le folklore gallois. Ce roman touchant et bouleversant a été récompensé par les deux plus grands prix littéraires de la science-fiction, le prix Hugo (décerné par le public) et le prix Nebula (décerné par un jury de professionnels). Il a en outre reçu le British Fantasy Award.
Je relis pour la énième fois Pride and Prejudice de Jane Austen. Avec un nouveau regard car il y a quelques jours j'ai lu l'info selon laquelle elle aurait été Asperger...
SOMMAIRE
Irma LeVasseur est la fondatrice de l’Hôpital Sainte-Justine et de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus. Mais, au-delà, elle est surtout une femme, la première femme médecin à avoir exercé au pays. Des bâtons dans les roues, on lui en a mis. Celle qui a dû s’expatrier aux États-Unis et en Europe pour étudier la médecine, qui a eu à composer avec la méfiance et la mauvaise foi des dirigeants du Collège des médecins, et à combattre l’incompréhension de la société en général face à ses désirs de connaissance, aura finalement, au prix de sa vie personnelle, réussi à atteindre ses objectifs. Du moins, les plus importants. À travers l’histoire de cette petite fille de Saint-Roch de Québec, c’est à la lutte de toutes les femmes que nous assistons. Une lutte à finir avec l’iniquité.
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Je viens de terminer "L'abeille (et le) philosophe" de François et Pierre-Henri Tavoillot.
Pour qui se pique de philosophie, l'abeille est un sujet de choix. Aucun animal n'a davantage fasciné les hommes. Les penseurs de toutes les époques et de toutes les civilisations ont cherché dans la ruche les secrets de la nature et les mystères de la culture, comme si elle était le miroir idéal de l'humanité et le baromètre de son destin. De l'Antiquité à la période contemporaine, c'est à une extraordinaire histoire de la culture occidentale que nous convie ce livre : en suivant le vol délicat de l'abeille, on rencontre le génie d'Aristote, l'avènement d'Auguste, la naissance du christianisme. On la retrouve à l'âge moderne accompagnant les premiers pas du retour des humanités antiques comme la découverte de la science expérimentale. Aujourd'hui que les menaces de disparition de cet insecte passionnent le public, le symbole n'a pas fini de fonctionner.
Et je viens de commencer "Néandertal : à la recherche des génomes perdus" de Svante Pääbo.
Neandertal : à la recherche des génomes perdus est une véritable odyssée qui commence au début de la carrière de l’auteur - alors qu’il étudiait l'ADN des momies égyptiennes dans les années 1980 - jusqu’au fameux séquençage du génome de Neandertal qu’il réalisa en 2009. Cette découverte constitue une véritable révolution scientifique. Les gènes néandertaliens offrent un éclairage exceptionnel sur la vie de nos parents hominidés, et détiennent peut-être la clé pour percer le mystère des raisons de la survie des humains et de l’extinction des Néandertaliens. Quelles avaient été leurs interactions avec nos ancêtres, les humains modernes, pendant leurs milliers d’années de coexistence en Europe ?
Les conclusions de Svante Pääbo n’ont pas seulement redessiné notre arbre généalogique, mais remodelé les fondements de l’histoire de l’humanité – les débuts biologiques des Homo sapiens pleinement modernes, ancêtres directs de tous les humains aujourd’hui vivants.
Svante Pääbo est une des plus grands scientifiques contemporains. Généticien évolutionniste suédois, directeur du Département de Génétique à l'Institut Max Planck d'anthropologie évolutionniste à Leipzig, en Allemagne, il est l’un des pères fondateurs de la paléo-génétique et publie régulièrement dans les revues Sciences ou Nature. Le Times l’a récemment classé parmi les 100 personnalités mondiales les plus influentes.
Evo !
J'ai démarré "la citadelle des ombres" qui est un gros pavé également, mais comme je n'arrive plus à prendre du temps pour lire, je n'ai guère avancé, à mon grand regret, parce que le peu que j'ai lu me plaît.