La mathématique : un effet apaisant ?

[olibrius]

Bonjour à tous!

La mathématique a un effet apaisant pour moi tant que ça reste "simple", autrement dit tant que ça reste dans le domaine du compréhensible pour moi. Je faisais énormément de calcul mental dans ma tête, ça m'arrive un peu moins souvent maintenant. Notamment, dans la rue, j'avais deux solutions : soit je comptais le nombre de pas, et je remettais à 0 chaque fois qu'une ligne "cassait" le trottoir et j'essayais le + possible de faire une suite logique (le plus simple était de faire une suite constante : 3 pas, une cassure, 3 pas, une cassure, etc., mais parfois j'arrivais à faire des suites plus complexes), et plus longtemps j'arrivais à tenir la suite, plus j'étais content. Autre "jeu" que j'avais : je prenais des mots voire des phrases que je voyais sur une publicité ou une affiche, à chaque lettre j'associais le nombre correspondant à son placement dans l'alphabet (a = 1, b = 2, etc.), j'additionnais le tout puis je divisais le nombre en parties égales de manière à ce que je puisse constituer chacune de ses parties avec les lettres de la phrase choisie (chaque lettre ne pouvant être utilisée qu'une seule fois, bien sûr), et alors ça me donnait une nouvelle phrase avec des mots qui généralement n'existent pas. C'est rarement possible de faire des parties égales mais le but était d'en être le plus proche possible.
Bref, tout ça pour dire que la mathématique, à travers ces petits exercices de calcul mental simple, a un effet apaisant car ça me permet de ne pas trop faire attention à tout ce qui se passe autour de moi quand je suis dans la rue.

[Bubu]

Bonjour à tous!

La mathématique a un effet apaisant pour moi tant que ça reste "simple", autrement dit tant que ça reste dans le domaine du compréhensible pour moi. Je faisais énormément de calcul mental dans ma tête, ça m'arrive un peu moins souvent maintenant. Notamment, dans la rue, j'avais deux solutions : soit je comptais le nombre de pas, et je remettais à 0 chaque fois qu'une ligne "cassait" le trottoir et j'essayais le + possible de faire une suite logique (le plus simple était de faire une suite constante : 3 pas, une cassure, 3 pas, une cassure, etc., mais parfois j'arrivais à faire des suites plus complexes), et plus longtemps j'arrivais à tenir la suite, plus j'étais content. Autre "jeu" que j'avais : je prenais des mots voire des phrases que je voyais sur une publicité ou une affiche, à chaque lettre j'associais le nombre correspondant à son placement dans l'alphabet (a = 1, b = 2, etc.), j'additionnais le tout puis je divisais le nombre en parties égales de manière à ce que je puisse constituer chacune de ses parties avec les lettres de la phrase choisie (chaque lettre ne pouvant être utilisée qu'une seule fois, bien sûr), et alors ça me donnait une nouvelle phrase avec des mots qui généralement n'existent pas. C'est rarement possible de faire des parties égales mais le but était d'en être le plus proche possible.
Bref, tout ça pour dire que la mathématique, à travers ces petits exercices de calcul mental simple, a un effet apaisant car ça me permet de ne pas trop faire attention à tout ce qui se passe autour de moi quand je suis dans la rue.

Je te concède sans pb le diagnostic du syndrome d'Asperger !
Par contre fais gaffe : c'est un cadeau empoisonné.

[olibrius]

Je te concède sans pb le diagnostic du syndrome d'Asperger !
Par contre fais gaffe : c'est un cadeau empoisonné.

Haha merci Bubu!

Ce n'est pas le sujet de ce topic, mais je n'en suis pas du tout sûr.

[Ixy]

Bonjour à tous!

La mathématique a un effet apaisant pour moi tant que ça reste "simple", autrement dit tant que ça reste dans le domaine du compréhensible pour moi. Je faisais énormément de calcul mental dans ma tête, ça m'arrive un peu moins souvent maintenant. Notamment, dans la rue, j'avais deux solutions : soit je comptais le nombre de pas, et je remettais à 0 chaque fois qu'une ligne "cassait" le trottoir et j'essayais le + possible de faire une suite logique (le plus simple était de faire une suite constante : 3 pas, une cassure, 3 pas, une cassure, etc., mais parfois j'arrivais à faire des suites plus complexes), et plus longtemps j'arrivais à tenir la suite, plus j'étais content. Autre "jeu" que j'avais : je prenais des mots voire des phrases que je voyais sur une publicité ou une affiche, à chaque lettre j'associais le nombre correspondant à son placement dans l'alphabet (a = 1, b = 2, etc.), j'additionnais le tout puis je divisais le nombre en parties égales de manière à ce que je puisse constituer chacune de ses parties avec les lettres de la phrase choisie (chaque lettre ne pouvant être utilisée qu'une seule fois, bien sûr), et alors ça me donnait une nouvelle phrase avec des mots qui généralement n'existent pas. C'est rarement possible de faire des parties égales mais le but était d'en être le plus proche possible.
Bref, tout ça pour dire que la mathématique, à travers ces petits exercices de calcul mental simple, a un effet apaisant car ça me permet de ne pas trop faire attention à tout ce qui se passe autour de moi quand je suis dans la rue.

Je te concède sans pb le diagnostic du syndrome d'Asperger !
Par contre fais gaffe : c'est un cadeau empoisonné.

[freeshost]

Mercredi je rencontre Cédric Villani. Je suis trop contente !

Vous avez vu sa conférence TED ?

J'avais vu sa conférence honoris causa.

Ou ce chapitre que je ne connais pas du tout.

Rudy, si tu veux de l'aide en mathématique, il y a la discussion pour parler de mathématique.

[Alone3545]

Quand je veux m'apaiser avec les maths, parfois je résous les équation comme ça!

et c'est juste! (mais avec une vision neuroatypique!)

[freeshost]

Donc 6 = sin(x)/n.
Donc 6n = sin(x)

Comme sin(x) est dans [-1;1], alors 6n l'est aussi. Donc n est dans [-1/6 ; 1/6] \ {0}. [En effet, si n était égal à 0, x le serait aussi (à n*pi près). Et on aurait sin(x)/x. Or, on sait que cette fonction tend vers 1 quand x tend vers 0. Et on n'a pas 1, mais 6.]

Exemple : si x = pi/6, alors n = 1/12.

Qu'est-ce qu'0n peut raconter comme bêtises avec divers sophismes !

[Bubu]

EDIT : supprimé car nawak ...

[Alone3545]

Çela me fait penser à la blague de collège combien font 4 et 4.

Pour piéger l'autre gentillment, pour rigoler

[Bubu]

Deux droites parallèles ne se coupent jamais ! La bonne blague.
Travaillez dans des espaces projectifs, ou avec des coordonnées homogènes.
L'intersection de 2 droites (parallèles) dans ce cas est l'origine de la perspective. Le point de fuite.

Donc pour transformer un point (x,y,z) et le projeter, il suffit de le diviser par z.
Le point sur l'écran 2D sera (x/z, y/z) c'est tout.

[freeshost]

Comme quoi, les géométries ne sont pas toutes euclidiennes.