D'accord avec Manu.manu a écrit :Des psychiatres américains classent des troubles. point.
Grand bien leur fasse.
D'accord avec Manu.manu a écrit :Des psychiatres américains classent des troubles. point.
Apparemment, cela n'existe pas ... Il y a beaucoup de ressemblances dans les TED (ou TSA), mais aussi beaucoup de différences. Parfois - certes - , les différences ont une origine commune : angoisse, système vestibulaire etc.... mais se manifestent différemment.Pour obtenir un procédé correct de diagnostic du TED il faudrait pouvoir ( peut-être ? ) trouver une donnée présente chez tous les TED et absente chez tous les autres.
Peux-tu préciser sur ce que tu veux dire ? Il me semble justement que Michelle Dawson insiste sur le fait que la "sévérité" (prise au sens péjoratif - d'où la notion de "troubles") est incompatible avec la notion de capacités résultant du fonctionnement particulier des autistes.Une première étape a été franchie par hans asperger associant des notions de capacité au terme terme négatif d'autisme de 1911, mais leur reconnaissance ne pourra se faire que le jour ou un terme définira l'ensemble des spécificité d'un état et un autre la nature de trouble relativement à la norme.
Est-ce que c'est le cas quant on qualifie les troubles du spectre autistique?
Dans ce cas Michelle Dawson ne l'auraient pas noté puisqu'elle répond sur la "sévérité de l'autisme", et pas sur la "sévérité des troubles associé au spectre de l'autisme"...
Mince. Je fais cela mais seulement quand je parle des constellations.Jean a écrit :puis les a ennuyé par sa compulsion à parler sans cesse de Persée et de ses amis.
Enfin des voix qui savent de quoi elles parlent.Jean a écrit :Mais je pense qu'il y a des arguments forts pour garder le diagnostic. Certains d'entre eux ont été donnés dans des articles du New York Times par des experts comme le Dr Tony Attwood, le Dr Temple Grandin, et le Dr Simon Baron-Cohen.
Je veux dire que c'est un problème de vocabulaire.Jean a écrit : Manu a écrit :Peux-tu préciser sur ce que tu veux dire ? Il me semble justement que Michelle Dawson insiste sur le fait que la "sévérité" (prise au sens péjoratif - d'où la notion de "troubles") est incompatible avec la notion de capacités résultant du fonctionnement particulier des autistes.Une première étape a été franchie par hans asperger associant des notions de capacité au terme terme négatif d'autisme de 1911, mais leur reconnaissance ne pourra se faire que le jour ou un terme définira l'ensemble des spécificité d'un état et un autre la nature de trouble relativement à la norme.
Est-ce que c'est le cas quant on qualifie les troubles du spectre autistique?
Dans ce cas Michelle Dawson ne l'auraient pas noté puisqu'elle répond sur la "sévérité de l'autisme", et pas sur la "sévérité des troubles associé au spectre de l'autisme"...