Car le collège serait innenvisageable sans un enseignement à son rythme. ( auparavant une psy nous disait non, la cliss est pour les frappa dingues! Drôle d'expression, moquerie peut être?) Bref après ça le cmp considère que notre fille bénéficierait d'être observée par des infirmières dans un groupe d'enfants en hdj. il y a plusieurs groupes d'enfants classés selon la sévérité de leur "cas" nous-a-t-on expliqué. Les infirmières transmettent le compte rendu de leurs observations au médecin qui en elabore sa synthèse.
le soin consiste à proposer un jeu collectif aux enfants, l'objectif de ce soin est de faire parler les enfants grâce à ces jeux, ou comportements et paroles sont "décryptées" afin que les infirmières éduquent L'enfant par des systèmes de compensation ( puisque le trouble n'a aucun remède mais bénéficié à être "clôturé".). Aucune activité scolaire n'y sera faite.Ceci pour une base de cinq années renouvelables.
Cela fait plus de quatre ans que tous insistent auprès de nous de la nécessité de soins en hdj, les psychiatres indépendants déclarés insuffisants. Pendant ces années, aucun diagnostic de ted n'avait été posé! il était urgent qu'elle y entre pour être observée afin que son potentiel ne disparaisse pas.Nous nous sommes opposés à cela, voyant que bien des enfants qui y allaient avaient à peine accès à la parole, le psy disant que le nombre d'enfants du groupe est secret médical..
Il dit que C'est notre méconnaissance de ce qu'est un hdj qui explique notre réticence et qu'il n'est Qu'un centre d'activites qui permet à l'enfant de bien revenir sur rails du système scolaire. Ça m'inquiétais surtout que ma fille se demande qu'est ce qu'elle faisait la et s'il y avait un risque de ne se trouver qu'avec des enfants aux troubles divers et beaucoup plus lourds. Maintenant que le diagnostic est confirmé au cmp, il semble que ce groupe soit la clef sans laquelle Linda 8 ans n'aurait pas les compensations sociales essentielles pour atteindre son autonomie maximale à l'âge adulte,elle.souffrirait de cet état, le ted étant un mal, donc une souffrance.
le médecin nous à assuré qu'elle ne serait qu'au contact d enfants aux troubles les similaires, d'à peu près 7 personnes. Que ça ne pouvait lui faire que progresser. Que certains enfants du groupe auront certainement des crises, mais peu fréquent et n'ayant aucun impact négatif sur elle. je me demande tout de même qu'en penser? Il semble que de toute façon on ait pas d'autres choix. ( justice, défaut de soin!)
Ce qui me semble paradoxal par dessus tout, c'est que le même médecin qui avait discuté d'une possibilité d Ime avec l'equipe pluridisciplinaire considère que scolariser Linda en ime la tirerait par le bas, que sa place est une scolarité assistée mais classique. Je me demande quand même comment pourrait-elle y régresser si cinq ans voir plus d hdj lui seraient favorables. Qu'en pensez-vous ?
Modération (had) : passages de lignes. @clea : pense à aérer tes textes ! (tu les copie-colles de qqpart ?) c'est impossible à lire sous forme de "bloc"
