Bonjour à tous,
J'espère trouver quelques pistes auprès de vous.
Voilà, notre fille a été diagnostiquee asperger à ses 5 ans, elle en aura bientôt 9.
Elle est scolarisée en école ordinaire en ce2 cette année , et présente beaucoup de blocages cette annee, encore plus que les années précédentes.
Elle grandit bien avec souvent les attraits des enfants de son âge dits neuro typiques cependant un fossé se creuse de façon insidieuse mais tellement profond. Je m'explique, aller à l'école pour elle reste un fardeau, elle craint tellement la difficulté qu'elle se renferme sur elle en refusant parfois d'aller en classe, de faire l'exercice meme avec l'aide de son avs. Elle a portant des réelles capacites mais j'ai la sensation qu'elle ne retient pas bien ses apprentissages. Rien n'est jamais acquis.
Je sens un mal être profond chez elle depuis plusieurs mois sans arriver à l'aider. Jouer avec ses copines devient fastidieux, elle en est toujours aux princesses et jouer a la maman quand ses amies en sont a des jeux plus "matures", et elle sent cette différence s'installer.
Je ne sais pas si je dois envisager un pédopsychiatre ou autre. Elle est suivie en psychomotricité, en orthophonie, mais ça ne répond pas a son mal-être quotidien .
De plus, comme elle ne semble plus trouver sa place avec les autres, elle refuse parfois de sortir jouer le we et reste à la maison et ne pense qu'à manger....
Je ne sais plus ce que je dois faire ..
Merci de vos réponses
Comment l'aider ???
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Re: Comment l'aider ???
Cm2... ma fille en est aussi toujours aux jeux thème princesses, barbies... et une fille de sa classe avec qui elle a envie d'être copine jouant encore à la poupée, ma fille s'est mis à jouer à la poupée, reçue quand elle était petite et avec laquelle elle n'a quasi jamais joué...
Dans le suivi classique, il y a aussi des groupes d'habileté sociale, ça pourrait l'aider.
Dans le suivi classique, il y a aussi des groupes d'habileté sociale, ça pourrait l'aider.
3 enfants : une fille Asperger, un fils TED NS et le frère ... "sans étiquette" (traits autistiques + éléments de précocité)... !
mon blog : cuisineallergo.canalblog.com
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Re: Comment l'aider ???
Merci à toi.
Des groupes d'habile tes sociales ? Jamais entendu parler, comment les trouver ?
Des groupes d'habile tes sociales ? Jamais entendu parler, comment les trouver ?
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Re: Comment l'aider ???
Des associations pour autistes/aspies et des cabinets de psychologue spécialisé en mettent en place. Il s'agit d'un travail sur les habiletés sociales proposé à un petit groupe d autistes/aspies dans un même créneau d'âge
3 enfants : une fille Asperger, un fils TED NS et le frère ... "sans étiquette" (traits autistiques + éléments de précocité)... !
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Re: Comment l'aider ???
Groupes d'habileté sociale, c'est des groupes ou les enfants d'un niveau similaire travaillent ensemble des scénarios sociaux, généralement par le théâtre et la mise en scène, encadrés par un/ des thérapeutes.
Pour les aider à gérer les attentes de leurs contemporains, les scénarios courants de la cour d'école.
Quand c'est bien fait, l'enfant apprend à la fois à mieux se mettre à la place de l'autre et faire des compromis mais apprend aussi à poser ses limites et les exprimer/ partager calmement. ( parce que dire oui à tout pour espérer garder ses amis c'est la porte ouverte à la catastrophe et aux abus) Faire respecter ses besoins et respecter ceux des autres.
Ma fille est maintenant plus âgée, mais on a eu des gros soucis vers 8 ans... c'est ce qui a conduit à son diagnostic.
Ce que j'ai pu constater, ce qui a pu aider...
- on a cherché des amies ( ma fille aime/ veut avoir des amis), en cercle plus restreint, parmi les nerds, les autres enfants sortant aussi un peu des normes. Ils étaient sur la même longueur d'onde et pouvait du coup jouer ensemble sans que ça l'épuise.
- on a bien parlé sur le fait qu'elle avait le coeur aussi grand qu'elle voulait, et qu'elle pouvait tout à fait continuer à aimer les princesses... qu'il n'y avait rien de mal à les aimer. Mais que peut-être ce serait plus facile si elle en parlait surtout à la maison, avec moi, ou avec des enfants dont elle savait déjà qu'ils les aimaient encore ( par exemple si elle était en train de jouer avec des plus jeunes, ce qu'elle aime bien faire).
Et en même temps on a essayé de travailler à introduire quelques trucs plus habituels à son âge ( à petite doses et sans pousser pour qu'elle remplace ) au final elle a croché sur Minecraft.
( et dans son cas Minecraft est devenu un fantastique outil, parce qu'elle joue en groupe sur les serveurs - ce qui implique de jouer le jeu, suivre les règles, planifier en groupe etc. D'autres enfants vont aimer les échecs, donjons et dragons ( quand on aime les princesses et les univers fantastiques c'est pas mal comme évolution) aucun moyen de te prédire ce qui pourrait plaire à ta fille, mais il y a plein de choix qui peuvent concilier ses intérêts de maintenant et ceux de demain... )
Par contre au niveau des heures d'école on a arrêté de la pousser à se normaliser... elle s'épuise au delà de toute expression pendant les heures d'école à cause des troubles sensoriels, et du coup profiter de la récréation pour socialiser c'était juste la double peine. On l'a plutôt encouragée à se trouver un coin calme pour récupérer un peu.
Ça va à priori à l'encontre de ce que les écoles veulent voir, et du coup ça va pas forcément simplifier les relations avec l'école.
Mais quelque part c'est une question de bon sens.
Il n'y a qu'à des enfants autistes ( neurodivergent en général, parce que les enfants dys' ou TDAH sont quasi dans le même cas sauf qu'eux profitent de la récré s'ils n'ont pas de troubles sensoriels associés ) qu'on demande l'équivalent pour un NT de se concentrer toute la journée non-stop ( parce que la récré c'est du boulot pas du plaisir et en aucun cas la pause que ça représente pour les autres, ma fille la seule fois ou elle aimait la récré c'est quand elle avait du travail en retard ou qu'elle était punie et était obligée de la passer seule en classe à faire son travail... ça c'était une récré pour elle!!!!! ) dans une boite de nuit avec les lumières et la musique à fond et qu'après on s'étonne que l'enfant n'y arrive plus ou que son anxiété augmente
Les enfants entre 8 et 12 ans ont un monde qui est extrêmement chargé sensoriellement, dont les règles changent très très vite et c'est pas évident de suivre.
Quand on a un enfant qui s'épuise, se renferme parce qu'on lui demande l'impossible sur des trop longues périodes de temps, on finit par avoir de la dépression et un sentiment d'échec et d'anxiété qui grimpe inexorablement.
Nous gérons sans pédopsy, mais avec l'apport d'une comportementaliste ( ok techniquement elle est psy mais spécialisée dans le spectre autistique et dans le fait d'apprendre à optimiser le rapport avec le reste du monde)
En ce moment, ce sur quoi on bosse le plus c'est de gérer la capacité de ma fille à s'affirmer autiste et dire qu'elle souffre, qu'elle a besoin d'aide ou d'accommodation, de faire en sorte de se faire respecter. Si elle ne le fait pas elle s'angoisse, ou stim' et quand elle stim et s'angoisse son comportement ne reflète pas son mal-être donc c'est un cercle vicieux ou elle se fait de plus en plus agresser et perd le contrôle de ses comportements.
Si tu en cherches un, choisis quelqu'un qui connait et respecte les particularités propres à l'autisme dans la manière de fonctionner et de voire le monde, parce que sinon ils peuvent faire d'énormes dégâts... Appliquer des moules NT a un enfant autiste, c'est souvent lui faire du mal sans en avoir l'intention.
C'est un effort collaboratif qui met notre fille au centre... on l'écoute, et on adapte ce qu'on lui fournit à ses besoins.
Ça l'a beaucoup aidé de savoir que ce qu'elle ressentait était normal, que beaucoup d'enfants comme elle vivaient les mêmes choses.
Qu'elle a le droit d'évoluer à son rythme et qu'elle ne doit pas se comparer aux NT parce qu'elle ne l'est pas, elle est autiste et si elle veut vraiment se comparer à quelqu'un c'est aux autres enfants autistes. Elle est parfaite comme elle est, on ne veut pas la changer, juste l'aider à mieux trouver sa place.
Beaucoup d'enfants peinent à trouver leur place à un moment ou a un autre, et que maintenant c'est dur mais qu'elle finira par trouver sa tribu...
Bref, reconnaitre sa souffrance, l'aider du mieux qu'on peut, mais ne pas se précipiter à appliquer nos solutions à ses problèmes... plutôt essayer de la soutenir dans le chemin pour trouver ses propres solutions, et ne pas s'effacer ses gouts et les trucs qui lui font plaisir juste pour une intégration de facade qui fera plus de mal que de bien à long terme.
J'espère que j'ai fait sens ( je manque un peu beaucoup de sommeil donc toutes mes excuses si jamais une partie du message ne fait pas de sens ou semble un peu abrupt... ce n'était pas volontaire)
Et bon courage à ta louloute et à toi!
Pour les aider à gérer les attentes de leurs contemporains, les scénarios courants de la cour d'école.
Quand c'est bien fait, l'enfant apprend à la fois à mieux se mettre à la place de l'autre et faire des compromis mais apprend aussi à poser ses limites et les exprimer/ partager calmement. ( parce que dire oui à tout pour espérer garder ses amis c'est la porte ouverte à la catastrophe et aux abus) Faire respecter ses besoins et respecter ceux des autres.
Ma fille est maintenant plus âgée, mais on a eu des gros soucis vers 8 ans... c'est ce qui a conduit à son diagnostic.
Ce que j'ai pu constater, ce qui a pu aider...
- on a cherché des amies ( ma fille aime/ veut avoir des amis), en cercle plus restreint, parmi les nerds, les autres enfants sortant aussi un peu des normes. Ils étaient sur la même longueur d'onde et pouvait du coup jouer ensemble sans que ça l'épuise.
- on a bien parlé sur le fait qu'elle avait le coeur aussi grand qu'elle voulait, et qu'elle pouvait tout à fait continuer à aimer les princesses... qu'il n'y avait rien de mal à les aimer. Mais que peut-être ce serait plus facile si elle en parlait surtout à la maison, avec moi, ou avec des enfants dont elle savait déjà qu'ils les aimaient encore ( par exemple si elle était en train de jouer avec des plus jeunes, ce qu'elle aime bien faire).
Et en même temps on a essayé de travailler à introduire quelques trucs plus habituels à son âge ( à petite doses et sans pousser pour qu'elle remplace ) au final elle a croché sur Minecraft.
( et dans son cas Minecraft est devenu un fantastique outil, parce qu'elle joue en groupe sur les serveurs - ce qui implique de jouer le jeu, suivre les règles, planifier en groupe etc. D'autres enfants vont aimer les échecs, donjons et dragons ( quand on aime les princesses et les univers fantastiques c'est pas mal comme évolution) aucun moyen de te prédire ce qui pourrait plaire à ta fille, mais il y a plein de choix qui peuvent concilier ses intérêts de maintenant et ceux de demain... )
Par contre au niveau des heures d'école on a arrêté de la pousser à se normaliser... elle s'épuise au delà de toute expression pendant les heures d'école à cause des troubles sensoriels, et du coup profiter de la récréation pour socialiser c'était juste la double peine. On l'a plutôt encouragée à se trouver un coin calme pour récupérer un peu.
Ça va à priori à l'encontre de ce que les écoles veulent voir, et du coup ça va pas forcément simplifier les relations avec l'école.
Mais quelque part c'est une question de bon sens.
Il n'y a qu'à des enfants autistes ( neurodivergent en général, parce que les enfants dys' ou TDAH sont quasi dans le même cas sauf qu'eux profitent de la récré s'ils n'ont pas de troubles sensoriels associés ) qu'on demande l'équivalent pour un NT de se concentrer toute la journée non-stop ( parce que la récré c'est du boulot pas du plaisir et en aucun cas la pause que ça représente pour les autres, ma fille la seule fois ou elle aimait la récré c'est quand elle avait du travail en retard ou qu'elle était punie et était obligée de la passer seule en classe à faire son travail... ça c'était une récré pour elle!!!!! ) dans une boite de nuit avec les lumières et la musique à fond et qu'après on s'étonne que l'enfant n'y arrive plus ou que son anxiété augmente
Les enfants entre 8 et 12 ans ont un monde qui est extrêmement chargé sensoriellement, dont les règles changent très très vite et c'est pas évident de suivre.
Quand on a un enfant qui s'épuise, se renferme parce qu'on lui demande l'impossible sur des trop longues périodes de temps, on finit par avoir de la dépression et un sentiment d'échec et d'anxiété qui grimpe inexorablement.
Nous gérons sans pédopsy, mais avec l'apport d'une comportementaliste ( ok techniquement elle est psy mais spécialisée dans le spectre autistique et dans le fait d'apprendre à optimiser le rapport avec le reste du monde)
En ce moment, ce sur quoi on bosse le plus c'est de gérer la capacité de ma fille à s'affirmer autiste et dire qu'elle souffre, qu'elle a besoin d'aide ou d'accommodation, de faire en sorte de se faire respecter. Si elle ne le fait pas elle s'angoisse, ou stim' et quand elle stim et s'angoisse son comportement ne reflète pas son mal-être donc c'est un cercle vicieux ou elle se fait de plus en plus agresser et perd le contrôle de ses comportements.
Si tu en cherches un, choisis quelqu'un qui connait et respecte les particularités propres à l'autisme dans la manière de fonctionner et de voire le monde, parce que sinon ils peuvent faire d'énormes dégâts... Appliquer des moules NT a un enfant autiste, c'est souvent lui faire du mal sans en avoir l'intention.
C'est un effort collaboratif qui met notre fille au centre... on l'écoute, et on adapte ce qu'on lui fournit à ses besoins.
Ça l'a beaucoup aidé de savoir que ce qu'elle ressentait était normal, que beaucoup d'enfants comme elle vivaient les mêmes choses.
Qu'elle a le droit d'évoluer à son rythme et qu'elle ne doit pas se comparer aux NT parce qu'elle ne l'est pas, elle est autiste et si elle veut vraiment se comparer à quelqu'un c'est aux autres enfants autistes. Elle est parfaite comme elle est, on ne veut pas la changer, juste l'aider à mieux trouver sa place.
Beaucoup d'enfants peinent à trouver leur place à un moment ou a un autre, et que maintenant c'est dur mais qu'elle finira par trouver sa tribu...
Bref, reconnaitre sa souffrance, l'aider du mieux qu'on peut, mais ne pas se précipiter à appliquer nos solutions à ses problèmes... plutôt essayer de la soutenir dans le chemin pour trouver ses propres solutions, et ne pas s'effacer ses gouts et les trucs qui lui font plaisir juste pour une intégration de facade qui fera plus de mal que de bien à long terme.
J'espère que j'ai fait sens ( je manque un peu beaucoup de sommeil donc toutes mes excuses si jamais une partie du message ne fait pas de sens ou semble un peu abrupt... ce n'était pas volontaire)
Et bon courage à ta louloute et à toi!
Maman lionne d'une préado diagnostiquée SA à l'âge de 8 ans
Sans diagnostic mais asperger présumé par les thérapeutes de ma fille
Francophone mais pas Française et vivant quelque part en asie du sud-est
Sans diagnostic mais asperger présumé par les thérapeutes de ma fille
Francophone mais pas Française et vivant quelque part en asie du sud-est
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- Prolifique
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Re: Comment l'aider ???
Bonjour Pepette29,Pepette29 a écrit :Bonjour à tous,
J'espère trouver quelques pistes auprès de vous.
Voilà, notre fille a été diagnostiquee asperger à ses 5 ans, elle en aura bientôt 9.
Elle est scolarisée en école ordinaire en ce2 cette année , et présente beaucoup de blocages cette annee, encore plus que les années précédentes.
Elle grandit bien avec souvent les attraits des enfants de son âge dits neuro typiques cependant un fossé se creuse de façon insidieuse mais tellement profond. Je m'explique, aller à l'école pour elle reste un fardeau, elle craint tellement la difficulté qu'elle se renferme sur elle en refusant parfois d'aller en classe, de faire l'exercice meme avec l'aide de son avs. Elle a portant des réelles capacites mais j'ai la sensation qu'elle ne retient pas bien ses apprentissages. Rien n'est jamais acquis.
Je sens un mal être profond chez elle depuis plusieurs mois sans arriver à l'aider. Jouer avec ses copines devient fastidieux, elle en est toujours aux princesses et jouer a la maman quand ses amies en sont a des jeux plus "matures", et elle sent cette différence s'installer.
Je ne sais pas si je dois envisager un pédopsychiatre ou autre. Elle est suivie en psychomotricité, en orthophonie, mais ça ne répond pas a son mal-être quotidien .
De plus, comme elle ne semble plus trouver sa place avec les autres, elle refuse parfois de sortir jouer le we et reste à la maison et ne pense qu'à manger....
Je ne sais plus ce que je dois faire ..
Merci de vos réponses
Ta fille a-t-elle un domaine, une activité particulière où elle se sent bien et heureuse ?
Il y a peut-être un élément particulier, nouveau, puisque sa situation et comportement ont changé ?
Un mal-être quotidien peut avoir différentes sources et contenir quelques leviers aussi.
bon courage à vous
diagnostiqué asperger en 2015, à 38 ans
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- Assidu
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Re: Comment l'aider ???
Bonjour,
Pas facile comme situation, le groupe d'habileté sociales est pas mal du tout, mon frère (cm2) le suit depuis 6 mois. ça permet d'aider.
Après est ce que les autres réagissent bien à sa différence ? au fait qu'elle ai une avs aussi ? car un fossé peut etre comblé avec de bonnes explication et une acceptation des autres élèves...
Bon courage en tout cas
Pas facile comme situation, le groupe d'habileté sociales est pas mal du tout, mon frère (cm2) le suit depuis 6 mois. ça permet d'aider.
Après est ce que les autres réagissent bien à sa différence ? au fait qu'elle ai une avs aussi ? car un fossé peut etre comblé avec de bonnes explication et une acceptation des autres élèves...
Bon courage en tout cas
TSA déterminée à rester enfant, Dyspraxie, Tocs. Mini frère de 16 ans TSA.